En matière de salons horlogers, la Suisse et plus précisément Genève, remporte haut la main la palme d’Or avec Watches & Wonders et les évènements périphériques qui se tiennent chaque printemps, mais aussi, avec les Geneva Watch Days qui ont lieu tous les ans à la fin du mois d’aout et qui réunissent à chaque nouvelle édition, plus de participants (marque et grand public) !
Dans les grands rendez-vous horlogers internationaux également, l’incontournable Dubaï Watch Week (DWW) de la famille Seddiqi, qui, depuis 2015 tous les deux ans, enchante les fans de belles mécaniques dans une ambiance chic et décontractée où tout l’univers de l’horlogerie contemporaine se retrouve pendant une semaine.
Il faut savoir que si les salons horlogers sont ce qu’ils sont de nos jours, c’est en grande partie grâce à la DWW qui a mis en place dès sa création, en plus des traditionnels stands où les horlogers présentent leurs nouveautés, des talk-shows, des panels de discussion, des rendez-vous entre collectionneurs, des expositions sur les montres vintage, une communication contemporaine sur les réseaux sociaux, etc.
Bref, la DWW a fait entrer les salons horlogers dans le 21ème siècle.
Dans les grands rendez-vous horlogers internationaux également, l’incontournable Dubaï Watch Week (DWW) de la famille Seddiqi, qui, depuis 2015 tous les deux ans, enchante les fans de belles mécaniques dans une ambiance chic et décontractée où tout l’univers de l’horlogerie contemporaine se retrouve pendant une semaine.
Il faut savoir que si les salons horlogers sont ce qu’ils sont de nos jours, c’est en grande partie grâce à la DWW qui a mis en place dès sa création, en plus des traditionnels stands où les horlogers présentent leurs nouveautés, des talk-shows, des panels de discussion, des rendez-vous entre collectionneurs, des expositions sur les montres vintage, une communication contemporaine sur les réseaux sociaux, etc.
Bref, la DWW a fait entrer les salons horlogers dans le 21ème siècle.
Pour autant, c’est oublier un peu vite que, déjà en 2004, le détaillant horloger singapourien The Hour Glass -un groupe appartenant à la famille Tay- lançait à l’époque son propre salon baptisé « Tempus - The Great Watchscapade », considéré comme l’un des premiers grands rendez-vous d’amateurs de montres au monde.
Mais là où Singapour fait figure d’exception, c’est dans le domaine de l’horlogerie indépendante… Si cette horlogerie indépendante est si forte aujourd’hui, c’est incontestablement grâce à l’action de Michael Tay, héritier de The Hour Glass qui a œuvré pendant des années pour promouvoir les jeunes talents de l’horlogerie mécanique.
Dans la continuité de ce positionnement et vingt ans après Tempus – The Great Watchscapade, The Hour Glass a donc renoué de belle manière avec les grands évènements et rencontres horlogères avec la création d’IAMWATCH.
Mais là où Singapour fait figure d’exception, c’est dans le domaine de l’horlogerie indépendante… Si cette horlogerie indépendante est si forte aujourd’hui, c’est incontestablement grâce à l’action de Michael Tay, héritier de The Hour Glass qui a œuvré pendant des années pour promouvoir les jeunes talents de l’horlogerie mécanique.
Dans la continuité de ce positionnement et vingt ans après Tempus – The Great Watchscapade, The Hour Glass a donc renoué de belle manière avec les grands évènements et rencontres horlogères avec la création d’IAMWATCH.
Ce salon d’un genre nouveau s’est tenu au sein de l’hôtel Edition proche d’Orchad road, l’artère principale de Singapour, largement dédiée au tourisme. C’est dans ce lieu chic et discret qu’IAMWATCH a été organisé de main de maitre par les équipes de The Hour Glass !
Trois jours dédiés à l’horlogerie dans une ambiance « cool, décontractée et décalée » ! Imaginez, The Hour Glass a réussi le tour de force de faire cohabiter une quarantaine de marques* au sein de trois salles différentes sans mettre en avant les marques, mais plutôt, les hommes qui les font !
