De film en film, Jake Gyllenhaal a déployé une palette d’interprétations à travers lesquelles il révèle chaque fois de nouvelles facettes de son talent. Une élégance et une audace que rien n’arrête et qui, manifestement, a plu à Cartier.
De Brokeback Mountain, qui lui valut le BAFTA du meilleur second rôle et une nomination aux Oscars à Zodiac de David Fincher, de Nocturnal Animals de Tom Ford à Stronger qu’il produit en 2018 et dans lequel il interprète le personnage principal, il s’expose sans relâche à des rôles exigeants, d’une grande diversité et dans lesquels il déploie un jeu d’une extrême justesse.
Cartier revient donc cette année avec une nouvelle version de la Santos. Si globalement, l’esprit de la Santos est toujours là, dans les détails, beaucoup de choses ont changé. On retrouve bien évidemment la forme caractéristique de cette montre qui était disponible dans les années 80, en format carré ou hexagonal (des modèles ronds ont existé de manière plus confidentielle).
De Brokeback Mountain, qui lui valut le BAFTA du meilleur second rôle et une nomination aux Oscars à Zodiac de David Fincher, de Nocturnal Animals de Tom Ford à Stronger qu’il produit en 2018 et dans lequel il interprète le personnage principal, il s’expose sans relâche à des rôles exigeants, d’une grande diversité et dans lesquels il déploie un jeu d’une extrême justesse.
Cartier revient donc cette année avec une nouvelle version de la Santos. Si globalement, l’esprit de la Santos est toujours là, dans les détails, beaucoup de choses ont changé. On retrouve bien évidemment la forme caractéristique de cette montre qui était disponible dans les années 80, en format carré ou hexagonal (des modèles ronds ont existé de manière plus confidentielle).
Naturellement, les huit vis fonctionnelles de la lunette ont été conservées. Le cadran blanc offre un design « très Cartier » avec son chemin de fer, ses aiguilles bleuies heures et minutes de forme « glaive » et ses fameux chiffres romains dont le VII comprend le nom Cartier dans le pied du V.
On retrouve également la fameuse lunette carrée aux coins arrondis. Toutefois, dans les nouvelles versions, elle semble « plonger » vers les bords de la boite pour rejoindre le bracelet qui pour le coup a été entièrement revu dans sa conception.
Cette nouvelle Santos embarque dans ses deux boitiers de 35.1x45.9 et 39.8x47.5 mm, étanches à 100 mètres, le calibre automatique 1847 MC. L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement, ainsi qu’un bouclier réalisé dans un alliage paramagnétique intégré au boîtier, permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques puissants auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante (notamment dans les portiques d’aéroports).
En phase avec son temps, le bracelet de la nouvelle montre Santos de Cartier évolue ; on regrette juste que sa « chute » ne soit pas plus prononcée comme dans les modèles des années 80. On aurait aimé que les maillons les plus proches de la boucle soient plus étroits pour renforcer l’allure générale de la pièce qui par ailleurs est plutôt réussie. Mais en revanche on aime son interchangeabilité qui s’effectue en un tournemain.
On retrouve également la fameuse lunette carrée aux coins arrondis. Toutefois, dans les nouvelles versions, elle semble « plonger » vers les bords de la boite pour rejoindre le bracelet qui pour le coup a été entièrement revu dans sa conception.
Cette nouvelle Santos embarque dans ses deux boitiers de 35.1x45.9 et 39.8x47.5 mm, étanches à 100 mètres, le calibre automatique 1847 MC. L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement, ainsi qu’un bouclier réalisé dans un alliage paramagnétique intégré au boîtier, permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques puissants auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante (notamment dans les portiques d’aéroports).
En phase avec son temps, le bracelet de la nouvelle montre Santos de Cartier évolue ; on regrette juste que sa « chute » ne soit pas plus prononcée comme dans les modèles des années 80. On aurait aimé que les maillons les plus proches de la boucle soient plus étroits pour renforcer l’allure générale de la pièce qui par ailleurs est plutôt réussie. Mais en revanche on aime son interchangeabilité qui s’effectue en un tournemain.