Julie Kraulis a toujours dessiné. Et au vu de ses dessins, on veut bien la croire… La jeune canadienne a manifestement ça dans le sang. Ses crayons à papier aux mines de différentes duretés -des Staedtler Mars Lumograph- semblent être une extension naturelle de sa main droite.
Ce que ses yeux voient, sa main le reproduit fidèlement : du moindre petit détail d’un compteur de Daytona au reflet d’une lunette de Moonwatch en passant par le brossé d’un boitier d’Autavia.
Ce projet horloger a vu le jour il y a deux ans… Et depuis, l’artiste freelance multiplie les créations. Pourquoi dessiner des montres ? L’idée lui est venue par hasard alors qu’elle cherchait un nouveau sujet d’inspiration pour son travail. Et bien lui en a pris ! Julie Kraulis a clairement trouvé dans ces « petites mécaniques » un moyen de laisser son talent s’exprimer !
Ce que ses yeux voient, sa main le reproduit fidèlement : du moindre petit détail d’un compteur de Daytona au reflet d’une lunette de Moonwatch en passant par le brossé d’un boitier d’Autavia.
Ce projet horloger a vu le jour il y a deux ans… Et depuis, l’artiste freelance multiplie les créations. Pourquoi dessiner des montres ? L’idée lui est venue par hasard alors qu’elle cherchait un nouveau sujet d’inspiration pour son travail. Et bien lui en a pris ! Julie Kraulis a clairement trouvé dans ces « petites mécaniques » un moyen de laisser son talent s’exprimer !
Installée dans son studio -qui se trouve sur le lac Ontario-, elle passe ses journées à reproduire des montres en noir et blanc et en grand format. « Dessiner un objet en grand format permet de mettre en avant ses qualités et de le magnifier, quelque chose se passe (…) J’aime essayer de comprendre ce qui rend un produit intemporel et classique ».
Au programme ? Des Rolex, des Omega, des Lange & Söhne, des TAG Heuer, etc. Si certains dessins sont des commandes, d’autres sont issus de collaborations et d’autres encore, d’un simple coup de cœur pour tel ou tel modèle. Chaque dessin lui demande de 140 à 160 heures de travail.
Dernier point : cette jeune femme qui donne vie à ces splendides garde-temps ne porte pas de montre…
Au programme ? Des Rolex, des Omega, des Lange & Söhne, des TAG Heuer, etc. Si certains dessins sont des commandes, d’autres sont issus de collaborations et d’autres encore, d’un simple coup de cœur pour tel ou tel modèle. Chaque dessin lui demande de 140 à 160 heures de travail.
Dernier point : cette jeune femme qui donne vie à ces splendides garde-temps ne porte pas de montre…