Pour décorer le recto de la pièce, l’artisan graveur de JLC a finement guilloché la pièce grâce à une machine centenaire nécessitant un savoir-faire d’une grande complexité. Ici, le cadran est gravé de petits losanges, qui apparaissent tout en relief sous un émail transparent d’un vert profond.
Cette couleur a nécessité des heures de recherche pour être en parfaite adéquation avec la peinture au verso. Si le cadran recto est en lui-même une prouesse artistique, l’œil est stupéfait en retournant le boîtier de la montre de découvrir la véritable œuvre d’art qu’abrite le verso.
Peinte en 1884, l’œuvre « Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte » est l’un des plus beaux exemples de la technique pointilliste, dont Georges Seurat (1859-1891) fut le créateur. Peintre français postimpressionniste, Seurat a été l’un des fleurons de la peinture du XIXe siècle.
Cette couleur a nécessité des heures de recherche pour être en parfaite adéquation avec la peinture au verso. Si le cadran recto est en lui-même une prouesse artistique, l’œil est stupéfait en retournant le boîtier de la montre de découvrir la véritable œuvre d’art qu’abrite le verso.
Peinte en 1884, l’œuvre « Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte » est l’un des plus beaux exemples de la technique pointilliste, dont Georges Seurat (1859-1891) fut le créateur. Peintre français postimpressionniste, Seurat a été l’un des fleurons de la peinture du XIXe siècle.
Il a mis deux ans à exécuter cette toile de 2 mètres par 3 mètres, pour laquelle il a réalisé plus de 60 croquis. La scène se passe sur les berges de la Seine, près de Paris, à un endroit où les habitants venaient profiter des plaisirs aquatiques et d’un cadre naturel agréable.
Rappelons que la technique du pointillisme consistait à juxtaposer de minuscules touches de couleurs plutôt que d’étaler de la peinture, l’œil du spectateur « mélangeant » ensuite naturellement les couleurs.
Pour réaliser cette miniature, l’artisan-émailleur a dû relever de nombreux défis. Le premier a été de reproduire une œuvre de plus de 3 mètres de large sur 3 cm2 de surface… L’émailleur a donc dû créer sa propre technique pour effectuer du pointillisme. Il a par exemple créé ses propres outils, un pinceau qui doit être très fin et très dur, et donc fréquemment remplacé.
Le pointillisme sur émail s’avère d’une grande complexité. Plusieurs couches protectrices doivent être superposées après chaque couche d’émaillage, altérant l’intensité de la couleur de la peinture. Il a donc fallu anticiper à chaque fois par une teinte plus foncée que l’originale. Un long travail d’essais…
Au total, plus de 70 heures ont été nécessaires pour réaliser cette création, sans compter les heures initiales de recherche de la couleur parfaite.
Ces modèles sont chacun réalisés en huit exemplaires et disponibles en exclusivité en boutique.
Rappelons que la technique du pointillisme consistait à juxtaposer de minuscules touches de couleurs plutôt que d’étaler de la peinture, l’œil du spectateur « mélangeant » ensuite naturellement les couleurs.
Pour réaliser cette miniature, l’artisan-émailleur a dû relever de nombreux défis. Le premier a été de reproduire une œuvre de plus de 3 mètres de large sur 3 cm2 de surface… L’émailleur a donc dû créer sa propre technique pour effectuer du pointillisme. Il a par exemple créé ses propres outils, un pinceau qui doit être très fin et très dur, et donc fréquemment remplacé.
Le pointillisme sur émail s’avère d’une grande complexité. Plusieurs couches protectrices doivent être superposées après chaque couche d’émaillage, altérant l’intensité de la couleur de la peinture. Il a donc fallu anticiper à chaque fois par une teinte plus foncée que l’originale. Un long travail d’essais…
Au total, plus de 70 heures ont été nécessaires pour réaliser cette création, sans compter les heures initiales de recherche de la couleur parfaite.
Ces modèles sont chacun réalisés en huit exemplaires et disponibles en exclusivité en boutique.