Inventée en 1928 par Jean-Léon Reutter, l’Atmos fonctionne sans aucune intervention humaine. En effet, elle puise son énergie dans les variations infinitésimales de la température ambiante.
Son secret ? Une capsule hermétique remplie de gaz et reliée au ressort-moteur de l’horloge par une membrane. Ainsi, le moindre changement de température modifie le volume du gaz et entraîne la dilatation ou la contraction de la membrane –qui « respire » comme le soufflet d’un accordéon– permettant ainsi de remonter le ressort.
Une fluctuation de seulement un degré Celsius suffit à lui conférer une autonomie d’environ deux jours, ce qui lui permet de fonctionner perpétuellement.
Son secret ? Une capsule hermétique remplie de gaz et reliée au ressort-moteur de l’horloge par une membrane. Ainsi, le moindre changement de température modifie le volume du gaz et entraîne la dilatation ou la contraction de la membrane –qui « respire » comme le soufflet d’un accordéon– permettant ainsi de remonter le ressort.
Une fluctuation de seulement un degré Celsius suffit à lui conférer une autonomie d’environ deux jours, ce qui lui permet de fonctionner perpétuellement.
L’Atmos Infinite Halo (réf Q540532J) reste fidèle à l’identité originelle de la collection. Elle réinterprète le cabinet en verre classique d’inspiration Art déco pour le XXIe siècle avec sa forme de cloche cylindrique qui rappelle les globes arrondis des toutes premières versions.
Cet écrin d’un seul tenant (215 mm x 253 mm) met en valeur le mécanisme de la pendule. Si, à première vue, celui-ci semble flotter librement à l’intérieur, il repose en réalité sur des supports en verre conçus pour être pratiquement invisibles.
« Une architecture qui permet d’admirer sous tous les angles l’ensemble du mouvement ainsi que le ballet des soufflets, des chaînettes et des rouages qui font tourner l’horloge » souligne la marque dans son communiqué.
Cet écrin d’un seul tenant (215 mm x 253 mm) met en valeur le mécanisme de la pendule. Si, à première vue, celui-ci semble flotter librement à l’intérieur, il repose en réalité sur des supports en verre conçus pour être pratiquement invisibles.
« Une architecture qui permet d’admirer sous tous les angles l’ensemble du mouvement ainsi que le ballet des soufflets, des chaînettes et des rouages qui font tourner l’horloge » souligne la marque dans son communiqué.
Le cadran laqué blanc est composé de deux disques concentriques ; il est complété par des index bâtons appliqués polis et des aiguilles assorties à la finition rhodiée argentée du mécanisme.
Sa fabrication représente un processus complexe qui exige une grande précision. Ainsi, son blanc nécessite une succession de 10 couches de laque, assorties d’un temps de séchage rigoureusement contrôlé entre chaque application.
La surface est ensuite polie puis vernie pour la protéger pendant l’usinage des minuscules encoches destinées à recevoir les index.
Sa fabrication représente un processus complexe qui exige une grande précision. Ainsi, son blanc nécessite une succession de 10 couches de laque, assorties d’un temps de séchage rigoureusement contrôlé entre chaque application.
La surface est ensuite polie puis vernie pour la protéger pendant l’usinage des minuscules encoches destinées à recevoir les index.
Une fois la pendule achevée, le vernis de protection est soigneusement retiré et les index fixés dans leurs emplacements.
Sur l’anneau en métal qui encercle le cadran, de minuscules points en retrait indiquent les minutes. Leur forme vient faire écho aux empreintes rondes du balancier annulaire qui, sous le mouvement, oscille en cadence à un rythme lent et fascinant.
Le Calibre Jaeger-LeCoultre 570 est un mouvement heures-minutes sans aucun ajout de complications qui viendrait perturber le regard.
La construction ajourée, typique des calibres Atmos, est, elle aussi, dépouillée à l’extrême. Cependant, les finitions de Haute Horlogerie, telles que les surfaces brossées, les bords polis et les rayures Côtes de Genève, se combinent pour créer un jeu de lumière et de reflets.
Sur l’anneau en métal qui encercle le cadran, de minuscules points en retrait indiquent les minutes. Leur forme vient faire écho aux empreintes rondes du balancier annulaire qui, sous le mouvement, oscille en cadence à un rythme lent et fascinant.
Le Calibre Jaeger-LeCoultre 570 est un mouvement heures-minutes sans aucun ajout de complications qui viendrait perturber le regard.
La construction ajourée, typique des calibres Atmos, est, elle aussi, dépouillée à l’extrême. Cependant, les finitions de Haute Horlogerie, telles que les surfaces brossées, les bords polis et les rayures Côtes de Genève, se combinent pour créer un jeu de lumière et de reflets.