Voici un accessoire qui nous ramène tout droit en enfance… Quand dans les cours d’école, nous jouions avec ces petits labyrinthes en plastique, où après avoir parcouru d’incessants dédales, il fallait faire entrer une petite bille dans un trou pour gagner. Cette dernière restait d’ailleurs souvent coincée dans le morceau de carton qui servait de fond au jeu…
Hautlence s’est inspiré de ce jeu pour créer non pas une montre mais un jeu de poignet qui reprend ce concept de labyrinthe. Si certains vont trouver l’idée « super géniale », d’autres vont crier au « foutage de gu… ». Surtout à 10.000 euros ! Mais à vous de voir.
En imaginant cette collection baptisée Playground, l’horloger dont le nom est l’anagramme de Neuchâtel, a voulu projeter « l’objet horloger dans une nouvelle dimension chronométrique, au-delà de sa vocation première de lecture du temps. A un monde toujours plus connecté où tout -y compris l’heure- se trouve à portée immédiate par simple pression sur un bouton, Playground oppose la déconnexion absolue. De l’immersion dans le jeu dérive le plaisir de la lenteur retrouvée, nécessaire ». Soit.
Derrière son cadran en titane noir avec angles diamantés (sans heure rappelons-le), derrière ces dédales qui visent à tuer le temps, la couronne actionne un « ascenseur mécanique » permettant de remonter la bille (en or « bleu ») sur le plateau de jeu grâce à un système de cames, visible à travers le fond transparent. Les fans de la marque auront aussi remarqué que le boitier en titane de forme rectangulaire (37x43,5 mm) reprend celui des garde-temps historiques de la maison.
Rappelons que la première édition de cette montre était une série limitée de 18 exemplaires. Celle réalisée pour Colette sera proposée à 5 exemplaires.
Hautlence s’est inspiré de ce jeu pour créer non pas une montre mais un jeu de poignet qui reprend ce concept de labyrinthe. Si certains vont trouver l’idée « super géniale », d’autres vont crier au « foutage de gu… ». Surtout à 10.000 euros ! Mais à vous de voir.
En imaginant cette collection baptisée Playground, l’horloger dont le nom est l’anagramme de Neuchâtel, a voulu projeter « l’objet horloger dans une nouvelle dimension chronométrique, au-delà de sa vocation première de lecture du temps. A un monde toujours plus connecté où tout -y compris l’heure- se trouve à portée immédiate par simple pression sur un bouton, Playground oppose la déconnexion absolue. De l’immersion dans le jeu dérive le plaisir de la lenteur retrouvée, nécessaire ». Soit.
Derrière son cadran en titane noir avec angles diamantés (sans heure rappelons-le), derrière ces dédales qui visent à tuer le temps, la couronne actionne un « ascenseur mécanique » permettant de remonter la bille (en or « bleu ») sur le plateau de jeu grâce à un système de cames, visible à travers le fond transparent. Les fans de la marque auront aussi remarqué que le boitier en titane de forme rectangulaire (37x43,5 mm) reprend celui des garde-temps historiques de la maison.
Rappelons que la première édition de cette montre était une série limitée de 18 exemplaires. Celle réalisée pour Colette sera proposée à 5 exemplaires.