En 2018, Jaeger-LeCoultre relançait le nom historique de Polaris avec une nouvelle ligne complète de montres inédites. Une collection qui mettait en lumière l’héritage de la manufacture dans le domaine des montres de plongée. Depuis, cette collection s’est enrichie de différentes références.
Avec ses années bissextiles et son nombre différent de jours selon les mois, la complexité de notre calendrier réside dans une « anomalie » entre la façon dont nous mesurons le temps civil et les phénomènes célestes sur lesquels sont basées ces mesures.
De ce fait, le quantième perpétuel représente pour les horlogers l’une des complications les plus difficiles à maîtriser. Cet ordinateur mécanique miniature doit en effet s’ajuster automatiquement pour des mois de longueurs différentes et même pour des années bissextiles !
Avec ses années bissextiles et son nombre différent de jours selon les mois, la complexité de notre calendrier réside dans une « anomalie » entre la façon dont nous mesurons le temps civil et les phénomènes célestes sur lesquels sont basées ces mesures.
De ce fait, le quantième perpétuel représente pour les horlogers l’une des complications les plus difficiles à maîtriser. Cet ordinateur mécanique miniature doit en effet s’ajuster automatiquement pour des mois de longueurs différentes et même pour des années bissextiles !
Contrairement à un simple affichage de la date, qui doit être ajusté à la fin de chaque mois ne comptant pas 31 jours, ce calendrier perpétuel ne requiert aucune correction manuelle avant 2100. Et même, après cela, cette correction ne sera nécessaire que pour les années centenaires qui ne seront pas des années bissextiles.
Les civilisations anciennes définissaient une année comme le temps nécessaire au Soleil pour revenir à la même position dans le ciel, achevant ainsi un cycle complet de saisons. L’année solaire (ou « tropicale ») durait en moyenne 365.2425 jours –et aboutit à la création des premiers calendriers.
Cependant, une année civile de 365 jours est plus courte d’environ six heures qu’une année solaire. Introduit par Jules César en l’an 46 av. J.-C., le calendrier Julien était divisé en 12 mois de 30 ou 31 jours chacun.
Les civilisations anciennes définissaient une année comme le temps nécessaire au Soleil pour revenir à la même position dans le ciel, achevant ainsi un cycle complet de saisons. L’année solaire (ou « tropicale ») durait en moyenne 365.2425 jours –et aboutit à la création des premiers calendriers.
Cependant, une année civile de 365 jours est plus courte d’environ six heures qu’une année solaire. Introduit par Jules César en l’an 46 av. J.-C., le calendrier Julien était divisé en 12 mois de 30 ou 31 jours chacun.
Cela signifie qu'il manquait près de six heures à une année solaire et que, pour compenser, un jour supplémentaire a été ajouté tous les quatre ans au mois de février. Il s'agissait toutefois d'une surcompensation et, en 1582, le pape Grégoire XIII supprima certaines années bissextiles, ramenant la longueur des années solaires et civiles à 27 secondes l'une de l'autre.
Selon le calendrier Grégorien, que nous utilisons encore aujourd’hui, si l’année est divisible par 4, c’est une année bissextile. Toutefois, si elle peut également être divisée par 100, ce n’est pas une année bissextile (par exemple 1900, 2100). Si ces années centenaires peuvent en revanche être divisées par 400, alors ce sont des années bissextiles (2000, 2400).
À la fin du 19e siècle, LeCoultre & Cie commença à développer ses premières montres de poche à quantième perpétuel. En raison de la difficulté à créer des mécanismes aussi complexes à l’échelle réduite d’une montre, la complication était encore extrêmement rare lorsque JLC présenta en 1937 sa première montre-bracelet à quantième perpétuel.
Selon le calendrier Grégorien, que nous utilisons encore aujourd’hui, si l’année est divisible par 4, c’est une année bissextile. Toutefois, si elle peut également être divisée par 100, ce n’est pas une année bissextile (par exemple 1900, 2100). Si ces années centenaires peuvent en revanche être divisées par 400, alors ce sont des années bissextiles (2000, 2400).
À la fin du 19e siècle, LeCoultre & Cie commença à développer ses premières montres de poche à quantième perpétuel. En raison de la difficulté à créer des mécanismes aussi complexes à l’échelle réduite d’une montre, la complication était encore extrêmement rare lorsque JLC présenta en 1937 sa première montre-bracelet à quantième perpétuel.
Par la suite, les horlogers de la manufacture n’ont cessé d’améliorer tant la précision que la qualité de ces remarquables mécanismes. Depuis le mouvement à quantième perpétuel initié en 2013, le Calibre Jaeger-LeCoultre 868AA -spécifiquement développé pour la Polaris Perpetual Calendar– a été optimisé à plusieurs niveaux et transformé de manière significative.
Parmi ces évolutions : un nouvel affichage rétrograde des phases de Lune dans l’hémisphère sud, qui vient compléter l’affichage classique de celles-ci dans l’hémisphère nord, ainsi qu’une augmentation de la réserve de marche, désormais très confortable, à 70 heures (important pour qu’un QP ne s’arrête pas ; ce qui évite de fastidieux réglages).
En complément des indications du calendrier, la lunette intérieure rotative (ou réhaut) –signature de la collection Polaris– permet de mesurer le temps écoulé, ce qui est une fonction fort utile pour les calculs de temps courts.
