Un an après donc, Louis Erard et seconde/seconde reprennent une nouvelle collab’. Pour rappel et avant de présenter cette nouveauté, précisons que seconde/seconde (alias Romaric André) a fait des aiguilles son terrain de jeu et sa marque de fabrique (ou de « défabrique ») : il aime détourner et mélanger les genres.
Pour ce faire, ce jeune créateur parisien pioche sans vergogne dans la culture contemporaine, le web, la rue, les jeux vidéo pour en extraire des pictogrammes pop qu’il pose sur des cadrans comme de petites bombes, pour faire éclater la signification des montres qu’il piège.
On se souvient de la « gomme-aiguille des heures » de la Moser et de l’Erreur 404 avec Louis Erard l’an dernier !
Pour ce faire, ce jeune créateur parisien pioche sans vergogne dans la culture contemporaine, le web, la rue, les jeux vidéo pour en extraire des pictogrammes pop qu’il pose sur des cadrans comme de petites bombes, pour faire éclater la signification des montres qu’il piège.
On se souvient de la « gomme-aiguille des heures » de la Moser et de l’Erreur 404 avec Louis Erard l’an dernier !
Ainsi, sur le cadran opalin argenté, Louis Erard devient Louis Horror (écrit en lettres de sang) et on remarque que la petite seconde située à 6h a perdu son aiguille au profit d’un ectoplasme pixélisé pris dans les rets du temps au sein d’un compteur azuré avec zone diamantée. On retrouve bien évidemment, les fameuses aiguilles de type sapin, signature de la maison helvétique.
Cette montre de 39 mm, étanche à 50 mètres, est dotée d’un boitier en acier 316L qui accueille le calibre suisse automatique Sellita SW261 (4Hz) d’une réserve de marche standard de 38h. Edition limitée à 178 exemplaires.
Une collaboration qui ne surprendra pas ceux qui ont suivi le récent redéploiement des montres Louis Erard, autour d’un triptyque mécanique, des métiers d’art et des collaborations, dont les premières ont déjà fait date : Alain Silberstein, Vianney Halter, atelier oï — et d’autres à venir.
Cette montre de 39 mm, étanche à 50 mètres, est dotée d’un boitier en acier 316L qui accueille le calibre suisse automatique Sellita SW261 (4Hz) d’une réserve de marche standard de 38h. Edition limitée à 178 exemplaires.
Une collaboration qui ne surprendra pas ceux qui ont suivi le récent redéploiement des montres Louis Erard, autour d’un triptyque mécanique, des métiers d’art et des collaborations, dont les premières ont déjà fait date : Alain Silberstein, Vianney Halter, atelier oï — et d’autres à venir.