Deuxième ville de France, Marseille entretient une relation particulière avec la mer. Fondée par des colons grecs d’Asie mineure originaires de Phocée vers 600 avant Jésus-Christ, cette cité portuaire a toujours regardé la mer avec passion, respect et fascination.
Parmi les nombreux êtres marins qui ont captivé l’imagination des Marseillais –en plus de la célèbre sardine qui avait « bouché » son port et de la rascasse sans laquelle aucune bouillabaisse ne pourrait être réussie –, le poulpe tient une place spéciale, à part, unique.
Ce céphalopode doté d’un grand nombre de neurones et d’une authentique sensibilité, n’est pas n’importe quel animal. Créature énigmatique, intelligente et emblématique de la richesse marine, le poulpe possède en effet un supplément d’âme que les autres animaux subaquatiques n’ont pas.
Parmi les nombreux êtres marins qui ont captivé l’imagination des Marseillais –en plus de la célèbre sardine qui avait « bouché » son port et de la rascasse sans laquelle aucune bouillabaisse ne pourrait être réussie –, le poulpe tient une place spéciale, à part, unique.
Ce céphalopode doté d’un grand nombre de neurones et d’une authentique sensibilité, n’est pas n’importe quel animal. Créature énigmatique, intelligente et emblématique de la richesse marine, le poulpe possède en effet un supplément d’âme que les autres animaux subaquatiques n’ont pas.
C’est dans ce contexte et sans se départir de son sens méridional du décalage, que la maison horlogère Jacques Bianchi Marseille a décidé de rendre hommage à cet animal en lançant une nouvelle évolution de la JB200 : la Poulpro.
Ainsi, deux ans après le succès de son relancement qui fut une véritable lame de fond, la JB200 refait surface. Hommage à son aïeule qui était en dotation dans la Marine Nationale dans les années 80, la nouvelle JB200 conserve les attributs qui ont façonné sa personnalité : couronne à gauche, étanchéité de 200 mètres, boîtier de 42 mm en acier 316L et un look de « tool watch » assumé.
« Notre ambition est de faire de Jacques Bianchi Marseille une marque horlogère incontournable, reconnue pour son savoir-faire, son esthétique unique et sa profonde affiliation avec la culture marseillaise » souligne Simo Tber, le PDG de Jacques Bianchi Marseille. « La JB200 POULPRO est le reflet de cette vision, et nous sommes déterminés à la porter encore plus loin. »
Ainsi, deux ans après le succès de son relancement qui fut une véritable lame de fond, la JB200 refait surface. Hommage à son aïeule qui était en dotation dans la Marine Nationale dans les années 80, la nouvelle JB200 conserve les attributs qui ont façonné sa personnalité : couronne à gauche, étanchéité de 200 mètres, boîtier de 42 mm en acier 316L et un look de « tool watch » assumé.
« Notre ambition est de faire de Jacques Bianchi Marseille une marque horlogère incontournable, reconnue pour son savoir-faire, son esthétique unique et sa profonde affiliation avec la culture marseillaise » souligne Simo Tber, le PDG de Jacques Bianchi Marseille. « La JB200 POULPRO est le reflet de cette vision, et nous sommes déterminés à la porter encore plus loin. »
Autre nouveauté et de taille : cette nouvelle JB200 version 2023 est désormais motorisée par un mouvement automatique suisse, un Soprod P024 (réserve de marche de 42h) et non plus le Seiko NH 35 comme les versions précédentes avec le plongeur sur le cadran.
L’épaisseur de son boîtier, dont l’architecture et la géométrie évoquent les plongeuses des années 80 a été légèrement affinée pour accueillir ce nouveau calibre. Disponible en version noire ou bleu (protégée par un verre saphir) et équipée d’un bracelet de type Tropic assorti, la JB200 Poulpro inaugure un nouveau chapitre la maison Jacques Bianchi Marseille qui devrait encore s’enrichir en 2024 !
Depuis des siècles, à Marseille, le poulpe est vénéré comme un véritable ambassadeur des fonds marins. Sa silhouette énigmatique dotée de huit bras munis de ventouses et ses capacités exceptionnelles d’adaptation à son environnement ont toujours intrigué les esprits curieux de la cité phocéenne.
L’épaisseur de son boîtier, dont l’architecture et la géométrie évoquent les plongeuses des années 80 a été légèrement affinée pour accueillir ce nouveau calibre. Disponible en version noire ou bleu (protégée par un verre saphir) et équipée d’un bracelet de type Tropic assorti, la JB200 Poulpro inaugure un nouveau chapitre la maison Jacques Bianchi Marseille qui devrait encore s’enrichir en 2024 !
Depuis des siècles, à Marseille, le poulpe est vénéré comme un véritable ambassadeur des fonds marins. Sa silhouette énigmatique dotée de huit bras munis de ventouses et ses capacités exceptionnelles d’adaptation à son environnement ont toujours intrigué les esprits curieux de la cité phocéenne.