Aucun logo, aucun stand. Juste une table. Quelques chaises, des montres et des hommes. Ainsi, Felix Baumgartner représentait Urwerk, Maximilian Büsser bien évidemment MB&F, Jean-Claude Biver sa marque éponyme, Pierre Jacques incarnait De Bethune, Gautier Massonneau sa maison Trilobe, etc. !
Trois jours dédiés à l’horlogerie dans une ambiance « cool, décontractée et décalée » ! Imaginez, The Hour Glass a réussi le tour de force de faire cohabiter une quarantaine de marques* au sein de trois salles différentes sans mettre en avant les marques, mais plutôt, les hommes qui les font !
Aucun logo, aucun stand. Juste une table. Quelques chaises, des montres et des hommes. Ainsi, Felix Baumgartner représentait Urwerk, Maximilian Büsser bien évidemment MB&F, Jean-Claude Biver sa marque éponyme, Pierre Jacques incarnait De Bethune, Gautier Massonneau sa maison Trilobe, etc. !
Pendant trois jours quelques professionnels et influenceurs se sont mélangés aux amateurs et connaisseurs locaux et internationaux (hommes et femmes à nombre égal) qui se sont joints à cet évènement sans équivalence dans le monde. L’un des mots d’ordre ? Venir équipé de deux montres aux poignets.
Et pour le coup, tout le monde a joué le jeu.
A ce titre, la soirée d’ouverture fut un moment d’anthologie avec tous les clients de The Hour Glass qui sont arrivés avec des montres que l’on voit rarement sur le marché : des F.P.Journe d’exception, des MB&F et des Urwerk, des Chopard et des Rolex, des Patek Philippe (dont les dernières Cubitus) et des Audemars Piguet, des Richard Mille et des Greubel Forsey (le collectionneur local Bernard Cheong en portait deux dont un modèle prototype !), des Rexep Rexepi et des Trilobe… Liste non exhaustive bien évidemment !
Bref, une concentration de montres exceptionnelles et des millions de dollars réunis en une soirée mémorable.
Et pour le coup, tout le monde a joué le jeu.
A ce titre, la soirée d’ouverture fut un moment d’anthologie avec tous les clients de The Hour Glass qui sont arrivés avec des montres que l’on voit rarement sur le marché : des F.P.Journe d’exception, des MB&F et des Urwerk, des Chopard et des Rolex, des Patek Philippe (dont les dernières Cubitus) et des Audemars Piguet, des Richard Mille et des Greubel Forsey (le collectionneur local Bernard Cheong en portait deux dont un modèle prototype !), des Rexep Rexepi et des Trilobe… Liste non exhaustive bien évidemment !
Bref, une concentration de montres exceptionnelles et des millions de dollars réunis en une soirée mémorable.
Les trois journées qui ont suivi n’ont pas désempli. Du monde. Du beau monde. Des célébrités locales mais aussi et surtout, des amateurs, des collectionneurs et des acheteurs éclairés -et fortunés- connaissant parfaitement le monde de l’horlogerie traditionnelle et celui de ces indépendants qui venaient de Suisse bien sûr, mais aussi de France (Trilobe, Maison Alcée ou Utinam), de Russie (Konstantin Chaykin), d’Espagne (Franc Vila), de Finlande (Stephen Sarpaneva) ou d’Italie.
Des visiteurs venus pour découvrir et discuter en toute décontraction sur un coin de table avec Jean-Claude Biver, Alain Silberstein, Aurel Bacs, Felix Baumgartner, Jean Arnault, Kari Voutilainen, Manuel Emch, Philippe Lebru ou encore Stephan Sarpaneva !
Après ces trois journées intenses, toutes les marques semblent ravies de cette expérience horlogère d’un genre nouveau. Elles ont pu, non seulement présenter leurs nouveautés, mais également, pour la plupart, vendre plusieurs pièces à des connaisseurs venus aussi pour se faire plaisir !
Des visiteurs venus pour découvrir et discuter en toute décontraction sur un coin de table avec Jean-Claude Biver, Alain Silberstein, Aurel Bacs, Felix Baumgartner, Jean Arnault, Kari Voutilainen, Manuel Emch, Philippe Lebru ou encore Stephan Sarpaneva !
Après ces trois journées intenses, toutes les marques semblent ravies de cette expérience horlogère d’un genre nouveau. Elles ont pu, non seulement présenter leurs nouveautés, mais également, pour la plupart, vendre plusieurs pièces à des connaisseurs venus aussi pour se faire plaisir !
