Les années 50/60 mirent la science à l’honneur avec de nombreuses découvertes, parfois fondamentales, même encore aujourd’hui. A l’époque, les horlogers célébrèrent à leur manière cette révolution scientifique en proposant des montres destinées aux chercheurs et aux ingénieurs… Leur principale caractéristique, mise à part la précision ? Leur amagnétisme…
Jaeger-LeCoultre, depuis sa création, a toujours cherché à aller plus loin. Dans le domaine de la précision, mais également de la longévité, de la fiabilité et de la robustesse de ses montres et de ses calibres. A ce titre, il n’est pas étonnant qu’au moment où une communauté scientifique composée de savants de nombreux pays s’apprêtait au milieu du siècle dernier à conduire un programme d’explorations scientifiques majeures dans le cadre de l’Année géophysique internationale, la Grande Maison de la Vallée de Joux ait décidé de s’associer à cette initiative en créant la montre Geophysic.
En 2014, la marque dévoile trois montres exclusives, un modèle en version acier, un en or rose et un modèle en platine uniquement disponible dans les boutiques de la marque. Ces trois garde-temps sont animés par un mouvement automatique. Ils sont dotés d’un boitier de 38.5 mm qui demeure très fidèle à l’esthétique du modèle d’origine avec un cadran d’une grande pureté (très « JLC ») extrêmement lisible.
Rappelons que parmi les montres les plus importantes du patrimoine de Jaeger-LeCoultre, le chronomètre Geophysic possède une histoire un peu particulière… En effet, crée en 1958, année géophysique internationale, elle se positionne à l’époque « comme le symbole de la précision et de la résistance ». Elle est équipée du calibre 478BWSbr, un mouvement issu des montres militaires doté : d’un stop seconde pour un ajustement précis de l’heure, d’un balancier en glucydur* pour une grande stabilité aux changements de températures, d’un balancier avec parechoc gage de résistance aux chocs, d’un index avec col de cygne pour un réglage micrométrique de la précision, sans oublier l’indispensable boitier intérieur en fer doux qui protège ce mécanisme des effets néfastes du magnétisme (l’une des « bêtes noires » des chercheurs à cette époque).
Toutes ces caractéristiques ont conduit cette montre à devenir « la » montre du premier homme à avoir dirigé une expédition sous le pôle Nord, notamment parce que cet instrument avait été également conçu (grâce à sa cage en fer doux) pour affronter des champs magnétiques jusqu’à une intensité de 600 gauss (la Rolex Milgauss était résistante à 1000 gauss et la nouvelle Omega est quant à elle résistante à 15.000 gauss) et conserver ainsi sa précision en toutes circonstances.
De fait, en 1958, alors que le monde était divisé en deux blocs et que la Guerre froide faisait rage, divers organismes internationaux ont résolu d’unir leurs forces afin de découvrir les dernières régions inexplorées de notre planète. Un premier programme de recherche élaboré conjointement par 67 nations de l’Est et de l’Ouest fut lancé.
Jaeger-LeCoultre, depuis sa création, a toujours cherché à aller plus loin. Dans le domaine de la précision, mais également de la longévité, de la fiabilité et de la robustesse de ses montres et de ses calibres. A ce titre, il n’est pas étonnant qu’au moment où une communauté scientifique composée de savants de nombreux pays s’apprêtait au milieu du siècle dernier à conduire un programme d’explorations scientifiques majeures dans le cadre de l’Année géophysique internationale, la Grande Maison de la Vallée de Joux ait décidé de s’associer à cette initiative en créant la montre Geophysic.
En 2014, la marque dévoile trois montres exclusives, un modèle en version acier, un en or rose et un modèle en platine uniquement disponible dans les boutiques de la marque. Ces trois garde-temps sont animés par un mouvement automatique. Ils sont dotés d’un boitier de 38.5 mm qui demeure très fidèle à l’esthétique du modèle d’origine avec un cadran d’une grande pureté (très « JLC ») extrêmement lisible.
Rappelons que parmi les montres les plus importantes du patrimoine de Jaeger-LeCoultre, le chronomètre Geophysic possède une histoire un peu particulière… En effet, crée en 1958, année géophysique internationale, elle se positionne à l’époque « comme le symbole de la précision et de la résistance ». Elle est équipée du calibre 478BWSbr, un mouvement issu des montres militaires doté : d’un stop seconde pour un ajustement précis de l’heure, d’un balancier en glucydur* pour une grande stabilité aux changements de températures, d’un balancier avec parechoc gage de résistance aux chocs, d’un index avec col de cygne pour un réglage micrométrique de la précision, sans oublier l’indispensable boitier intérieur en fer doux qui protège ce mécanisme des effets néfastes du magnétisme (l’une des « bêtes noires » des chercheurs à cette époque).
Toutes ces caractéristiques ont conduit cette montre à devenir « la » montre du premier homme à avoir dirigé une expédition sous le pôle Nord, notamment parce que cet instrument avait été également conçu (grâce à sa cage en fer doux) pour affronter des champs magnétiques jusqu’à une intensité de 600 gauss (la Rolex Milgauss était résistante à 1000 gauss et la nouvelle Omega est quant à elle résistante à 15.000 gauss) et conserver ainsi sa précision en toutes circonstances.
