Exemple de minimalisme à l’état pur, la montre mécanique (boitier acier de 38 mm) de ce coffret reprend le cadran blanc à index caractéristique de la marque avec ses aiguilles fines. Le tout, protégé par un verre saphir bombé. Le fond du boîtier est orné d’une œuvre de l’artiste : le motif sicherheit (sécurité) issu des célèbres grafischen reihen (séries graphiques) de Max Bill présente quatre triangles différents formant un carré.
Rappel discret de cette édition limitée, la couleur bleue s’affiche au niveau de la date, de la surpiqûre du bracelet en cuir de vachette et de sa doublure –c’est la même teinte de bleu que celle de l’œuvre figurant sur le dos du boîtier. On retrouve aussi le motif sicherheit (sécurité) au dos de la pendule de bureau laquée « noir piano ».
L’art de Max Bill devient ainsi une source d’enchantement quotidien, à l’extérieur quand on regarde sa montre (enfin, son fond plein) et à la maison quand on regarde sa pendule (164 x 174 mm) à quartz avec lunette diamantée en aluminium.
Rappel discret de cette édition limitée, la couleur bleue s’affiche au niveau de la date, de la surpiqûre du bracelet en cuir de vachette et de sa doublure –c’est la même teinte de bleu que celle de l’œuvre figurant sur le dos du boîtier. On retrouve aussi le motif sicherheit (sécurité) au dos de la pendule de bureau laquée « noir piano ».
L’art de Max Bill devient ainsi une source d’enchantement quotidien, à l’extérieur quand on regarde sa montre (enfin, son fond plein) et à la maison quand on regarde sa pendule (164 x 174 mm) à quartz avec lunette diamantée en aluminium.
Rappelons que d’une manière générale, la collection Max Bill s’inspire des standards du Bauhaus (« la forme suit la fonction »). Qualifiée par les historiens du design d’« horloge murale Max Bill », l'horloge de cuisine de 1956 de Junghans s'est distinguée à l’époque par la conception de son cadran, ultra-lisible.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.