Julien Coudray ne laisse jamais rien au hasard… Chaque opération de la fabrication de ses montres est réalisée avec la plus extrême minutie par le meilleur artisan qui soit. Qu’il s’agisse du calibre, du cadran, du boitier, de la gravure, etc. Incontestablement, le luxe est ici dans le détail.
Aujourd’hui, la marque, certes encore très confidentielle, mais qui devrait faire parler d’elle dans les mois et années qui viennent, présente une pièce unique dont elle a le secret… Cette montre célèbre plusieurs métiers d’art dont l’émaillage grand feu avec une miniature en émail représentant le blason de la ville de Genève et un exceptionnel travail de sertissage… Par ailleurs, et pour la première fois, la manufacture a réussi le pari d’insérer des diamants dans l’émail grand feu des quatre index à 12, 3, 6 et 9h.
Profitons de la présentation de cette pièce unique -à plus d’un titre- pour revenir sur la technique de l’émail grand feu… Car c’est bien le feu, ou plutôt une température proche de 800 °C, qui viendra consacrer les longues heures de concentration et d’espérance de l’émailleur. De la fusion de l’émail naîtront la transparence, la profondeur et l’éclat des couleurs.
Lorsque le pinceau rencontre l’émail pour la réalisation d’un cadran, chacune des montres Julien Coudray 1518 prend vie. Le chemin jusqu’à cette finalité est une école de patience qui requiert un talent et une persévérance hors du commun. L’émaillage n’est en effet pas une science exacte et les aléas sont nombreux dans la réalisation de chaque oeuvre. Inlassablement, l’émailleur remet son ouvrage sur le métier jusqu’à obtention du résultat escompté. Alors, chaque pièce devient unique.
Nées de la sensibilité d’hommes et de femmes réunis dans la même passion, les oeuvres Julien Coudray 1518 perpétuent ainsi des savoir-faire rares et authentiques et inscrivent leurs ambassadeurs dans le patrimoine de demain.
Bocaux de poudres multicolores, fioles de liquides odorants, pipettes et tubes à essais, pilon, mortier, four à haute température, notes consignées dans d’épais cahiers : à première vue, tout ici respire l’univers de la chimie.
Que nenni ! Calme, concentration, pugnacité et patience sont aussi les reflets d’une âme artistique sensible et humble, curieuse des incessantes découvertes que réserve le rare métier d’émailleur. Bien qu’ancestrales, les techniques d’émaillage n’ont pas ou peu été transmises. Secrets jalousement gardés ? Peut-être. Exigences draconiennes du métier, sans doute. Il semble que l’on entre en émaillage comme l’on entrerait en religion ; avec humilité et patience, d’abord en observant, car aucune école ne permet plus en Suisse l’apprentissage du métier d’émaillage.
En France voisine, la formation dédiée à l’émaillage ne traite plus d’horlogerie actuellement. Or c’est bien de l’horlogerie d’art dont il s’agit et des contraintes liées au respect de tolérances proches du micron. En plus de la maîtrise de l’émail, l’artisan doit se plier aux exigences de la profession horlogère : finesse, précision des mesures, pureté du blanc de l’émail, travail avec binoculaire pour l’ensemble des opérations.
Donner vie au cadran en émail grand feu d’une montre demandera ainsi des années d’observation, d’apprentissage et d’expériences auprès de maîtres émailleurs en horlogerie. D’échecs en rebonds et de rebonds en succès, la maîtrise gagnera peu à peu sur l’indocilité apparente de cette fascinante matière. D’éclats compacts et durs, l’émail deviendra sous l’action du pilon une poussière fine et douce. Une première étape de préparation accomplie manuellement et complétée par la minutieuse opération de lavage pour éliminer toute impureté.
