Généralement les montres en bois sont très moches et pas chères. A l’origine, elles visaient essentiellement à répondre aux envies de certains écolos-bobos qui s’imaginaient sauver la planète avec à leur poignet, un garde-temps en érable, noyer, palissandre ou encore en santal…
Laissons ces montres à ces amateurs et regardons du côté de Kauri : une jeune marque née il y a plus d’un an grâce à l’obstination de Samuel Gillioz, un ancien dessinateur-constructeur de chez Vacheron Constantin, qui avait envie d’offrir quelque chose d’unique et de différent. Et le fait est que c’est réussi.
Certes, ces garde-temps ne plairont pas à tout le monde. Mais peu importe ! Il se trouve que pour une fois, dans l’immensité de l’offre des montres avec des boitiers en bois, ce coup-ci, c’est intéressant et c’est beau.
Laissons ces montres à ces amateurs et regardons du côté de Kauri : une jeune marque née il y a plus d’un an grâce à l’obstination de Samuel Gillioz, un ancien dessinateur-constructeur de chez Vacheron Constantin, qui avait envie d’offrir quelque chose d’unique et de différent. Et le fait est que c’est réussi.
Certes, ces garde-temps ne plairont pas à tout le monde. Mais peu importe ! Il se trouve que pour une fois, dans l’immensité de l’offre des montres avec des boitiers en bois, ce coup-ci, c’est intéressant et c’est beau.
L’homme a donc quitté le confort d’une grande marque genevoise pour se lancer et associer ses deux passions : le bois et l’horlogerie. C’est ainsi qu’est née la marque Kauri (prononcer kaori), qui reprend le nom d’un des plus anciens bois disponibles au monde provenant de Nouvelle-Zélande.
L’acquisition de quelques machines, tels qu’un tour 102 Schaublin de 1949 et une fraiseuse Aciera F1 de 1973, lui ont permis de débuter, après de longs mois de travail, la construction des premiers prototypes. Dans les faits, le tout premier proto est arrivé en juin 2019.
« Le bois, précise Samuel Gillioz, de par ses qualités intrinsèques mais aussi historiques, représente un des matériaux les plus nobles qui soit. Chaque essence possède ses caractéristiques et qualités qui offrent une multitude de possibilités de création ».
L’acquisition de quelques machines, tels qu’un tour 102 Schaublin de 1949 et une fraiseuse Aciera F1 de 1973, lui ont permis de débuter, après de longs mois de travail, la construction des premiers prototypes. Dans les faits, le tout premier proto est arrivé en juin 2019.
« Le bois, précise Samuel Gillioz, de par ses qualités intrinsèques mais aussi historiques, représente un des matériaux les plus nobles qui soit. Chaque essence possède ses caractéristiques et qualités qui offrent une multitude de possibilités de création ».
En fonction des nervures, de la densité, de l’esthétisme, tout est soigneusement étudié afin de concevoir une montre haut de gamme et à 90% Swiss Made. Le boitier octogonal offre une taille de 41 x 43,8 mm pour 9,9 mm d’épaisseur. Ils sont proposés en Kauri donc (qui donne son nom à la marque), mais aussi en broussin de bruyère, en bois de violette, en ébène de Suisse ou en ébène de Macassar.
Les boitiers en bois sont enduits d’une huile siccative pour les protéger et ils sont associés à une capsule (étanche 30 mètres) en acier 316L et à des calibres mécaniques automatiques et squelettes. L’ensemble se portant sur des bracelets en cuir.
Les boitiers en bois sont enduits d’une huile siccative pour les protéger et ils sont associés à une capsule (étanche 30 mètres) en acier 316L et à des calibres mécaniques automatiques et squelettes. L’ensemble se portant sur des bracelets en cuir.