Lancée en 2005 par Jean-Claude Biver, la Big Bang fête cette année sa majorité : ses dix-huit ans. Dix-huit printemps pendant lesquels ce modèle a été livré dans de très (trop ?) nombreuses éditions limitées.
Différentes matières et fusions, diverses collaborations et plusieurs motorisations. Il y en a eu pour tous les gouts à défaut d’y en avoir pour tous les budgets puisque d’une manière générale, la Big Bang est positionnée très chère sur le marché.
A titre d’exemple, celle-ci, est à plus de 40.000 euros pour une montre en or et titane sur bracelet caoutchouc. C’est le tarif d’une montre « full gold » chez certaines marques de renom…
Cette énième édition limitée ne sera produite qu’à 200 exemplaires. Cette Big Bang Unico Full Magic Gold est dotée d’un boitier de 44 mm (étanche à 100 mètres) avec sa fameuse construction « sandwich », ses larges poussoirs, sa lunette à 6 vis apparentes « non-alignés », ses protections de boîte et de poussoirs, son cadran squelette et un bracelet caoutchouc interchangeable par le système maison One Click.
Différentes matières et fusions, diverses collaborations et plusieurs motorisations. Il y en a eu pour tous les gouts à défaut d’y en avoir pour tous les budgets puisque d’une manière générale, la Big Bang est positionnée très chère sur le marché.
A titre d’exemple, celle-ci, est à plus de 40.000 euros pour une montre en or et titane sur bracelet caoutchouc. C’est le tarif d’une montre « full gold » chez certaines marques de renom…
Cette énième édition limitée ne sera produite qu’à 200 exemplaires. Cette Big Bang Unico Full Magic Gold est dotée d’un boitier de 44 mm (étanche à 100 mètres) avec sa fameuse construction « sandwich », ses larges poussoirs, sa lunette à 6 vis apparentes « non-alignés », ses protections de boîte et de poussoirs, son cadran squelette et un bracelet caoutchouc interchangeable par le système maison One Click.
Côté cadran, la grammaire Big Bang est au complet : chiffres arabes, aiguilles Big Bang squelette, survolant le nouveau mouvement chronographe manufacture, l’UNICO 2 à remontage automatique.
Dans cette version, le Magic Gold, un matériau exclusif à Hublot est présent sur sa boite et sa lunette. Mais pas sur la boucle qui est en titane…
Rappelons que le Magic Gold, présenté 2011, représente une véritable fusion entre l’or 24 carats, matière noble et naturelle par excellence et les ultimes connaissances high-tech sur les matériaux. Le résultat ? Un or titré 18 carats, breveté, inaltérable (c’est le propre de l’or d’une manière générale) et qui s’annonce inrayable.
Pour quantifier sa dureté, rappelons qu’un or traditionnel offre 400 Vickers de dureté (ce qui est relativement faible, l’or se raye facilement). Un acier trempé, 600 Vickers. Le Magic Gold, est quant à lui à 1000 Vickers.
En effet, en infiltrant de l’or liquide à très haute pression au sein de composants en carbure de bore pressés à froid, Hublot est ainsi parvenu à créer un matériau unique au monde, composé d’or et de céramique, que seul le diamant pourrait rayer (comme la céramique).
Les tons chauds de cet or inrayable sont repris sur les index, les compteurs et les aiguilles en or 3N satiné et microbillé. Cela offre un beau contraste avec le reste des composants de la boîte : poussoirs, protections, vis et bracelet sont d’un noir absolu, en titane pour les premiers, en caoutchouc pour le dernier.
Côté moteur, cette Big Bang Unico Full Magic Gold est animée par le nouveau mouvement manufacture UNICO 2 (HUB 1280 ; 4Hz ; 354 composants). Ce dernier s’annonce plus mince, plus précis et plus innovant que l’UNICO 1. Il offre 72h de réserve de marche et deux ans de garantie ou trois ans avec l’enregistrement d’un compte Hublotista.
Son remontage se veut aussi plus doux et plus silencieux. Son chronographe ne saute pas au départ, ne chevrote plus, grâce à un mécanisme d’embrayage « inédit » assura la marque dans son communiqué.
L’UNICO 2 est également plus résistant aux chocs. Il a par ailleurs préservé tous les caractères esthétiques de son aîné auxquels les collectionneurs sont très attachés – design ajouré, technique et démonstratif, signé du « H » de Hublot. Avec, au final, un mouvement qui permet moins de maintenance, plus d’efficacité opérationnelle lors des révisions, au bénéfice final du client.
Dans cette version, le Magic Gold, un matériau exclusif à Hublot est présent sur sa boite et sa lunette. Mais pas sur la boucle qui est en titane…
Rappelons que le Magic Gold, présenté 2011, représente une véritable fusion entre l’or 24 carats, matière noble et naturelle par excellence et les ultimes connaissances high-tech sur les matériaux. Le résultat ? Un or titré 18 carats, breveté, inaltérable (c’est le propre de l’or d’une manière générale) et qui s’annonce inrayable.
Pour quantifier sa dureté, rappelons qu’un or traditionnel offre 400 Vickers de dureté (ce qui est relativement faible, l’or se raye facilement). Un acier trempé, 600 Vickers. Le Magic Gold, est quant à lui à 1000 Vickers.
En effet, en infiltrant de l’or liquide à très haute pression au sein de composants en carbure de bore pressés à froid, Hublot est ainsi parvenu à créer un matériau unique au monde, composé d’or et de céramique, que seul le diamant pourrait rayer (comme la céramique).
Les tons chauds de cet or inrayable sont repris sur les index, les compteurs et les aiguilles en or 3N satiné et microbillé. Cela offre un beau contraste avec le reste des composants de la boîte : poussoirs, protections, vis et bracelet sont d’un noir absolu, en titane pour les premiers, en caoutchouc pour le dernier.
Côté moteur, cette Big Bang Unico Full Magic Gold est animée par le nouveau mouvement manufacture UNICO 2 (HUB 1280 ; 4Hz ; 354 composants). Ce dernier s’annonce plus mince, plus précis et plus innovant que l’UNICO 1. Il offre 72h de réserve de marche et deux ans de garantie ou trois ans avec l’enregistrement d’un compte Hublotista.
Son remontage se veut aussi plus doux et plus silencieux. Son chronographe ne saute pas au départ, ne chevrote plus, grâce à un mécanisme d’embrayage « inédit » assura la marque dans son communiqué.
L’UNICO 2 est également plus résistant aux chocs. Il a par ailleurs préservé tous les caractères esthétiques de son aîné auxquels les collectionneurs sont très attachés – design ajouré, technique et démonstratif, signé du « H » de Hublot. Avec, au final, un mouvement qui permet moins de maintenance, plus d’efficacité opérationnelle lors des révisions, au bénéfice final du client.