Les précieuses poudres ainsi obtenues seront alors associées selon l’expertise, la sensibilité et l’oeil de l’émailleur. Vient ensuite l’application selon des techniques utilisées séparément ou combinées. Sous l’action de la chaleur, les particules de l’émail et du métal s’interpénètreront par fusion pour donner un troisième matériau. L’alchimie s’opère.
Aujourd’hui, la marque, certes encore très confidentielle, mais qui devrait faire parler d’elle dans les mois et années qui viennent, présente une pièce unique dont elle a le secret… Cette montre célèbre plusieurs métiers d’art dont l’émaillage grand feu avec une miniature en émail représentant le blason de la ville de Genève et un exceptionnel travail de sertissage… Par ailleurs, et pour la première fois, la manufacture a réussi le pari d’insérer des diamants dans l’émail grand feu des quatre index à 12, 3, 6 et 9h.
Profitons de la présentation de cette pièce unique -à plus d’un titre- pour revenir sur la technique de l’émail grand feu… Car c’est bien le feu, ou plutôt une température proche de 800 °C, qui viendra consacrer les longues heures de concentration et d’espérance de l’émailleur. De la fusion de l’émail naîtront la transparence, la profondeur et l’éclat des couleurs.
Lorsque le pinceau rencontre l’émail pour la réalisation d’un cadran, chacune des montres Julien Coudray 1518 prend vie. Le chemin jusqu’à cette finalité est une école de patience qui requiert un talent et une persévérance hors du commun. L’émaillage n’est en effet pas une science exacte et les aléas sont nombreux dans la réalisation de chaque oeuvre. Inlassablement, l’émailleur remet son ouvrage sur le métier jusqu’à obtention du résultat escompté. Alors, chaque pièce devient unique.
Nées de la sensibilité d’hommes et de femmes réunis dans la même passion, les oeuvres Julien Coudray 1518 perpétuent ainsi des savoir-faire rares et authentiques et inscrivent leurs ambassadeurs dans le patrimoine de demain.
Bocaux de poudres multicolores, fioles de liquides odorants, pipettes et tubes à essais, pilon, mortier, four à haute température, notes consignées dans d’épais cahiers : à première vue, tout ici respire l’univers de la chimie.
Que nenni ! Calme, concentration, pugnacité et patience sont aussi les reflets d’une âme artistique sensible et humble, curieuse des incessantes découvertes que réserve le rare métier d’émailleur. Bien qu’ancestrales, les techniques d’émaillage n’ont pas ou peu été transmises. Secrets jalousement gardés ? Peut-être. Exigences draconiennes du métier, sans doute. Il semble que l’on entre en émaillage comme l’on entrerait en religion ; avec humilité et patience, d’abord en observant, car aucune école ne permet plus en Suisse l’apprentissage du métier d’émaillage.
En France voisine, la formation dédiée à l’émaillage ne traite plus d’horlogerie actuellement. Or c’est bien de l’horlogerie d’art dont il s’agit et des contraintes liées au respect de tolérances proches du micron. En plus de la maîtrise de l’émail, l’artisan doit se plier aux exigences de la profession horlogère : finesse, précision des mesures, pureté du blanc de l’émail, travail avec binoculaire pour l’ensemble des opérations.
Donner vie au cadran en émail grand feu d’une montre demandera ainsi des années d’observation, d’apprentissage et d’expériences auprès de maîtres émailleurs en horlogerie. D’échecs en rebonds et de rebonds en succès, la maîtrise gagnera peu à peu sur l’indocilité apparente de cette fascinante matière. D’éclats compacts et durs, l’émail deviendra sous l’action du pilon une poussière fine et douce. Une première étape de préparation accomplie manuellement et complétée par la minutieuse opération de lavage pour éliminer toute impureté.
Les précieuses poudres ainsi obtenues seront alors associées selon l’expertise, la sensibilité et l’oeil de l’émailleur. Vient ensuite l’application selon des techniques utilisées séparément ou combinées. Sous l’action de la chaleur, les particules de l’émail et du métal s’interpénètreront par fusion pour donner un troisième matériau. L’alchimie s’opère.
