Au 29 septembre 2017, selon le recensement annuel de la CP, 54.944 personnes étaient actives dans le secteur horloger et microtechnique en Suisse, soit 1.858 de moins qu’en 2016 (-3.3%). Après une baisse de -3.4% observée en 2016, ce nouveau recul témoigne de la poursuite d’une situation économique incertaine.
Le personnel de production enregistre une baisse de -2.6% (-1.035) alors qu’il représente près des trois quarts des effectifs totaux. En chiffres absolus, cela fait plus de la moitié de la baisse ; mais en pourcentage, il s’agit de la diminution la plus faible. Cela démontre la détermination des entreprises à préserver leurs compétences et leur savoir-faire (un point important en cas de reprise). A l’inverse, le personnel administratif et de direction ont vu leurs effectifs baisser de respectivement 4.1% et 10%.
La proportion de travailleurs au bénéfice d’une formation supérieure a progressé de 3.7% représentant désormais 22.5% des effectifs globaux. Cette augmentation maintient à un niveau élevé (69.1%) le taux de personnel qualifié dans la branche. Il y a un quart de siècle, seul un tiers du personnel possédait une formation supérieure ou un diplôme de métier.
Par ailleurs, le nombre d’apprentis continue d’augmenter ; ainsi, 1.376 personnes (+10.3%) effectuent actuellement un apprentissage en entreprise (formation alternée) représentant 2.6% des effectifs totaux. Cette nouvelle progression est réjouissante et vient confirmer la volonté de la branche de former et témoigne de l’attraction de celle-ci auprès des jeunes.
Le 29 septembre 2017, l’industrie horlogère comptait 672 entreprises (-3.9%). Le produit terminé représente 22% des entreprises de la branche et la sous-traitance 40.5%. Dans cette dernière catégorie, sont regroupées les entreprises actives dans la fabrication d’ébauches, de mouvements, de composants horlogers, la galvanoplastie, le polissage ou encore dans le décor. Par ailleurs, un quart des entreprises proviennent de secteurs indirectement liés à l’horlogerie tels que la microtechnique ou la fabrication de machines.
La dernière baisse importante d’effectifs avait été causée par la crise financière. En 2008 et 2009, la branche avait perdu plus de 4.000 emplois, la moitié par des licenciements, l’autre moitié par non remplacement des départs. Avec le retour à la croissance, la branche avait recruté 10.000 collaborateurs dans les six années suivantes.
« Il est hasardeux de pronostiquer un scénario identique pour les années à venir. On se bornera à constater une reprise certaine qui laisse augurer d’une stabilisation, voire d’une hausse des effectifs pour l’année en cours » conclut le CP dans son communiqué.
Le personnel de production enregistre une baisse de -2.6% (-1.035) alors qu’il représente près des trois quarts des effectifs totaux. En chiffres absolus, cela fait plus de la moitié de la baisse ; mais en pourcentage, il s’agit de la diminution la plus faible. Cela démontre la détermination des entreprises à préserver leurs compétences et leur savoir-faire (un point important en cas de reprise). A l’inverse, le personnel administratif et de direction ont vu leurs effectifs baisser de respectivement 4.1% et 10%.
La proportion de travailleurs au bénéfice d’une formation supérieure a progressé de 3.7% représentant désormais 22.5% des effectifs globaux. Cette augmentation maintient à un niveau élevé (69.1%) le taux de personnel qualifié dans la branche. Il y a un quart de siècle, seul un tiers du personnel possédait une formation supérieure ou un diplôme de métier.
Par ailleurs, le nombre d’apprentis continue d’augmenter ; ainsi, 1.376 personnes (+10.3%) effectuent actuellement un apprentissage en entreprise (formation alternée) représentant 2.6% des effectifs totaux. Cette nouvelle progression est réjouissante et vient confirmer la volonté de la branche de former et témoigne de l’attraction de celle-ci auprès des jeunes.
Le 29 septembre 2017, l’industrie horlogère comptait 672 entreprises (-3.9%). Le produit terminé représente 22% des entreprises de la branche et la sous-traitance 40.5%. Dans cette dernière catégorie, sont regroupées les entreprises actives dans la fabrication d’ébauches, de mouvements, de composants horlogers, la galvanoplastie, le polissage ou encore dans le décor. Par ailleurs, un quart des entreprises proviennent de secteurs indirectement liés à l’horlogerie tels que la microtechnique ou la fabrication de machines.
La dernière baisse importante d’effectifs avait été causée par la crise financière. En 2008 et 2009, la branche avait perdu plus de 4.000 emplois, la moitié par des licenciements, l’autre moitié par non remplacement des départs. Avec le retour à la croissance, la branche avait recruté 10.000 collaborateurs dans les six années suivantes.
« Il est hasardeux de pronostiquer un scénario identique pour les années à venir. On se bornera à constater une reprise certaine qui laisse augurer d’une stabilisation, voire d’une hausse des effectifs pour l’année en cours » conclut le CP dans son communiqué.