De fait, en 1958, alors que le monde était divisé en deux blocs et que la Guerre froide faisait rage, divers organismes internationaux ont résolu d’unir leurs forces afin de découvrir les dernières régions inexplorées de notre planète. Un premier programme de recherche élaboré conjointement par 67 nations de l’Est et de l’Ouest fut lancé.
A une époque où la conquête spatiale venait de débuter, des fusées furent lancées afin d’étudier la composition des couches supérieures de l’atmosphère. C’est également au cours de l’Année géophysique internationale que l’étude des fonds marins permit de confirmer la théorie du déplacement des plaques tectoniques. Encore largement méconnus, les pôles se trouvèrent aussi au centre de l’attention universelle. Des stations d’observation permanentes furent établies dans l’Antarctique tandis qu’un sous-marin américain relia l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique en passant sous la calotte glacière qui recouvre le pôle Nord.
Le 1er août 1958, le premier submersible à propulsion nucléaire de l’Histoire, qui portait le nom d’USS Nautilus en hommage au fameux submersible de Jules Verne, s’élança dans le plus grand secret avec l’objectif sans précédent de relier les deux océans par la voie la plus directe, en naviguant sous la banquise qui recouvre l’Arctique. Après trois jours en plongée, le Nautilus passa à la verticale du globe terrestre, sans que nul, hormis l’équipage, ne s’avise encore de cet exploit. Aujourd’hui encore, Jaeger-LeCoultre est particulièrement fier d’avoir contribué à cet aventure à la portée exceptionnelle et à la profonde signification symbolique.
Inspirées par le modèle original, ces trois montres affichent un diamètre de 38.5 mm, donc légèrement agrandi pour répondre aux exigences de confort du 21e siècle. « Fidèle à l’esprit du calibre 478BWSbr qui fut celui des recherches associées à l’année geophysique, ils sont équipés du calibre Jaeger-LeCoultre 898/1, considéré comme un des mouvements manufacture à remontage automatique les plus précis et les plus fiables à ce jour » assure la marque dans son communiqué.
Ce mouvement associe quant à lui : un stop seconde pour ajustement précis de l’heure, une haute fréquence, 28'800 alternances par heure, un balancier avec réglage micrométrique par des vis sur la serge, un kifparechoc gage de résistance aux chocs, un engrenage Spyr pour une transmission fluide du couple dans le rouage et un remontage automatique à roulement à billes céramiques sans lubrification... Sans oublier le boitier intérieur en fer doux qui protège le mécanisme des effets néfastes du magnétisme.
Sur le cadran grené blanc apparait la mention « Geophysic » et la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures. La succession des index en applique est interrompue par les chiffres 3, 6, 9 et 12 (un signe identitaire de la marque) afin de respecter dans les moindres détails la disposition et les codes de cette pièce mythique. A noter le matériau luminescent de couleur historique apposé sur les points situés en regard des index sur le rehaut du cadran. Pour leur part, les aiguilles de type glaive sont rhodiées sur la version en acier alors qu’elles arborent une chaleureuse nuance dorée sur la variante réalisée en or rose 18 carats.
Le boitier est étanche à 100 mètres. De plus, il affiche sur le fond l’emblème (très vintage) caractéristique qui joue avec le J et L de Jaeger-LeCoultre en surimpression sur un globe terrestre parcouru par les lignes des latitudes et des longitudes. Chacune des versions s’accompagne d’un bracelet en alligator doté d’une boucle ardillon de facture inédite dont les couleurs s’harmonisent au métal du boitier : alligator noir pour le modèle en acier et alligator brun chocolat pour la version en or rose.
Cette Geophysic 1958 sera éditée en 800 exemplaires en acier alors que la version en or rose verra le jour dans une série limitée de 300 pièces. Un modèle en platine, produit en série limitée de 58 pièces (hommage à sa date de sortie), sera également disponible en 2014. Cette version s’accompagne d’un bracelet en alligator bleu.
Le 1er août 1958, le premier submersible à propulsion nucléaire de l’Histoire, qui portait le nom d’USS Nautilus en hommage au fameux submersible de Jules Verne, s’élança dans le plus grand secret avec l’objectif sans précédent de relier les deux océans par la voie la plus directe, en naviguant sous la banquise qui recouvre l’Arctique. Après trois jours en plongée, le Nautilus passa à la verticale du globe terrestre, sans que nul, hormis l’équipage, ne s’avise encore de cet exploit. Aujourd’hui encore, Jaeger-LeCoultre est particulièrement fier d’avoir contribué à cet aventure à la portée exceptionnelle et à la profonde signification symbolique.
Inspirées par le modèle original, ces trois montres affichent un diamètre de 38.5 mm, donc légèrement agrandi pour répondre aux exigences de confort du 21e siècle. « Fidèle à l’esprit du calibre 478BWSbr qui fut celui des recherches associées à l’année geophysique, ils sont équipés du calibre Jaeger-LeCoultre 898/1, considéré comme un des mouvements manufacture à remontage automatique les plus précis et les plus fiables à ce jour » assure la marque dans son communiqué.
