« Nous sommes extrêmement fiers de David de Rothschild et de l’équipe d’Adventure Ecology et nous sommes très heureux qu’ils aient aussi brillamment réussi cet audacieux voyage », a déclaré à cette occasion Georges Kern, PDG de la manufacture horlogère IWC Schaffhausen (Groupe Richemont) qui a apporté son soutien au Plastiki en tant que partenaire officiel.
David de Rothschild qui, avec le catamaran de 12 tonneaux Plastiki, ouvre des voies totalement novatrices, est un penseur hors normes et un pionnier passionné de l’environnement. Il a concrétisé de manière créative sa vision d’une société considérant les déchets comme une ressource en recyclant 12.500 bouteilles en plastique pour construire la coque du bateau et en utilisant un matériau high-tech totalement recyclable, dont les possibilités d’utilisation ont encore peu été explorées –pour la superstructure de la coque.
Le Plastiki, un bateau avant-gardiste doté de panneaux solaires, d’éoliennes et de générateurs produisant de l’électricité par pédalage, démontre de manière impressionnante ce qu’il est possible d’accomplir lorsqu’on est prêt à quitter les sentiers battus.
David de Rothschild qui, avec le catamaran de 12 tonneaux Plastiki, ouvre des voies totalement novatrices, est un penseur hors normes et un pionnier passionné de l’environnement. Il a concrétisé de manière créative sa vision d’une société considérant les déchets comme une ressource en recyclant 12.500 bouteilles en plastique pour construire la coque du bateau et en utilisant un matériau high-tech totalement recyclable, dont les possibilités d’utilisation ont encore peu été explorées –pour la superstructure de la coque.
Le Plastiki, un bateau avant-gardiste doté de panneaux solaires, d’éoliennes et de générateurs produisant de l’électricité par pédalage, démontre de manière impressionnante ce qu’il est possible d’accomplir lorsqu’on est prêt à quitter les sentiers battus.
Des tonnes de déchets : un stress pour l’environnement
Par le biais de l’expédition Plastiki, David de Rothschild, son équipage (Jo Royle, David Thomson, Olav Heyerdahl, Vern Moen, Graham Hill, Max Jourdan, Singeli Agnew, Luca Babini et Matthew Grey) et son organisation Adventure Ecology ont voulu attirer l’attention du public sur les traces que l’être humain laisse de manière inconsidérée dans la nature.
On estime que, rien qu’aux USA, deux milliards de bouteilles en plastique ont été jetées durant la traversée de San Francisco à Sydney. Selon une enquête effectuée par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), quatre bouteilles sur cinq –c’est-à-dire quelque 27 millions de tonnes de plastique– sont encore jetées à la poubelle au lieu d’être recyclées, ce qui engendre une pollution environnementale durable.
L’expédition Plastiki avait donc pour objectif de provoquer une prise de conscience du public et de l’encourager à réduire les déchets en utilisant moins, en réutilisant et au bout du compte en refusant d’employer des objets en plastique jetable tels que la mousse de polystyrène ainsi que les sachets et les bouteilles en plastique.
Pas à pas vers l’objectif
« Il est possible de réduire les déchets plastiques de 75% en procédant à de petits changements et en repensant notre quotidien », affirme David de Rothschild avec conviction. « Refuser, réutiliser, recycler et repenser : ce sont là les maîtres-mots pour l’avenir ». Pour promouvoir cette mission, David de Rothschild continuera, avec son organisation Adventure Ecology, à suivre des voies peu conventionnelles pour appeler les individus, les entreprises et l’industrie à résoudre le problème des déchets en les considérant comme des ressources.
Par le biais de l’expédition Plastiki, David de Rothschild, son équipage (Jo Royle, David Thomson, Olav Heyerdahl, Vern Moen, Graham Hill, Max Jourdan, Singeli Agnew, Luca Babini et Matthew Grey) et son organisation Adventure Ecology ont voulu attirer l’attention du public sur les traces que l’être humain laisse de manière inconsidérée dans la nature.
On estime que, rien qu’aux USA, deux milliards de bouteilles en plastique ont été jetées durant la traversée de San Francisco à Sydney. Selon une enquête effectuée par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), quatre bouteilles sur cinq –c’est-à-dire quelque 27 millions de tonnes de plastique– sont encore jetées à la poubelle au lieu d’être recyclées, ce qui engendre une pollution environnementale durable.
