La Newport de Michel Herbelin a séduit des générations d’amateurs de montres. Pour de nombreux collectionneurs, ce modèle fut souvent, d’ailleurs, le « premier pas » effectué dans le monde du luxe avant de se tourner (ou pas) plus tard, vers des pièces plus chères.
A l’origine, cette collection fut créée en 1988. Elle s’inspirait alors des hublots des voiliers transatlantiques. Depuis sa remise sur le devant de la scène il y a quelques années, la marque horlogère de Charquemont a proposé différentes versions (quartz et automatiques) en trois aiguilles-date, en squelette, en chrono grande date, etc.
Michel Herbelin revient cette année avec cette nouveauté qui reste une Newport (on ne change pas une équipe qui gagne) dans une version sport-chic assumée, dotée d’un boitier de 43,5 mm en acier poli et brossé, étanche à 100 mètres et surtout, embarquant un calibre automatique Sellita SW510 bénéficiant d’une belle réserve de marche de 62h (une première à notre connaissance pour la Newport, les autres modèles « plafonnant » à une quarantaine d’heures) !
A l’origine, cette collection fut créée en 1988. Elle s’inspirait alors des hublots des voiliers transatlantiques. Depuis sa remise sur le devant de la scène il y a quelques années, la marque horlogère de Charquemont a proposé différentes versions (quartz et automatiques) en trois aiguilles-date, en squelette, en chrono grande date, etc.
Michel Herbelin revient cette année avec cette nouveauté qui reste une Newport (on ne change pas une équipe qui gagne) dans une version sport-chic assumée, dotée d’un boitier de 43,5 mm en acier poli et brossé, étanche à 100 mètres et surtout, embarquant un calibre automatique Sellita SW510 bénéficiant d’une belle réserve de marche de 62h (une première à notre connaissance pour la Newport, les autres modèles « plafonnant » à une quarantaine d’heures) !
Encadrant une couronne conique, les poussoirs prennent une forme rectangulaire facettée. Discrètement gravée « Newport » et ponctuée de cinq vis évoquant les winchs de bateaux à voile, la lunette est associée à un cadran noir uni et des index fuselés insérés dans l’échelle des minutes. Le tout est parcouru par un jeu d’aiguilles en acier rhodié, partiellement recouvertes de matière luminescente à l’identique des index pour une lisibilité optimale.
Ce chronographe automatique tricompax en « V » et date comptabilise des temps jusqu’à 12 heures. Trois compteurs, placés respectivement à 3, 6 et 9 heures sont dévolus à l’affichage des minutes, des heures et de la petite seconde. On remarque la présence d’un guichet de date à 4h30.
Le calibre suisse Sellita SW510 oscillant à 28 800 alt/h est visible par un fond de boîte transparent ; il dévoile une masse oscillante gravée Herbelin. Pour la petite histoire, cette montre est celle que portait l’acteur oscarisé Jean Dujardin qui a eu la chance de le tester en avant-première dans le film Novembre.
Ce chrono se porte sur un bracelet cuir noir surpiqué de bleu bombé au centre et à boucle déployante. A découvrir chez Emile Leon à Paris.
Ce chronographe automatique tricompax en « V » et date comptabilise des temps jusqu’à 12 heures. Trois compteurs, placés respectivement à 3, 6 et 9 heures sont dévolus à l’affichage des minutes, des heures et de la petite seconde. On remarque la présence d’un guichet de date à 4h30.
Le calibre suisse Sellita SW510 oscillant à 28 800 alt/h est visible par un fond de boîte transparent ; il dévoile une masse oscillante gravée Herbelin. Pour la petite histoire, cette montre est celle que portait l’acteur oscarisé Jean Dujardin qui a eu la chance de le tester en avant-première dans le film Novembre.
Ce chrono se porte sur un bracelet cuir noir surpiqué de bleu bombé au centre et à boucle déployante. A découvrir chez Emile Leon à Paris.