Le poulpe, comme ses cousins céphalopodes éloignés tels que la pieuvre, la seiche et le calamar, a depuis longtemps captivé l’imagination des artistes, écrivains et cinéastes ; et pas seulement à Marseille.
Des récits mythologiques antiques aux épopées des grands récits d’aventure, cette créature marine, qui peut changer de couleur en un dixième de seconde ou se faufiler dans de minuscules cavités rocheuses, a inspiré de nombreuses œuvres artistiques et littéraires à travers les siècles.
Dans la mythologie grecque, par exemple, le poulpe – par ailleurs très souvent représenté sur des mosaïques – était associé à la déesse de la sagesse, Athéna, symbolisant l’intelligence et la ruse.
Des écrivains du XIXe siècle, comme Jules Verne dans « Vingt-mille lieues sous les mers » ou Victor Hugo dans « Les travailleurs de la mer » ont également exploité le spectaculaire capital narratif en mettant en scène des poulpes géants dans leurs œuvres littéraires, stimulant ainsi l’imagination.
On pourrait aussi évoquer Le Poulpe de Jean-Bernard Pouy, personnage de polar inauguré en 1995 avec La petite écuyère a cafté dont chaque roman fut écrit par un auteur différent. Gabriel Lecouvreur, jeune détective libertaire y est surnommé « Le Poulpe » à cause de ses longs bras semblables aux tentacules d'un poulpe.
Au-delà de sa symbolique marine, le poulpe est également présent dans l’art, la culture, la mode et la gastronomie marseillaise. On le retrouve aussi représenté dans les œuvres d’art contemporain, les sculptures et les fresques murales qui ornent les rues de la ville.
En vieux provençal, on appelait un poulpe, un « póulpro » avant de le nommer « póurpre » suite aux influences linguistiques espagnoles et italiennes. Désormais, le « póulpro » est aussi une montre. « Mais nous ne nous arrêtons pas là » ajoute Simo Tber.
« La JB200 Poulpro est le début d’une nouvelle ère pour Jacques Bianchi Marseille. Nous avons en tête de nouvelles idées, de nouveaux designs et de nouvelles collaborations qui continueront à surprendre nos clients et à renforcer notre position dans l’univers horloger. »
Cette nouvelle version sera disponible en noir « encre de seiche » et bleu « Méditerranée » en précommande sur www.jacquesbianchi.com au prix de 775 euros TTC à partir du 7 septembre pour une durée limitée de seulement 15 jours.
Des récits mythologiques antiques aux épopées des grands récits d’aventure, cette créature marine, qui peut changer de couleur en un dixième de seconde ou se faufiler dans de minuscules cavités rocheuses, a inspiré de nombreuses œuvres artistiques et littéraires à travers les siècles.
Dans la mythologie grecque, par exemple, le poulpe – par ailleurs très souvent représenté sur des mosaïques – était associé à la déesse de la sagesse, Athéna, symbolisant l’intelligence et la ruse.
Des écrivains du XIXe siècle, comme Jules Verne dans « Vingt-mille lieues sous les mers » ou Victor Hugo dans « Les travailleurs de la mer » ont également exploité le spectaculaire capital narratif en mettant en scène des poulpes géants dans leurs œuvres littéraires, stimulant ainsi l’imagination.
On pourrait aussi évoquer Le Poulpe de Jean-Bernard Pouy, personnage de polar inauguré en 1995 avec La petite écuyère a cafté dont chaque roman fut écrit par un auteur différent. Gabriel Lecouvreur, jeune détective libertaire y est surnommé « Le Poulpe » à cause de ses longs bras semblables aux tentacules d'un poulpe.
Au-delà de sa symbolique marine, le poulpe est également présent dans l’art, la culture, la mode et la gastronomie marseillaise. On le retrouve aussi représenté dans les œuvres d’art contemporain, les sculptures et les fresques murales qui ornent les rues de la ville.
En vieux provençal, on appelait un poulpe, un « póulpro » avant de le nommer « póurpre » suite aux influences linguistiques espagnoles et italiennes. Désormais, le « póulpro » est aussi une montre. « Mais nous ne nous arrêtons pas là » ajoute Simo Tber.
« La JB200 Poulpro est le début d’une nouvelle ère pour Jacques Bianchi Marseille. Nous avons en tête de nouvelles idées, de nouveaux designs et de nouvelles collaborations qui continueront à surprendre nos clients et à renforcer notre position dans l’univers horloger. »
Cette nouvelle version sera disponible en noir « encre de seiche » et bleu « Méditerranée » en précommande sur www.jacquesbianchi.com au prix de 775 euros TTC à partir du 7 septembre pour une durée limitée de seulement 15 jours.