D’un excellent rapport/qualité prix, il s’agit bel et bien de l’une des premières montres que l’on s’offre lorsqu’on commence à s’intéresser de plus près aux garde-temps de luxe.
Heures, minutes, secondes et un discret affichage de la date, le tout animé par un robuste mouvement automatique mécanique (ETA) ; il n’en faut pas plus à cette montre qui est l’expression même de la sobriété.
C’est sans doute cette forme dépouillée qui lui a permis de s’imposer comme la star tranquille de Schaffhausen au fil des décennies.
Cette année, la Portofino Automatic a encore gagné en volume. Le boîtier de 38 millimètres a longtemps été la mesure de toute chose, avant de passer, en toute modération, à 39 millimètres en 2007. En 2011, l’année des Portofino, ce classique se présente désormais dans un boîtier plus contemporain de 40 millimètres.
Les designers IWC n’en sont toutefois pas restés là et se sont aussi penchés sur la forme de la Portofino Automatic : « la carrure ronde du boîtier décrit une courbe régulière, ce qui confère à cette pièce une apparence encore plus mince, tandis que les fines cornes galbées s’intègrent naturellement dans l’ensemble, offrant ainsi des proportions harmonieuses à cette sobre merveille de l’art horloger » assure la marque dans son communiqué.
Son design classique rappelle les modèles IWC des années 1960, sans en faire pour autant une montre rétro (mais tout de même un peut vintage, la grande tendance de cette édition du SIHH 2011, chez pratiquement toutes les marques). Dans les années 1960, les bracelets à maille milanaise jouissaient d’un fort engouement. C’est ainsi que l’on appelle ces bracelets fins en mailles métalliques très serrées qui, bien que robustes, sont agréables à porter en raison de leur souplesse.
Autrefois, ils étaient directement soudés au boîtier. Ici, le bracelet à maille milanaise est rattaché à la montre par des barrettes, à l’image des bracelets en alligator. Ils sont disponibles en trois longueurs et s’ajustent parfaitement à tous les poignets par intervalles de 5 millimètres.
Ce garde-temps en acier fin est proposé avec un cadran argenté ou noir, un affichage de la date assorti et, petite touche d’originalité, un « 60 » secondes en rouge situé à midi. Une gravure du port de Portofino sur le fond du boîtier vient rehausser le raffinement de cette montre. Existe également en or rouge.
Heures, minutes, secondes et un discret affichage de la date, le tout animé par un robuste mouvement automatique mécanique (ETA) ; il n’en faut pas plus à cette montre qui est l’expression même de la sobriété.
C’est sans doute cette forme dépouillée qui lui a permis de s’imposer comme la star tranquille de Schaffhausen au fil des décennies.
Cette année, la Portofino Automatic a encore gagné en volume. Le boîtier de 38 millimètres a longtemps été la mesure de toute chose, avant de passer, en toute modération, à 39 millimètres en 2007. En 2011, l’année des Portofino, ce classique se présente désormais dans un boîtier plus contemporain de 40 millimètres.
Les designers IWC n’en sont toutefois pas restés là et se sont aussi penchés sur la forme de la Portofino Automatic : « la carrure ronde du boîtier décrit une courbe régulière, ce qui confère à cette pièce une apparence encore plus mince, tandis que les fines cornes galbées s’intègrent naturellement dans l’ensemble, offrant ainsi des proportions harmonieuses à cette sobre merveille de l’art horloger » assure la marque dans son communiqué.
Son design classique rappelle les modèles IWC des années 1960, sans en faire pour autant une montre rétro (mais tout de même un peut vintage, la grande tendance de cette édition du SIHH 2011, chez pratiquement toutes les marques). Dans les années 1960, les bracelets à maille milanaise jouissaient d’un fort engouement. C’est ainsi que l’on appelle ces bracelets fins en mailles métalliques très serrées qui, bien que robustes, sont agréables à porter en raison de leur souplesse.
Autrefois, ils étaient directement soudés au boîtier. Ici, le bracelet à maille milanaise est rattaché à la montre par des barrettes, à l’image des bracelets en alligator. Ils sont disponibles en trois longueurs et s’ajustent parfaitement à tous les poignets par intervalles de 5 millimètres.
Ce garde-temps en acier fin est proposé avec un cadran argenté ou noir, un affichage de la date assorti et, petite touche d’originalité, un « 60 » secondes en rouge situé à midi. Une gravure du port de Portofino sur le fond du boîtier vient rehausser le raffinement de cette montre. Existe également en or rouge.
Spécificités techniques de la Portofino IWC Automatic
Mouvement mécanique, affichage de la date, seconde au centre avec dispositif d’arrêt, variante en or rouge avec gravure spéciale sur le fond du boîtier
Mouvement Calibre 35110
Fréquence 28 800 A/h / 4 Hz
Rubis 25
Réserve de marche 42 h
Remontage automatique
Montre
boîtier en acier fin, cadran noir, bracelet à maille milanaise en acier fin ou bracelet en alligator noir avec boucle ardillon en acier fin boîtier en acier fin, cadran argenté, bracelet à maille milanaise en acier fin ou bracelet en alligator noir avec boucle ardillon en acier fin boîtier en or rouge 18 carats, cadran argenté,
Diamètre 40mm
Hauteur 9,5mm
Bracelet en alligator brun foncé, boucle ardillon en or rouge 18 carats
Verre saphir, bombé, antireflet sur les deux faces
Étanche 3 bar
Prix de vente public conseillé : 3.510 euros (tarif 2011 ; à partir de)
Mouvement Calibre 35110
Fréquence 28 800 A/h / 4 Hz
Rubis 25
Réserve de marche 42 h
Remontage automatique
Montre
boîtier en acier fin, cadran noir, bracelet à maille milanaise en acier fin ou bracelet en alligator noir avec boucle ardillon en acier fin boîtier en acier fin, cadran argenté, bracelet à maille milanaise en acier fin ou bracelet en alligator noir avec boucle ardillon en acier fin boîtier en or rouge 18 carats, cadran argenté,
Diamètre 40mm
Hauteur 9,5mm
Bracelet en alligator brun foncé, boucle ardillon en or rouge 18 carats
Verre saphir, bombé, antireflet sur les deux faces
Étanche 3 bar
Prix de vente public conseillé : 3.510 euros (tarif 2011 ; à partir de)