« Pour moi, le futur désirable doit être responsable, je suis donc parti d’une idée de upcycling, de réutilisation d’objets horlogers qui sont aujourd’hui considérés comme désuets et dévalorisés. Pourtant, ce sont des objets qui ont une très grande qualité mécanique et horlogère » explique François Quentin.
« J’ai réutilisé les rouages d’un mouvement de Paris pour concevoir un produit qui soit dans l’air du temps, contemporain et moderne. Là où on a l’habitude de voir la seconde ou la dixième de seconde, on a un produit qui affiche l’heure toutes les 5 minutes de la manière dont on la dit oralement, par exemple « Dix heures moins dix ».
Il y a dans cet objet une notion de upcycling mais aussi un respect patrimonial car ce sont des objets extrêmement pérennes, qui au bout de 150 ans fonctionnent encore parfaitement et pourront encore fonctionner pendant des dizaines et des dizaines d’années. »
Les maquettes ou prototypes des 12 projets finalistes étaient exposés au Palais de Tokyo : des pièces uniques, repoussant les limites de l’imagination et ouvrant de nouvelles perspectives pour l’avenir de l’horlogerie, la bijouterie-joaillerie et les arts de la table.
Lancé en janvier 2024, le concours Désirables Futurs invitait les fabricants, les artisans, les designers et les étudiants à imaginer le futur des filières soutenues par Francéclat en explorant matériaux innovants, fonctionnalités inédites, formes nouvelles ou encore usages surprenants.
Le 5 décembre, un jury composé de 13 professionnels a désigné les 3 gagnants, un par filière, qui ont remporté un prix de 10 000 € chacun récompensant leur vision, leur originalité et leur excellence artistique. Les 9 autres finalistes ont bénéficié d’une dotation de 2 000 € chacun.
« J’ai réutilisé les rouages d’un mouvement de Paris pour concevoir un produit qui soit dans l’air du temps, contemporain et moderne. Là où on a l’habitude de voir la seconde ou la dixième de seconde, on a un produit qui affiche l’heure toutes les 5 minutes de la manière dont on la dit oralement, par exemple « Dix heures moins dix ».
Il y a dans cet objet une notion de upcycling mais aussi un respect patrimonial car ce sont des objets extrêmement pérennes, qui au bout de 150 ans fonctionnent encore parfaitement et pourront encore fonctionner pendant des dizaines et des dizaines d’années. »
Les maquettes ou prototypes des 12 projets finalistes étaient exposés au Palais de Tokyo : des pièces uniques, repoussant les limites de l’imagination et ouvrant de nouvelles perspectives pour l’avenir de l’horlogerie, la bijouterie-joaillerie et les arts de la table.
Lancé en janvier 2024, le concours Désirables Futurs invitait les fabricants, les artisans, les designers et les étudiants à imaginer le futur des filières soutenues par Francéclat en explorant matériaux innovants, fonctionnalités inédites, formes nouvelles ou encore usages surprenants.
Le 5 décembre, un jury composé de 13 professionnels a désigné les 3 gagnants, un par filière, qui ont remporté un prix de 10 000 € chacun récompensant leur vision, leur originalité et leur excellence artistique. Les 9 autres finalistes ont bénéficié d’une dotation de 2 000 € chacun.
