Décembre 2013, port de croisière de Singapour. L’immense paquebot blanc se détache sur le ciel presque noir de Singapour, où depuis quelques jours, la pluie tombe sans discontinuer. Pas un petit crachin breton ; non, une pluie dense qui frappe les parapluies multicolores de lourdes gouttes et qui créé des rivières boueuses le long des trottoirs de la ville-état toujours impeccables.
Vers 13h, les passagers commencent à embarquer. Pour la plupart des Singapouriens, mais aussi des Malaysiens et des Indonésiens. Comme toujours à Singapour, tout se passe dans le calme et l’ordre. Familles, couples, personnes âgées parfois en chaises roulantes, forment une longue file sage qui s’apprêtent à s’installer pour quatre jours sur le plus grand navire de croisière qui évolue en Asie : le Mariner of the Seas, paquebot de luxe qui appartient à la Royal Caribbean Cruise Line.
Cet immense bateau est né en 2003 et a été rénové en 2012 : il affiche 311 mètres de long, 48 mètres de large, 3.114 passagers, 138.000 tonnes, quinze étages, treize restaurants, quatre piscines, une patinoire, un casino, une salle de spectacles, un mur d’escalades etc. et même, un mini-centre commercial qui accueille une dizaine de boutiques (Coach, Burberry’s, une parfumerie, une cave à cigare et à cognac…) sur la partie centrale du pont numéro 5.
Vers 13h, les passagers commencent à embarquer. Pour la plupart des Singapouriens, mais aussi des Malaysiens et des Indonésiens. Comme toujours à Singapour, tout se passe dans le calme et l’ordre. Familles, couples, personnes âgées parfois en chaises roulantes, forment une longue file sage qui s’apprêtent à s’installer pour quatre jours sur le plus grand navire de croisière qui évolue en Asie : le Mariner of the Seas, paquebot de luxe qui appartient à la Royal Caribbean Cruise Line.
Cet immense bateau est né en 2003 et a été rénové en 2012 : il affiche 311 mètres de long, 48 mètres de large, 3.114 passagers, 138.000 tonnes, quinze étages, treize restaurants, quatre piscines, une patinoire, un casino, une salle de spectacles, un mur d’escalades etc. et même, un mini-centre commercial qui accueille une dizaine de boutiques (Coach, Burberry’s, une parfumerie, une cave à cigare et à cognac…) sur la partie centrale du pont numéro 5.
C’est là, un sein de cette « rue piétonne » avec bar et restaurant que s’est installée la boutique IWC. Pas un petit corner ! Non, une véritable boutique de 60 mètres2 qui arbore tous les codes des magasins exclusifs de la marque tels qu’on peut les retrouver dans toutes les plus grandes villes du monde. A gauche, un petit salon avec cheminée, au centre des vitrines présentant les six familles de garde-temps IWC et sur la droite, un espace de vente. On se croirait les pieds sur terre alors qu’on est en pleine mer !
Naturellement, toutes les montres sont proposées en duty-free. Avantage non négligeable pour les clients qui peuvent s’offrir la Portugaise, la Portofino, l’Ingenieur ou l’Aquatimer –collection qui sera entièrement revisitée l’année prochaine- de leur rêve sans avoir à régler la TVA ! En ayant de surcroit, tout le temps d’essayer, de comparer, de réfléchir, sans aucun stress, si ce n’est de choisir le restaurant du prochain diner... Rien à voir avec un achat réalisé à la vite dans un aéroport ! Si la boutique doit rester fermée lorsque le navire est à quai (pour des raisons de réglementation), elle propose en revanche des horaires très flexibles lorsque le Mariner of the Seas navigue dans les eaux du sud-est asiatique (Singapour) ou de la mer de Chine (Shanghai).
La boutique IWC est voisine d’un détaillant horloger (Regalia) qui commercialise de son côté les marques Bvlgari, Zenith, Chopard, TAG Heuer ou Hublot. Ces deux dernières étant par ailleurs présentes sur certains navires qui croisent, entre autres, dans les Caraïbes. Naturellement, si ces expériences de magasins sur navires s’avèrent rentables, le concept devrait se développer dans les mois et années à venir. D’autant que les croisières ont le vent en poupe !
Naturellement, toutes les montres sont proposées en duty-free. Avantage non négligeable pour les clients qui peuvent s’offrir la Portugaise, la Portofino, l’Ingenieur ou l’Aquatimer –collection qui sera entièrement revisitée l’année prochaine- de leur rêve sans avoir à régler la TVA ! En ayant de surcroit, tout le temps d’essayer, de comparer, de réfléchir, sans aucun stress, si ce n’est de choisir le restaurant du prochain diner... Rien à voir avec un achat réalisé à la vite dans un aéroport ! Si la boutique doit rester fermée lorsque le navire est à quai (pour des raisons de réglementation), elle propose en revanche des horaires très flexibles lorsque le Mariner of the Seas navigue dans les eaux du sud-est asiatique (Singapour) ou de la mer de Chine (Shanghai).
La boutique IWC est voisine d’un détaillant horloger (Regalia) qui commercialise de son côté les marques Bvlgari, Zenith, Chopard, TAG Heuer ou Hublot. Ces deux dernières étant par ailleurs présentes sur certains navires qui croisent, entre autres, dans les Caraïbes. Naturellement, si ces expériences de magasins sur navires s’avèrent rentables, le concept devrait se développer dans les mois et années à venir. D’autant que les croisières ont le vent en poupe !
