Pour sa toute dernière création masculine, Harry Winston bouscule les genres en proposant un garde-temps tout à fait masculin arborant un cadran en plumes… Ce qui a priori n’a rien de très viril… En 2012, le joaillier américain faisait déjà figure de précurseur en proposant un mariage inédit entre deux savoir-faire ancestraux que rien ne prédestinait à se rencontrer : l’horlogerie et la plumasserie, un métier rare presque oublié, qui donne lieu à l’époque à la création de cadran en marqueterie de plumes.
Sur le cadran de cette Midnight Feathers Automatic 42mm, chaque rémige -issue d’une oie d’élevage- est sélectionnée, façonnée, puis, positionnée à la loupe pour une précision optimale. Graphique, cette marqueterie joue ici la carte de l’alternance des couleurs (brun tabac et noir), conférant au cadran son style résolument masculin. Naturellement, chaque cadran réalisé à la main varie selon la plume et le geste, jamais tout à fait le même, du maître artisan.
Ce modèle est doté d’un boitier en or rose de 42 mm qui reprend les trois arches évoquant le Salon Harry Winston situé sur la Cinquième Avenue à New York. Le fond ouvert de la montre dévoile les finitions du mouvement mécanique qui anime les fonctions de l’heure et des minutes. La masse oscillante squelette, le perlage, les Côtes de Genève et les ponts anglés signent quant à eux l’appartenance à l’excellence horlogère.
Le tout, complété par un bracelet en alligator brun.
Présent dans toutes les cultures et civilisations, l’art de la plumasserie incarne depuis toujours l’appartenance à un clan, mais surtout la puissance, la virilité et même la vaillance au combat. C’est ainsi qu’on le retrouve encore aujourd’hui sur certains couvre-chefs des uniformes de prestige. Harry Winston a choisi de faire sortir la plume de ce cercle confidentiel pour qu’elle réapparaisse en pleine lumière.
Sur le cadran de cette Midnight Feathers Automatic 42mm, chaque rémige -issue d’une oie d’élevage- est sélectionnée, façonnée, puis, positionnée à la loupe pour une précision optimale. Graphique, cette marqueterie joue ici la carte de l’alternance des couleurs (brun tabac et noir), conférant au cadran son style résolument masculin. Naturellement, chaque cadran réalisé à la main varie selon la plume et le geste, jamais tout à fait le même, du maître artisan.
Ce modèle est doté d’un boitier en or rose de 42 mm qui reprend les trois arches évoquant le Salon Harry Winston situé sur la Cinquième Avenue à New York. Le fond ouvert de la montre dévoile les finitions du mouvement mécanique qui anime les fonctions de l’heure et des minutes. La masse oscillante squelette, le perlage, les Côtes de Genève et les ponts anglés signent quant à eux l’appartenance à l’excellence horlogère.
Le tout, complété par un bracelet en alligator brun.
Présent dans toutes les cultures et civilisations, l’art de la plumasserie incarne depuis toujours l’appartenance à un clan, mais surtout la puissance, la virilité et même la vaillance au combat. C’est ainsi qu’on le retrouve encore aujourd’hui sur certains couvre-chefs des uniformes de prestige. Harry Winston a choisi de faire sortir la plume de ce cercle confidentiel pour qu’elle réapparaisse en pleine lumière.