Rappelons que d’une manière générale, la collection Max Bill de chez Junghans s’inspire des standards du Bauhaus (« la forme suit la fonction »). Qualifiée par les historiens du design d' « horloge murale Max Bill », l'horloge de cuisine de 1956 de Junghans s'est distinguée à l’époque par la conception de son cadran, ultra-lisible.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.
Cette gamme de pendulettes de bureau à quartz, disponible en trois versions (bois naturel, blanc laqué ou noir laqué), s’inscrit donc dans la même tendance minimaliste et très épurée qui distingue cette collection. A noter que l’esthétique de ces pendules repose sur des dessins de l’artiste datés de 1958. Compter 495 euros.
Plus tard, en 1961, ce design minimaliste fut repris sur les cadrans des toutes premières montres Max Bill. L'artiste portait alors une attention toute particulière à la symbiose de la fonctionnalité et de l'esthétique comme le veut le Bauhaus... Aujourd’hui encore, ces standards en matière de design restent pratiquement inchangés sur les « visages » de la collection Max Bill by Junghans.
Cette gamme de pendulettes de bureau à quartz, disponible en trois versions (bois naturel, blanc laqué ou noir laqué), s’inscrit donc dans la même tendance minimaliste et très épurée qui distingue cette collection. A noter que l’esthétique de ces pendules repose sur des dessins de l’artiste datés de 1958. Compter 495 euros.