Parmi les très belles découvertes de ce salon, deux véritables coups de cœur : l’un pour Raul Pages et son régulateur à détente (lauréat du tout premier Louis Vuitton Watch Prize for Independant Creatives) et l’autre pour Sylvain Pinaud et son modèle Origine. Deux indépendants qui ne produisent que quelques pièces par an mais qui méritent qu’on s’y intéresse de très près. D’ailleurs, leurs stands n’ont jamais désempli !
Naturellement, comme tout salon horloger qui se respecte, IAMWATCH a proposé tout au long de ces trois jours de nombreux talk-shows avec les responsables des exposants participant à l’évènement : au programme, « Marché, moral et manufacture », « L’entreprenariat horloger », « Les rois du come-back », « Les futurs grands noms de l’horlogerie », « Réinventer la roue », etc.
Au final, IAMWATCH est un pari réussi plus que réussi. Une organisation exceptionnelle. Un visitorat de très haute qualité. Une participation des marques sans faille. Bref, on espère que ce nouveau rendez-vous va s’inscrire dans la durée et qu’il reviendra l’an prochain.
Naturellement, comme tout salon horloger qui se respecte, IAMWATCH a proposé tout au long de ces trois jours de nombreux talk-shows avec les responsables des exposants participant à l’évènement : au programme, « Marché, moral et manufacture », « L’entreprenariat horloger », « Les rois du come-back », « Les futurs grands noms de l’horlogerie », « Réinventer la roue », etc.
Au final, IAMWATCH est un pari réussi plus que réussi. Une organisation exceptionnelle. Un visitorat de très haute qualité. Une participation des marques sans faille. Bref, on espère que ce nouveau rendez-vous va s’inscrire dans la durée et qu’il reviendra l’an prochain.
Pour rappel, Singapour est un petit pays qui se trouve à la pointe du continent asiatique. Il s’enorgueillit d’ailleurs, d’avoir, sur l’ile de Sentosa, le point le plus le plus méridional du continent asiatique. Situé à quelques dizaines de kilomètres de l’équateur, il y fait quasiment le même temps toute l’année. Une atmosphère chaude et humide de 32 degrés avec plus ou moins de pluie selon les mois de l’année.
Jean-Philippe Tarot
*Alain Silberstein, Alcée Montfort, Alex Ghotbi, Anton Suhanov, Aurel Bacs, Benoît Mintiens, David Rooney, Emmanuel Esposito, Felix Baumgartner, Florian Bédat, Franc Vila, Gaël Petermann, Gautier Massonneau, Hughes Low, Ilya Gelfman, Jean Arnault, Kari Voutilainen, Konstantin Chaykin, Lee Yuen-Rapati, Manuel Emch, Masaki Saito, Matthieu Haverlan, Max Quintavalle, Maximilian Büsser, Patrick Pruniaux, Philippe Lebru, Pierre Biver, Pierre Jacques, Pierre Millereau, Raúl Pagès, Rémi Maillat, Rémy Cools, Rexhep Rexhepi, Robert Bray, Sam Hines, Sean Li, SJX, Stepan Sarpaneva, Sylvain Pinaud, Théo Auffret, Tiffany To.
Jean-Philippe Tarot
*Alain Silberstein, Alcée Montfort, Alex Ghotbi, Anton Suhanov, Aurel Bacs, Benoît Mintiens, David Rooney, Emmanuel Esposito, Felix Baumgartner, Florian Bédat, Franc Vila, Gaël Petermann, Gautier Massonneau, Hughes Low, Ilya Gelfman, Jean Arnault, Kari Voutilainen, Konstantin Chaykin, Lee Yuen-Rapati, Manuel Emch, Masaki Saito, Matthieu Haverlan, Max Quintavalle, Maximilian Büsser, Patrick Pruniaux, Philippe Lebru, Pierre Biver, Pierre Jacques, Pierre Millereau, Raúl Pagès, Rémi Maillat, Rémy Cools, Rexhep Rexhepi, Robert Bray, Sam Hines, Sean Li, SJX, Stepan Sarpaneva, Sylvain Pinaud, Théo Auffret, Tiffany To.