La marque Humbert Droz est née il y a quelques mois à Besançon : elle est issue de l’entreprise bisontine familiale Reparalux, spécialisée à l’origine dans les réparations de montres de luxe depuis une soixantaine d’années. Ce qui explique qu’elle possède un véritable trésor en composants et calibres en tous genres. D’où le lancement de ces modèles dotés de calibres « vintage ».
Pour ce garde-temps baptisé HD4 (déjà présenté précédemment hors Kickstarter précisons-le), Humbert Droz a choisi un design très en vogue, celui des seventies. De fait, la montre se présente dans un boitier acier de forme rectangulaire de 40 x 35 mm et de 15 mm d’épaisseur (étanche 100 mètres).
Pour ce garde-temps baptisé HD4 (déjà présenté précédemment hors Kickstarter précisons-le), Humbert Droz a choisi un design très en vogue, celui des seventies. De fait, la montre se présente dans un boitier acier de forme rectangulaire de 40 x 35 mm et de 15 mm d’épaisseur (étanche 100 mètres).
Toutes les infos se trouvent dans un large cadran-guichet (plusieurs coloris disponibles en séries limitées) situé au centre de la montre : à gauche les heures et minutes qui s’affichent de manière digitale ; au centre, une mini-trotteuse rouge et à droite, le jour et la date en français. A noter la présence de trois loupes (sous le verre) qui viennent grossir les différentes données.
L’ensemble est motorisé par un calibre mécanique automatique à quatre disques (mouvement vintage) de l’horloger allemand Bernhard Förster et assemblé en France. Comme le souligne Julien Humbert Droz, ce mouvement « a la particularité d’offrir un affichage digital. Il nécessitait un calage de grande précision, et sans plan il a fallu cogiter. Nous avons travaillé un an et demi sur ce modèle mais ce fut une belle aventure ».
La montre est livrée dans un écrin noir avec son outil de démontage de bracelet (Jean Rousseau) pour 540 euros. Une très belle montre pour un prix on ne peut plus correct. Il y a d’ailleurs fort à parier que ce modèle prenne de la valeur dans les années à venir.
L’ensemble est motorisé par un calibre mécanique automatique à quatre disques (mouvement vintage) de l’horloger allemand Bernhard Förster et assemblé en France. Comme le souligne Julien Humbert Droz, ce mouvement « a la particularité d’offrir un affichage digital. Il nécessitait un calage de grande précision, et sans plan il a fallu cogiter. Nous avons travaillé un an et demi sur ce modèle mais ce fut une belle aventure ».
La montre est livrée dans un écrin noir avec son outil de démontage de bracelet (Jean Rousseau) pour 540 euros. Une très belle montre pour un prix on ne peut plus correct. Il y a d’ailleurs fort à parier que ce modèle prenne de la valeur dans les années à venir.