Ce mouvement associe quant à lui : un stop seconde pour ajustement précis de l’heure, une haute fréquence, 28'800 alternances par heure, un balancier avec réglage micrométrique par des vis sur la serge, un kifparechoc gage de résistance aux chocs, un engrenage Spyr pour une transmission fluide du couple dans le rouage et un remontage automatique à roulement à billes céramiques sans lubrification... Sans oublier le boitier intérieur en fer doux qui protège le mécanisme des effets néfastes du magnétisme.
Sur le cadran grené blanc apparait la mention « Geophysic » et la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures. La succession des index en applique est interrompue par les chiffres 3, 6, 9 et 12 (un signe identitaire de la marque) afin de respecter dans les moindres détails la disposition et les codes de cette pièce mythique. A noter le matériau luminescent de couleur historique apposé sur les points situés en regard des index sur le rehaut du cadran. Pour leur part, les aiguilles de type glaive sont rhodiées sur la version en acier alors qu’elles arborent une chaleureuse nuance dorée sur la variante réalisée en or rose 18 carats.
Le boitier est étanche à 100 mètres. De plus, il affiche sur le fond l’emblème (très vintage) caractéristique qui joue avec le J et L de Jaeger-LeCoultre en surimpression sur un globe terrestre parcouru par les lignes des latitudes et des longitudes. Chacune des versions s’accompagne d’un bracelet en alligator doté d’une boucle ardillon de facture inédite dont les couleurs s’harmonisent au métal du boitier : alligator noir pour le modèle en acier et alligator brun chocolat pour la version en or rose.
Cette Geophysic 1958 sera éditée en 800 exemplaires en acier alors que la version en or rose verra le jour dans une série limitée de 300 pièces. Un modèle en platine, produit en série limitée de 58 pièces (hommage à sa date de sortie), sera également disponible en 2014. Cette version s’accompagne d’un bracelet en alligator bleu.
Spécificités techniques de la montre Jaeger-LeCoultre Geophysic 1958
Mouvement mécanique à remontage automatique, Calibre Jaeger-LeCoultre 898/1
202 pièces
29 rubis
28'800 alternances par heure
3.30 mm de hauteur
Réserve de marche : 43 heures
Cadran
Version acier et or rose :
- la mention « Geophysic » à 6 heures, la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures
- les chiffres 3, 6, 9 et 12 et des index en applique rhodiées (version acier) et dorées (version or rose)
- indicateurs luminescents
Version platine - boutique :
- la mention « Geophysic » et la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures
- les chiffres 6 et 12 et des index en applique rhodiées
- indicateurs luminescents
Aiguilles :
Heure, Minute : de type glaive, rhodiées (version en acier et en platine) et dorées (version en or rose)
Seconde centrale
Fonctions : heure, minute, seconde
Boitier : 38,5 mm de diamètre et 11,40 mm de hauteur
Le boitier intérieur en fer doux et la gravure sur le fond : hommage à l’année géophysique
Lunette et cornes polis, la bande de carrure satinée
Etanchéité : 10 bar
Bracelet et boucle :
Version acier: alligator noir, boucle ardillon en acier inoxydable
Version or rose: alligator brun chocolat, boucle à ardillon en or rose 18 carats
Version en platine : alligator bleu, boucle à ardillon en platine
Références :
Version acier : Q8008520, série limitée de 800 pièces
Version or rose 18 carats : Q8002520, série limitée de 300 pièces
Version en platine : Q800652j, série limitée de 58 pièces uniquement disponible dans les boutiques Jaeger-LeCoultre
202 pièces
29 rubis
28'800 alternances par heure
3.30 mm de hauteur
Réserve de marche : 43 heures
Cadran
Version acier et or rose :
- la mention « Geophysic » à 6 heures, la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures
- les chiffres 3, 6, 9 et 12 et des index en applique rhodiées (version acier) et dorées (version or rose)
- indicateurs luminescents
Version platine - boutique :
- la mention « Geophysic » et la signature Jaeger-LeCoultre à 12 heures
- les chiffres 6 et 12 et des index en applique rhodiées
- indicateurs luminescents
Aiguilles :
Heure, Minute : de type glaive, rhodiées (version en acier et en platine) et dorées (version en or rose)
Seconde centrale
Fonctions : heure, minute, seconde
Boitier : 38,5 mm de diamètre et 11,40 mm de hauteur
Le boitier intérieur en fer doux et la gravure sur le fond : hommage à l’année géophysique
Lunette et cornes polis, la bande de carrure satinée
Etanchéité : 10 bar
Bracelet et boucle :
Version acier: alligator noir, boucle ardillon en acier inoxydable
Version or rose: alligator brun chocolat, boucle à ardillon en or rose 18 carats
Version en platine : alligator bleu, boucle à ardillon en platine
Références :
Version acier : Q8008520, série limitée de 800 pièces
Version or rose 18 carats : Q8002520, série limitée de 300 pièces
Version en platine : Q800652j, série limitée de 58 pièces uniquement disponible dans les boutiques Jaeger-LeCoultre