Avec son boîtier rond aux attaches asymétriques évoquant un étrier, la montre Arceau imaginée par Henri d’Origny en 1978 est immédiatement identifiable. Depuis, elle prête ses lignes classiques et originales à la fois, à d’éclatantes illustrations de créativité et savoir-faire Hermès.
Serti de diamants, son boîtier accueille cette année, un cadran orné d’une girafe, un animal sauvage aussi délicat qu’impressionnant par sa taille ! Cette montre réinterprète ainsi, le thème du carré éponyme, dessiné par l’artiste britannique Alice Shirley en 2020.
Façonnée en marqueterie de bois et peinture miniature sur aventurine, l’animal ornant le cadran fut à l’origine, inspiré d’un voyage en Afrique du sud, lorsqu’Alice Shirley eut le privilège d’apercevoir trois girafes dissimulées derrière un acacia.
Serti de diamants, son boîtier accueille cette année, un cadran orné d’une girafe, un animal sauvage aussi délicat qu’impressionnant par sa taille ! Cette montre réinterprète ainsi, le thème du carré éponyme, dessiné par l’artiste britannique Alice Shirley en 2020.
Façonnée en marqueterie de bois et peinture miniature sur aventurine, l’animal ornant le cadran fut à l’origine, inspiré d’un voyage en Afrique du sud, lorsqu’Alice Shirley eut le privilège d’apercevoir trois girafes dissimulées derrière un acacia.
La délicatesse et la poésie de cet être gigantesque, aux mouvements amples et gracieux, est ici mise en lumière par le geste des artisans Hermès, qui en ont réincarné l’harmonie naturelle.
Pour transposer le profil, le long cou et la robe tachetée de l’animal à l’échelle d’un cadran, le marqueteur commence par reporter et réduire le dessin, puis il sélectionne rigoureusement l’essence, le grain et la couleur de la matière qui lui donnera corps. Ici, un assemblage de bois naturellement foncé, clair, teinté ou décoloré – Noyer et Érable d’Amérique, Érable Sycomore d’Europe et Tulipier de Virginie – choisis pour leurs nuances et textures proches du modèle.
L’artisan y découpe la multitude d’éléments minuscules formant le portrait – 195 pièces– qu’il assemble comme un puzzle. Ce décor de marqueterie prend vie au cœur d’un ouvrage qui exige lui aussi, minutie et sens des couleurs.
Pour transposer le profil, le long cou et la robe tachetée de l’animal à l’échelle d’un cadran, le marqueteur commence par reporter et réduire le dessin, puis il sélectionne rigoureusement l’essence, le grain et la couleur de la matière qui lui donnera corps. Ici, un assemblage de bois naturellement foncé, clair, teinté ou décoloré – Noyer et Érable d’Amérique, Érable Sycomore d’Europe et Tulipier de Virginie – choisis pour leurs nuances et textures proches du modèle.
L’artisan y découpe la multitude d’éléments minuscules formant le portrait – 195 pièces– qu’il assemble comme un puzzle. Ce décor de marqueterie prend vie au cœur d’un ouvrage qui exige lui aussi, minutie et sens des couleurs.