« S'appuyant sur ce savoir-faire qui s'est construit au fil du temps à partir du XVe siècle avec ses premiers maîtres horlogers, la France est aujourd'hui reconnue comme l'un des leaders mondiaux de l'horlogerie industrielle » rappelle l’éditeur dans son communiqué.
De nos jours l’heure est partout autour de nous… Enseignes publicitaires, horloges sur certains bâtiments officiels, dans les gares, les aéroports mais aussi sur notre télévision et surtout notre téléphone portable.
Paradoxalement dans ce monde où le temps qui passe est surexposé, nous pourrions nous passer d'une montre et pourtant elles sont devenues incontournables et surtout hautement désirables…
Objets de mode, objets de reconnaissance sociale, objets de luxe… les Français dépensent sans (trop) compter pour ces merveilles de mécanique qu'ils arborent plus ou moins discrètement à leur poignet.
Avec cet ouvrage richement illustré en photographies, le désir des auteurs (Marie-Pia Coustans et Daniel Galazzo) était de montrer le véritable savoir-faire des artisans et industriels français qui avec passion travaillent et ont travaillé à parfaire cette quête du temps au quotidien.
Rappelons d’ailleurs que plus d’une cinquantaine de sociétés horlogères emploient en France presque trois mille. Sachant que la Franche Comté (voisine de la Suisse) compte pour les deux-tiers de ses emplois.
De nos jours l’heure est partout autour de nous… Enseignes publicitaires, horloges sur certains bâtiments officiels, dans les gares, les aéroports mais aussi sur notre télévision et surtout notre téléphone portable.
Paradoxalement dans ce monde où le temps qui passe est surexposé, nous pourrions nous passer d'une montre et pourtant elles sont devenues incontournables et surtout hautement désirables…
Objets de mode, objets de reconnaissance sociale, objets de luxe… les Français dépensent sans (trop) compter pour ces merveilles de mécanique qu'ils arborent plus ou moins discrètement à leur poignet.
Avec cet ouvrage richement illustré en photographies, le désir des auteurs (Marie-Pia Coustans et Daniel Galazzo) était de montrer le véritable savoir-faire des artisans et industriels français qui avec passion travaillent et ont travaillé à parfaire cette quête du temps au quotidien.
Rappelons d’ailleurs que plus d’une cinquantaine de sociétés horlogères emploient en France presque trois mille. Sachant que la Franche Comté (voisine de la Suisse) compte pour les deux-tiers de ses emplois.
A noter que cet ouvrage n’existe que grâce à la volonté des horlogers français relayée par la Chambre Française de l'Horlogerie et des Microtechniques – CFHM. Fondée en 1947, la CFHM représente et défend les intérêts professionnels, collectifs et individuels de la filière industrielle horlogère avec près de 50 entreprises et plus d’une centaine de marques horlogères. Elle regroupe également des entreprises qui se sont diversifiées vers les microtechniques, la sous-traitance liée aux objets de mode et de luxe, l’utilisation d’applications du temps-fréquence.
La filière industrielle de l’horlogerie française comprend trois secteurs d’activité :
- les composants de montres (boîtes, cadrans, aiguilles, mouvements et pièces constitutives, bracelets, couronnes, pièces de décolletage…). Ce secteur est le point fort de l’horlogerie franc-comtoise.
- les marques de montres qui assemblent ou sous-traitent à l’étranger la production (et la fourniture de composants) de leurs montres sous leur propre marque ou sous contrat de licence pour des marques de mode. Elles se sont positionnées dans la création, le marketing et développent des réseaux de distribution notamment à l’exportation.
- l’horlogerie dite de « gros volume » : notre pays compte plusieurs entreprises spécialisées dans la distribution de l’heure (pendules de gares, horloges d’édifices publics) ou l’horlogerie industrielle (enregistreurs de présence, thermostats, horodateurs, déclencheurs, bases de temps pour les TGV ou les Airbus…) qui travaillent souvent sur appels d’offre publics.
La filière industrielle de l’horlogerie française comprend trois secteurs d’activité :
- les composants de montres (boîtes, cadrans, aiguilles, mouvements et pièces constitutives, bracelets, couronnes, pièces de décolletage…). Ce secteur est le point fort de l’horlogerie franc-comtoise.
- les marques de montres qui assemblent ou sous-traitent à l’étranger la production (et la fourniture de composants) de leurs montres sous leur propre marque ou sous contrat de licence pour des marques de mode. Elles se sont positionnées dans la création, le marketing et développent des réseaux de distribution notamment à l’exportation.
- l’horlogerie dite de « gros volume » : notre pays compte plusieurs entreprises spécialisées dans la distribution de l’heure (pendules de gares, horloges d’édifices publics) ou l’horlogerie industrielle (enregistreurs de présence, thermostats, horodateurs, déclencheurs, bases de temps pour les TGV ou les Airbus…) qui travaillent souvent sur appels d’offre publics.