On ne présente plus la Portugaise de chez IWC. Surtout dans sa version de « base » qui in fine, reste la plus connue de toutes avec son calibre chrono bicompax vertical 79350 (base 7750 ; 44h de réserve de marche) et son boitier en acier de 40,9 mm, étanche à 30 mètres.
Cette pièce a connu de nombreuses versions et éditions limitées au cours de son existence (on se souvient tous de la très belle Anthony Zimmer à 38 exemplaires), mais c’est la toute première fois qu’elle arbore un cadran bleu avec des chiffres arabes (réf. IW371491). A noter qu’une édition spéciale existait déjà en cadran bleu (légèrement différent) mais avec des chiffres en arabe et en série limitée à 200 exemplaires pour la maison dubaïote Seddiqi.
Rappelons que si le bleu est devenu très tendance depuis cinq ans, « blue is new black », cela fait déjà une cinquantaine d’années qu’IWC propose des cadrans de cette couleur, mais c’est en revanche la première fois qu’elle entre en collection au sein de la gamme Portugaise. Cette pièce se porte sur un bracelet en alligator noir. Elle vient tout juste d’arriver en boutique au prix de 7.600 euros.
Cette pièce a connu de nombreuses versions et éditions limitées au cours de son existence (on se souvient tous de la très belle Anthony Zimmer à 38 exemplaires), mais c’est la toute première fois qu’elle arbore un cadran bleu avec des chiffres arabes (réf. IW371491). A noter qu’une édition spéciale existait déjà en cadran bleu (légèrement différent) mais avec des chiffres en arabe et en série limitée à 200 exemplaires pour la maison dubaïote Seddiqi.
Rappelons que si le bleu est devenu très tendance depuis cinq ans, « blue is new black », cela fait déjà une cinquantaine d’années qu’IWC propose des cadrans de cette couleur, mais c’est en revanche la première fois qu’elle entre en collection au sein de la gamme Portugaise. Cette pièce se porte sur un bracelet en alligator noir. Elle vient tout juste d’arriver en boutique au prix de 7.600 euros.