En 2013 Jaquet Droz et le Béjart Ballet Lausanne deviennent indissociables : la maison horlogère participe à la vie de cette compagnie, la soutient dans son travail et transmet les valeurs qui sont aussi les siennes ; la rigueur, la maitrise du travail et la vision futuriste de son œuvre. Au fur et à mesure de la relation, J.D. se rapproche du Béjart Ballet Lausanne et de Gil Roman, son directeur artistique. Un peu plus tard, le nom de Stéphanie Barba est évoqué (voir encadré ci-dessous). Elle est celle qui donne vie aux danseurs sur papier. Elle rend hommage aux chorégraphies, à la grâce de la danse mais surtout au mouvement.
Jaquet Droz organise une rencontre. Elle découvre le travail d’une artiste passionnée par la danse et particulièrement par celle de Maurice Béjart. Les croquis sont uniques. La technique est là. La marque horlogère décide alors de rendre hommage à la danse par l’œuvre graphique de Stéphanie Barba et d’entamer une nouvelle collaboration. Très rapidement les ateliers d’art sont attirés par un porte-folio comprenant vingt dessins. Il s’agit du Sacre du Printemps. Les artisans de la marque en choisiront deux.
« Le vautour », une magnifique ouverture du corps du danseur et un des mouvements le plus caractéristiques de la chorégraphie Béjart. « On remonte avec lui à l’origine des temps ; la musique de Stravinsky est alors une sorte de martèlement primitif, menaçant, inquiétant, lourd. »
Puis « Le chef ». Ce dessin couleur sanguine intervient dans le ballet lors d’une lutte entre deux hommes pour finalement désigner l’élu. « Un peu comme un combat de cerfs en rut. La musique a alors des envols, des entrechocs, des chutes, des reprises qui aboutiront à une musique triomphante lorsque le vainqueur sera l’élu.»
Pour laisser s’exprimer les dessins de Stéphanie Barba, Jaquet Droz a choisi le cadran de la petite heure minute. Son design, propre à la maison et l’espace présent sur celui-ci permettent aux croquis de prendre vie et de prendre place sans interférer sur la lecture du temps. Le premier modèle (pour femmes) est disponible en version 39 mm, or gris, aux cornes et à la boite serties, avec un bracelet alligator bleu pour mieux faire ressortir le diamant. Le second garde-temps est doté d’un boitier de 43 mm en or rouge avec un bracelet crocodile marron et le croquis sanguin du Chef. Dans les deux cas, le dessin est peint à la main sur l’email du cadran et gravé sur la masse oscillante. Il s’agit de deux séries limitées de 28 exemplaires chacune.
Chacun à leur manière, Jaquet Droz et le Béjart Ballet Lausanne ont su, non pas arrêter le temps, mais accompagner son passage, et enchanter chaque instant de l’histoire, de l’imaginaire et des talents dont ils sont les légataires.
Jaquet Droz organise une rencontre. Elle découvre le travail d’une artiste passionnée par la danse et particulièrement par celle de Maurice Béjart. Les croquis sont uniques. La technique est là. La marque horlogère décide alors de rendre hommage à la danse par l’œuvre graphique de Stéphanie Barba et d’entamer une nouvelle collaboration. Très rapidement les ateliers d’art sont attirés par un porte-folio comprenant vingt dessins. Il s’agit du Sacre du Printemps. Les artisans de la marque en choisiront deux.
« Le vautour », une magnifique ouverture du corps du danseur et un des mouvements le plus caractéristiques de la chorégraphie Béjart. « On remonte avec lui à l’origine des temps ; la musique de Stravinsky est alors une sorte de martèlement primitif, menaçant, inquiétant, lourd. »
Puis « Le chef ». Ce dessin couleur sanguine intervient dans le ballet lors d’une lutte entre deux hommes pour finalement désigner l’élu. « Un peu comme un combat de cerfs en rut. La musique a alors des envols, des entrechocs, des chutes, des reprises qui aboutiront à une musique triomphante lorsque le vainqueur sera l’élu.»
Pour laisser s’exprimer les dessins de Stéphanie Barba, Jaquet Droz a choisi le cadran de la petite heure minute. Son design, propre à la maison et l’espace présent sur celui-ci permettent aux croquis de prendre vie et de prendre place sans interférer sur la lecture du temps. Le premier modèle (pour femmes) est disponible en version 39 mm, or gris, aux cornes et à la boite serties, avec un bracelet alligator bleu pour mieux faire ressortir le diamant. Le second garde-temps est doté d’un boitier de 43 mm en or rouge avec un bracelet crocodile marron et le croquis sanguin du Chef. Dans les deux cas, le dessin est peint à la main sur l’email du cadran et gravé sur la masse oscillante. Il s’agit de deux séries limitées de 28 exemplaires chacune.
Chacun à leur manière, Jaquet Droz et le Béjart Ballet Lausanne ont su, non pas arrêter le temps, mais accompagner son passage, et enchanter chaque instant de l’histoire, de l’imaginaire et des talents dont ils sont les légataires.
L’artiste Stéphanie Barba
Impossible de résumer l’existence de Stéphanie Barba en quelques lignes tellement celle-ci est dense et variée. La vie lui a offert un don, celui du dessin. Le rythme de tout ce qu’elle voit passe de ses yeux à ses mains. A la fin, il en reste un croquis, une esquisse, un dessin, une aquarelle, un fusain… Aquarelliste, elle captait depuis le bord du lac, les côtes qui défilaient. L’évanescence des paysages, entrevus et déjà autres, l’ont menée à guetter celle du geste. Une rencontre fortuite va lui permettre d’accéder aux répétitions et spectacles de l’Opéra et des grandes compagnies qui, toutes, viennent à Paris. En 1983 elle rencontre le très fameux Maurice Béjart. C’est la révélation. Ces mots de Béjart pour elle sont précis : « Madame demande si elle peut dessiner ». « Oui si je ne la vois pas. »