On connaissait les montres de chez Hysek avec des designs nettement plus futuristes ; et pas toujours de très bons goûts d’ailleurs… Depuis l’année dernière, la marque revient à ses anciennes amours avec cette gamme « IO », plus classique, déjà présentée avec une fonction « réserve de marche ».
Aujourd’hui, et pour la première fois chez Hysek, c’est au tour de la complication « calendrier annuel » d’arriver en collection. Des heures, minutes, secondes et un calendrier : jusque-là, il n’y a guère de grande innovation dans cette configuration horlogère qui existe depuis près d’un siècle. Voilà précisément ce qui a poussé Hysek à se pencher sur le sujet
Cette nouvelle IO se dote donc d’un calendrier capable de décompter tous les mois de 30 ou 31 jours, à la seule exception du mois de février qui exige une correction manuelle ; une fois par an donc. Mais incontestablement, ce qui fait l’originalité de cette pièce, c’est l’affichage de la date par le biais d’une grande date.
Cette dernière, souligne la marque dans son communiqué, « est en réalité une véritable complexité technique. Elle exige non pas un disque de date mais deux. Ils doivent être parfaitement synchronisés pour sauter à minuit juste et, pour pouvoir être entrainés à chaque changement de jour, ils exigent plus de ressources en énergie qu’un simple disque de date. Tout l’enjeu était donc de garantir le bon fonctionnement de ce mouvement calendaire sans grever la réserve de marche, ce que la IO Annual Calendar parvient à faire, avec plus de 44 heures d’autonomie garantie ». Le calibre automatique Swiss Made, fort de 193 composants, est visible à travers un fond saphir.
L’affichage des mois, lui, fait l’objet d’un traitement particulier. Pour préserver la lisibilité du cadran, Hysek n’a pas souhaité ajouter d’aiguille centrale -un choix très répandu pour indiquer les 12 mois, lesquels viennent effectivement se caler naturellement sur les 12 index du cadran. La marque a préféré un affichage par disque, là encore un élément mobile additionnel qui exige une parfaite gestion de l’énergie mécanique. Les mois décomptés de 1 à 12 sont ainsi exposés dans un guichet dédié à 8h. Le mois en cours est indiqué par une flèche qui n’offre ainsi aucune erreur d’interprétation possible.
Pour le reste, le cadran bleu ou gris est complété d’aiguilles flèches et de la grande date à double guichet rectangulaire à midi. Quant aux mois, ils s’affichent de manière originale par le biais d’un guichet en forme de virgule, le tout sur un cadran soleillé qui arbore aussi un compteur de petite seconde en guilloché circulaire à 5h. A noter que les index des heures ne reprennent que les chiffres chers à la manufacture : 1, 5, 7 et 11. A midi, la « 12 » a été remplacé par le « H » de Hysek, que l’on retrouve également sur la couronne.
L’ensemble se place dans une boite de 42 mm aux cornes caractéristiques de la collection IO, marquées de trois griffes. Cette montre se porte sur un bracelet en alligator noir ou bleu selon la version avec boucle déployante.
Aujourd’hui, et pour la première fois chez Hysek, c’est au tour de la complication « calendrier annuel » d’arriver en collection. Des heures, minutes, secondes et un calendrier : jusque-là, il n’y a guère de grande innovation dans cette configuration horlogère qui existe depuis près d’un siècle. Voilà précisément ce qui a poussé Hysek à se pencher sur le sujet
Cette nouvelle IO se dote donc d’un calendrier capable de décompter tous les mois de 30 ou 31 jours, à la seule exception du mois de février qui exige une correction manuelle ; une fois par an donc. Mais incontestablement, ce qui fait l’originalité de cette pièce, c’est l’affichage de la date par le biais d’une grande date.
Cette dernière, souligne la marque dans son communiqué, « est en réalité une véritable complexité technique. Elle exige non pas un disque de date mais deux. Ils doivent être parfaitement synchronisés pour sauter à minuit juste et, pour pouvoir être entrainés à chaque changement de jour, ils exigent plus de ressources en énergie qu’un simple disque de date. Tout l’enjeu était donc de garantir le bon fonctionnement de ce mouvement calendaire sans grever la réserve de marche, ce que la IO Annual Calendar parvient à faire, avec plus de 44 heures d’autonomie garantie ». Le calibre automatique Swiss Made, fort de 193 composants, est visible à travers un fond saphir.
L’affichage des mois, lui, fait l’objet d’un traitement particulier. Pour préserver la lisibilité du cadran, Hysek n’a pas souhaité ajouter d’aiguille centrale -un choix très répandu pour indiquer les 12 mois, lesquels viennent effectivement se caler naturellement sur les 12 index du cadran. La marque a préféré un affichage par disque, là encore un élément mobile additionnel qui exige une parfaite gestion de l’énergie mécanique. Les mois décomptés de 1 à 12 sont ainsi exposés dans un guichet dédié à 8h. Le mois en cours est indiqué par une flèche qui n’offre ainsi aucune erreur d’interprétation possible.
Pour le reste, le cadran bleu ou gris est complété d’aiguilles flèches et de la grande date à double guichet rectangulaire à midi. Quant aux mois, ils s’affichent de manière originale par le biais d’un guichet en forme de virgule, le tout sur un cadran soleillé qui arbore aussi un compteur de petite seconde en guilloché circulaire à 5h. A noter que les index des heures ne reprennent que les chiffres chers à la manufacture : 1, 5, 7 et 11. A midi, la « 12 » a été remplacé par le « H » de Hysek, que l’on retrouve également sur la couronne.
L’ensemble se place dans une boite de 42 mm aux cornes caractéristiques de la collection IO, marquées de trois griffes. Cette montre se porte sur un bracelet en alligator noir ou bleu selon la version avec boucle déployante.