Spécificités techniques de la montre julien Coudray 1528 pièce unique « Ville de Genève »
Mouvement manufacture mécanique en or 2N massif 18ct remontage manuel (fabrication faisant l’objet de plusieurs brevets), décoré et gravé main, indicateur de service en or 18ct émaillé, réserve de marche 55 heures, 34 rubis.
Mouvement serti de 12 diamants Top Wesselton extra blancs.
Boîtier or 2N massif 18ct 39mm/9.85mm, glaces saphir antireflet lunette et fond, rehaut en or 2N massif 18ct.
Lunette sertie de 192 diamants Top Wesselton extra blancs, carrure et cornes serties de 192 diamants Top Wesselton extra blancs, couronne sertie de 15 diamants Top Wesselton extra blancs.
Fonctions : heures, minutes, secondes au centre, indicateur de service à 12h. Dans le guichet situé à 12 heures, le dessin d’une goutte d’huile réalisé en or émaillé apparaît après quatre années de fonctionnement, lorsque la montre doit subir un entretien.
Cadran en or 2N massif 18ct 13pièces, cartouches bombés en émail grand feu traditionnel noir et blanc.
Cartouches à 12h, 3h, 6h et 9h en émail grand feu avec incrustation 4 diamants.
Centre du cadran avec miniature émail grand feu sur émail grand feu représentant les armoiries de la ville de Genève. Technique du « point-à-point » créée par Petitot au 17ème siècle.
Aiguilles H&M bicolores gris et angle bleui, seconde bleuie.
Bracelet noir en alligator rembordé et cousu main, doublure alligator équipé d’une boucle ardillon gravée en or 2N massif 18ct et sertie de 143 diamants Top Wesselton extra blancs.
NB : 95% de la montre est réalisé à partir d’un kilogramme d’or 2N 18ct : mouvement, cadran, boîte, couronne, boucle.
Pièce unique sertie de 570 diamants Top Wesselton extra blancs taille parfaite pour un poids total de 3,30 cts.
Fabrication n’incluant aucun dépôt chimique ni aucune laque.
Mouvement serti de 12 diamants Top Wesselton extra blancs.
Boîtier or 2N massif 18ct 39mm/9.85mm, glaces saphir antireflet lunette et fond, rehaut en or 2N massif 18ct.
Lunette sertie de 192 diamants Top Wesselton extra blancs, carrure et cornes serties de 192 diamants Top Wesselton extra blancs, couronne sertie de 15 diamants Top Wesselton extra blancs.
Fonctions : heures, minutes, secondes au centre, indicateur de service à 12h. Dans le guichet situé à 12 heures, le dessin d’une goutte d’huile réalisé en or émaillé apparaît après quatre années de fonctionnement, lorsque la montre doit subir un entretien.
Cadran en or 2N massif 18ct 13pièces, cartouches bombés en émail grand feu traditionnel noir et blanc.
Cartouches à 12h, 3h, 6h et 9h en émail grand feu avec incrustation 4 diamants.
Centre du cadran avec miniature émail grand feu sur émail grand feu représentant les armoiries de la ville de Genève. Technique du « point-à-point » créée par Petitot au 17ème siècle.
Aiguilles H&M bicolores gris et angle bleui, seconde bleuie.
Bracelet noir en alligator rembordé et cousu main, doublure alligator équipé d’une boucle ardillon gravée en or 2N massif 18ct et sertie de 143 diamants Top Wesselton extra blancs.
NB : 95% de la montre est réalisé à partir d’un kilogramme d’or 2N 18ct : mouvement, cadran, boîte, couronne, boucle.
Pièce unique sertie de 570 diamants Top Wesselton extra blancs taille parfaite pour un poids total de 3,30 cts.
Fabrication n’incluant aucun dépôt chimique ni aucune laque.