On retrouve dans ce nouveau modèle de la manufacture locloise toutes les caractéristiques des montres Julien Coudray : le boitier, la couronne, les onze index indépendants en émail grand feu, les aiguilles bleuies et le huit qui arbore le logo de la marque en lieu et place du huit romain.
Mais cette pièce unique se distingue des autres montres de la marque par son cadran. Subtile rencontre entre la peinture miniature et l’émaillage… La technique de la « miniature » est réservée aux plus talentueux des émailleurs. Point après point, chaque particule trouvera sa place dans le dessin et s’assemblera aux autres dans une harmonie que le passage au feu rendra intemporelle et inaltérable. A noter que le dessin de la fleur « déborde » sur les onze index indépendants en émail grand feu, ce qui complique d’autant la fabrication de chacune de ces pièces !
Le chemin jusqu’à cette finalité est une école de patience qui requiert un talent et une persévérance hors du commun. L’émaillage n’est en effet pas une science exacte et les aléas sont nombreux dans la réalisation de chaque oeuvre. C’est bien le feu, ou plutôt une température proche de 800 °C, qui viendra consacrer les longues heures de concentration et d’espérance de l’émailleur. De la fusion de l’émail naîtront la transparence, la profondeur et l’éclat des couleurs. Inlassablement, l’émailleur remettra son ouvrage sur le métier jusqu’à obtention du résultat escompté. Alors, chaque pièce deviendra unique.
Ce cadran trouve sa place dans un boitier en or gris massif de 39 mm qui abrite un calibre mécanique manuel également en or gris massif entièrement décoré et gravé à la main. Chez Julien Coudray, rappelons que le mouvement est toujours réalisé dans la même matière que la boite… En l’occurrence, l’or gris. Signalons aussi le petit guichet situé à 12 heures arborant le dessin d’une goutte d’huile réalisé en or émaillé, qui apparaît après quatre années de fonctionnement, lorsque la montre doit subir un entretien. Une complication unique, originale et utile.
La plus grande partie de cette montre (95%) est réalisé à partir d’un kilogramme d’or Pd125 18ct : mouvement, cadran, boîte, couronne, boucle. Fabrication n’incluant aucun dépôt chimique ni aucune laque. Œuvre unique manufacturée au Locle, Suisse (certification SGS) numérotée 1/1.
Mais cette pièce unique se distingue des autres montres de la marque par son cadran. Subtile rencontre entre la peinture miniature et l’émaillage… La technique de la « miniature » est réservée aux plus talentueux des émailleurs. Point après point, chaque particule trouvera sa place dans le dessin et s’assemblera aux autres dans une harmonie que le passage au feu rendra intemporelle et inaltérable. A noter que le dessin de la fleur « déborde » sur les onze index indépendants en émail grand feu, ce qui complique d’autant la fabrication de chacune de ces pièces !
Le chemin jusqu’à cette finalité est une école de patience qui requiert un talent et une persévérance hors du commun. L’émaillage n’est en effet pas une science exacte et les aléas sont nombreux dans la réalisation de chaque oeuvre. C’est bien le feu, ou plutôt une température proche de 800 °C, qui viendra consacrer les longues heures de concentration et d’espérance de l’émailleur. De la fusion de l’émail naîtront la transparence, la profondeur et l’éclat des couleurs. Inlassablement, l’émailleur remettra son ouvrage sur le métier jusqu’à obtention du résultat escompté. Alors, chaque pièce deviendra unique.
Ce cadran trouve sa place dans un boitier en or gris massif de 39 mm qui abrite un calibre mécanique manuel également en or gris massif entièrement décoré et gravé à la main. Chez Julien Coudray, rappelons que le mouvement est toujours réalisé dans la même matière que la boite… En l’occurrence, l’or gris. Signalons aussi le petit guichet situé à 12 heures arborant le dessin d’une goutte d’huile réalisé en or émaillé, qui apparaît après quatre années de fonctionnement, lorsque la montre doit subir un entretien. Une complication unique, originale et utile.
La plus grande partie de cette montre (95%) est réalisé à partir d’un kilogramme d’or Pd125 18ct : mouvement, cadran, boîte, couronne, boucle. Fabrication n’incluant aucun dépôt chimique ni aucune laque. Œuvre unique manufacturée au Locle, Suisse (certification SGS) numérotée 1/1.
Spécificités techniques de la montre Julien Coudray « Pétales d’automne » : pièce unique
Mouvement mécanique en or Pd125 massif 18ct remontage manuel, décoré et gravé main, indicateur de service en or 18ct émaillé, 34 rubis
Réserve de marche : 55 heures
Boîtier or Pd125 massif 18ct 39mm/9.85mm,
Glaces saphir antireflet (lunette et fond), rehaut en or Pd125 massif 18ct.
Fonction : heures, minutes, secondes au centre, indicateur de service à 12h.
Cadran en or Pd125 massif 18ct 13 pièces, cartouches bombés en email grand feu traditionnel blanc et chiffres romains bleus.
Centre du cadran et cartouches peints d’une miniature en email selon la technique du « point-a-point » créée par Petitot au 17eme siècle.
Aiguilles H&M bicolores gris et angle bleui, seconde bleuie.
Bracelet bleu alligator rembordé et cousu main, doublure alligator sur boucle ardillon gravée en or Pd125 massif 18ct.
Prix de vente public conseillé : 120.000 francs suisses hors taxe
Réserve de marche : 55 heures
Boîtier or Pd125 massif 18ct 39mm/9.85mm,
Glaces saphir antireflet (lunette et fond), rehaut en or Pd125 massif 18ct.
Fonction : heures, minutes, secondes au centre, indicateur de service à 12h.
Cadran en or Pd125 massif 18ct 13 pièces, cartouches bombés en email grand feu traditionnel blanc et chiffres romains bleus.
Centre du cadran et cartouches peints d’une miniature en email selon la technique du « point-a-point » créée par Petitot au 17eme siècle.
Aiguilles H&M bicolores gris et angle bleui, seconde bleuie.
Bracelet bleu alligator rembordé et cousu main, doublure alligator sur boucle ardillon gravée en or Pd125 massif 18ct.
Prix de vente public conseillé : 120.000 francs suisses hors taxe