Parmi ces évolutions : un nouvel affichage rétrograde des phases de Lune dans l’hémisphère sud, qui vient compléter l’affichage classique de celles-ci dans l’hémisphère nord, ainsi qu’une augmentation de la réserve de marche, désormais très confortable, à 70 heures (important pour qu’un QP ne s’arrête pas ; ce qui évite de fastidieux réglages).
En complément des indications du calendrier, la lunette intérieure rotative (ou réhaut) –signature de la collection Polaris– permet de mesurer le temps écoulé, ce qui est une fonction fort utile pour les calculs de temps courts.
D’un bleu dégradé profond, le cadran laqué s’inspire de l’esthétique de la Polaris Mariner Memovox. Le bleu gradué suggère le passage du jour à la nuit –rappel subtil du lien entre les phénomènes célestes et la mesure du temps.
Les indications du calendrier s’affichent dans trois compteurs. La date, le mois (y compris l’année) et le jour sont indiqués respectivement à 9, 12 et 3h. En hommage aux calendriers puisant leurs origines dans les phénomènes astronomiques, la phase de Lune dans les deux hémisphères se détache à 6h, avec une aiguille rétrograde pour l’hémisphère sud.
Légèrement décentré, chacun des quatre compteurs présente des textures contrastées, les différents jeux de lumière s’y reflétant apportent ainsi une touche d’éclat supplémentaire. Au centre du cadran, un petit indicateur s’affiche en rouge entre 20h et 4h pour prévenir le propriétaire de la montre de ne pas régler l’heure ni les indications du calendrier !
Les aiguilles squelettées apportent visibilité et lisibilité aux indications. Les index à la silhouette trapézoïdale viennent équilibrer tant la complexité que la finesse des détails des affichages du calendrier. Les aiguilles et les index luminescents offrent une lisibilité optimale dans toutes les conditions de lumière.
En acier ou en or rose, les boîtiers de 42 mm (étanche à 100 mètres) s’inspirent bien évidemment des codes de la Polaris : lignes épurées, lunette fine, verre bombé, contraste des surfaces polies et brossées. Le fond en verre saphir transparent et le rotor de remontage en or rose ajouré révèlent une à une les finitions raffinées du mouvement.
Cette nouvelle Polaris Perpetual Calendar se révèle facile à manipuler et à régler, un atout essentiel sur une montre conçue pour la vie de tous les jours. La couronne supérieure permet de faire pivoter la lunette intérieure tandis que la couronne inférieure sert à régler l’heure et à remonter la montre. Le réglage du calendrier s’effectue quant à lui, par un seul poussoir.
Un nouveau système de bracelets interchangeables s’effectue par simple pression sur les boutons poussoirs intégrés dans le point d’attache entre les cornes. Le modèle en acier (assez rare pour un QP rappelons-le) est proposé avec un bracelet en acier à trois maillons et un bracelet en caoutchouc texturé.
Le modèle en or rose offre également un duo de bracelets, l’un en caoutchouc bleu pour tous les jours, l’autre en alligator avec boucle déployante pour une allure plus formelle. Une collection de bracelets en cuir de veau disponibles dans une large variété de couleurs vient compléter les possibilités de personnalisation.
Les indications du calendrier s’affichent dans trois compteurs. La date, le mois (y compris l’année) et le jour sont indiqués respectivement à 9, 12 et 3h. En hommage aux calendriers puisant leurs origines dans les phénomènes astronomiques, la phase de Lune dans les deux hémisphères se détache à 6h, avec une aiguille rétrograde pour l’hémisphère sud.
Légèrement décentré, chacun des quatre compteurs présente des textures contrastées, les différents jeux de lumière s’y reflétant apportent ainsi une touche d’éclat supplémentaire. Au centre du cadran, un petit indicateur s’affiche en rouge entre 20h et 4h pour prévenir le propriétaire de la montre de ne pas régler l’heure ni les indications du calendrier !
Les aiguilles squelettées apportent visibilité et lisibilité aux indications. Les index à la silhouette trapézoïdale viennent équilibrer tant la complexité que la finesse des détails des affichages du calendrier. Les aiguilles et les index luminescents offrent une lisibilité optimale dans toutes les conditions de lumière.
En acier ou en or rose, les boîtiers de 42 mm (étanche à 100 mètres) s’inspirent bien évidemment des codes de la Polaris : lignes épurées, lunette fine, verre bombé, contraste des surfaces polies et brossées. Le fond en verre saphir transparent et le rotor de remontage en or rose ajouré révèlent une à une les finitions raffinées du mouvement.
Cette nouvelle Polaris Perpetual Calendar se révèle facile à manipuler et à régler, un atout essentiel sur une montre conçue pour la vie de tous les jours. La couronne supérieure permet de faire pivoter la lunette intérieure tandis que la couronne inférieure sert à régler l’heure et à remonter la montre. Le réglage du calendrier s’effectue quant à lui, par un seul poussoir.
Un nouveau système de bracelets interchangeables s’effectue par simple pression sur les boutons poussoirs intégrés dans le point d’attache entre les cornes. Le modèle en acier (assez rare pour un QP rappelons-le) est proposé avec un bracelet en acier à trois maillons et un bracelet en caoutchouc texturé.
Le modèle en or rose offre également un duo de bracelets, l’un en caoutchouc bleu pour tous les jours, l’autre en alligator avec boucle déployante pour une allure plus formelle. Une collection de bracelets en cuir de veau disponibles dans une large variété de couleurs vient compléter les possibilités de personnalisation.