L’expédition Plastiki avait donc pour objectif de provoquer une prise de conscience du public et de l’encourager à réduire les déchets en utilisant moins, en réutilisant et au bout du compte en refusant d’employer des objets en plastique jetable tels que la mousse de polystyrène ainsi que les sachets et les bouteilles en plastique.
Pas à pas vers l’objectif
« Il est possible de réduire les déchets plastiques de 75% en procédant à de petits changements et en repensant notre quotidien », affirme David de Rothschild avec conviction. « Refuser, réutiliser, recycler et repenser : ce sont là les maîtres-mots pour l’avenir ». Pour promouvoir cette mission, David de Rothschild continuera, avec son organisation Adventure Ecology, à suivre des voies peu conventionnelles pour appeler les individus, les entreprises et l’industrie à résoudre le problème des déchets en les considérant comme des ressources.
Aider autrui pour s’aider soi-même
Durant son voyage à travers l’Océan Pacifique, le Plastiki a fait une première escale à l’Ile Christmas, appelée aussi Kiritimati, après plus de 40 jours de navigation.
Après avoir été chaleureusement accueilli par des musiciens et danseurs traditionnels, l’équipage a donné une conférence sur les déchets à un millier d’élèves et lycéens. Les déchets constituent un problème qui préoccupe particulièrement les habitants de l’île.
En coopération avec les chefs de la communauté, l’équipage du Plastiki a évoqué les solutions locales permettant de résoudre le problème des déchets auquel ces nations insulaires reculées sont confrontées.
Adventure Ecology et sa fondation « Sculpt the Future » vont, dans le droit-fil de l’expédition du Plastiki, lancer un projet intitulé « The Plastiki Pod ». Ce projet bénéficiera d’un élan significatif grâce à la vente aux enchères d’un exemplaire exclusif en platine de la montre Ingenieur Automatic Mission Earth Edition « Adventure Ecology » d’IWC Schaffhausen.
Lors de la conférence de presse donnée à son arrivée à Sydney, David de Rothschild a donné le signal officiel du lancement de la vente de cette montre unique qui sera incessamment mise aux enchères sur le site de l’expédition, www.theplastiki.com. La marque IWC fera don de la totalité du produit de la vente à la fondation « Sculpt the Future », qui l’attribuera au projet « The Plastiki Pod ».
IWC Ingénieur Automatic Mission Earth Edition “Adventure Ecology”
Prix de vente public conseillé : 6.600 euros pour le modèle acier (prix juin 2010)
Durant son voyage à travers l’Océan Pacifique, le Plastiki a fait une première escale à l’Ile Christmas, appelée aussi Kiritimati, après plus de 40 jours de navigation.
Après avoir été chaleureusement accueilli par des musiciens et danseurs traditionnels, l’équipage a donné une conférence sur les déchets à un millier d’élèves et lycéens. Les déchets constituent un problème qui préoccupe particulièrement les habitants de l’île.
En coopération avec les chefs de la communauté, l’équipage du Plastiki a évoqué les solutions locales permettant de résoudre le problème des déchets auquel ces nations insulaires reculées sont confrontées.
Adventure Ecology et sa fondation « Sculpt the Future » vont, dans le droit-fil de l’expédition du Plastiki, lancer un projet intitulé « The Plastiki Pod ». Ce projet bénéficiera d’un élan significatif grâce à la vente aux enchères d’un exemplaire exclusif en platine de la montre Ingenieur Automatic Mission Earth Edition « Adventure Ecology » d’IWC Schaffhausen.
Lors de la conférence de presse donnée à son arrivée à Sydney, David de Rothschild a donné le signal officiel du lancement de la vente de cette montre unique qui sera incessamment mise aux enchères sur le site de l’expédition, www.theplastiki.com. La marque IWC fera don de la totalité du produit de la vente à la fondation « Sculpt the Future », qui l’attribuera au projet « The Plastiki Pod ».
IWC Ingénieur Automatic Mission Earth Edition “Adventure Ecology”
Prix de vente public conseillé : 6.600 euros pour le modèle acier (prix juin 2010)