Ce nouveau modèle est incontestablement l’héritier direct de la Da Vinci Calendrier Perpétuel de 1985 (voir photo ci-dessous dans les specs techniques). Certes, ce n’est clairement pas la même montre, mais l’esprit de la pièce vintage se retrouve dans le design de cet imposant garde-temps contemporain qui affiche 43 mm de diamètre pour 15,5 mm d’épaisseur.
La couronne et les deux poussoirs sont de forme cylindrique et non plus ronde comme sur la Da Vinci de 1985. A noter que les cornes de bracelet mobiles et volumineuses permettent à cette montre imposante de s’adapter aux poignets relativement fins.
Sur le cadran, les compteurs des heures et des minutes sont rassemblés dans le guichet à « 12 heures », les temps chronométrés peuvent donc se lire telle une « deuxième heure » ; une solution bien plus élégante que de chronométrer des temps additionnels sur deux totaliseurs séparés (on retrouve ce système chez Omega également).
L’aiguille centrale du chronographe, de couleur bleue, permet de mesurer les secondes au huitième de seconde près. Le chronographe dispose de deux poussoirs qui contrôlent les fonctions start, stop et reset ainsi que la remise à zéro de l’aiguille (flyback). Le mouvement est construit de manière à ce que la fonction stop puisse fonctionner durablement sans affecter sensiblement la durée de marche.
La couronne et les deux poussoirs sont de forme cylindrique et non plus ronde comme sur la Da Vinci de 1985. A noter que les cornes de bracelet mobiles et volumineuses permettent à cette montre imposante de s’adapter aux poignets relativement fins.
Sur le cadran, les compteurs des heures et des minutes sont rassemblés dans le guichet à « 12 heures », les temps chronométrés peuvent donc se lire telle une « deuxième heure » ; une solution bien plus élégante que de chronométrer des temps additionnels sur deux totaliseurs séparés (on retrouve ce système chez Omega également).
L’aiguille centrale du chronographe, de couleur bleue, permet de mesurer les secondes au huitième de seconde près. Le chronographe dispose de deux poussoirs qui contrôlent les fonctions start, stop et reset ainsi que la remise à zéro de l’aiguille (flyback). Le mouvement est construit de manière à ce que la fonction stop puisse fonctionner durablement sans affecter sensiblement la durée de marche.
Le calendrier perpétuel fonctionne avec une précision extrême : ainsi, l’affichage des phases de Lune ne déviera de la course effective de la Lune que d’un jour en… 577,5 années ! A condition que la montre ne cesse jamais de fonctionner, cela va de soi. Sur les trois guichets de même couleur situés à « 3 », « 6 » et « 9 heures », le calendrier perpétuel affiche, dans le sens horaire, la date, le mois et le jour de la semaine ; l’affichage de l’année à quatre chiffres apparaît dans une petite fenêtre, en bas à gauche du cadran.
Mécaniquement programmé, il tient compte des longueurs de mois différentes et même des années bissextiles. Une fois tous les cent ans (2100, 2200, etc.), le 28 février qui devrait avoir lieu tous les quatre ans n’a pas lieu ; le calendrier devra alors être avancé d’une journée le 1er mars par un horloger. En 2300, il faudra également changer le curseur séculaire actuel portant les chiffres « 20 », « 21 » et « 22 » pour installer le nouveau, programmé pour la période allant de 2300 à 2599
Malgré les nombreux affichages, le cadran reste clair et lisible, notamment grâce au choix du bleu foncé pour le totaliseur chronographe et phases de Lune situé à « 12 heures ». Cela contraste nettement avec le cadran et les trois autres guichets de couleur argentée pour la version en or rouge ou ardoise pour la version en acier.
Un seul regard à travers le fond en verre saphir dévoile la conception du mouvement « maison » et ses vis bleuies, la masse oscillante en or rouge massif ainsi que les différentes finitions des ponts. Ce calibre affiche par ailleurs une belle réserve de marche de 68 heures.
Mécaniquement programmé, il tient compte des longueurs de mois différentes et même des années bissextiles. Une fois tous les cent ans (2100, 2200, etc.), le 28 février qui devrait avoir lieu tous les quatre ans n’a pas lieu ; le calendrier devra alors être avancé d’une journée le 1er mars par un horloger. En 2300, il faudra également changer le curseur séculaire actuel portant les chiffres « 20 », « 21 » et « 22 » pour installer le nouveau, programmé pour la période allant de 2300 à 2599
Malgré les nombreux affichages, le cadran reste clair et lisible, notamment grâce au choix du bleu foncé pour le totaliseur chronographe et phases de Lune situé à « 12 heures ». Cela contraste nettement avec le cadran et les trois autres guichets de couleur argentée pour la version en or rouge ou ardoise pour la version en acier.
Un seul regard à travers le fond en verre saphir dévoile la conception du mouvement « maison » et ses vis bleuies, la masse oscillante en or rouge massif ainsi que les différentes finitions des ponts. Ce calibre affiche par ailleurs une belle réserve de marche de 68 heures.
Spécificités techniques
Boîtier 43 mm en or rouge cadran argenté
ou
Boîtier en acier 43 mm cadran ardoise
Epaisseur 15,5 mm
Verre saphir, bord arqué, antireflet sur les deux faces
Étanche 3 bars
Calibre automatique manufacture 89630
Fréquence 28 800 A/h - 4 Hz
Rubis 51
Réserve de marche : 68 h
Bracelet en alligator noir ou brun de chez Santoni avec boucle déployante de la même matière que le boitier
ou
Boîtier en acier 43 mm cadran ardoise
Epaisseur 15,5 mm
Verre saphir, bord arqué, antireflet sur les deux faces
Étanche 3 bars
Calibre automatique manufacture 89630
Fréquence 28 800 A/h - 4 Hz
Rubis 51
Réserve de marche : 68 h
Bracelet en alligator noir ou brun de chez Santoni avec boucle déployante de la même matière que le boitier
