Sous son apparente sobriété, l’Imperiale cache des détails « aussi précieux que rares » souligne la marque dans son communiqué.
Nombre d’entre eux, à l’image de ses couvre-anses typiques, ont été entièrement redessinés. A travers ce garde-temps, « l’ère impériale renaît dans toute sa splendeur ».
Le fond du cadran de nacre, délicatement ciselé, évoque ces coussins brodés sur lesquels les monarques avaient coutume de déposer leurs insignes. Autour, des chiffres romains, symboles résolument « impériaux », marquent les heures.
Quant aux aiguilles finement courbées, elles rappellent les dagues effilées qu’utilisaient les souverains au combat. La couronne, en forme de fleur de lotus est montée sur une carrure aux côtés épurés pour offrir davantage de luminosité et de légèreté à la pièce.
Ultime touche de raffinement, les cornes, semblables à des colonnes antiques, sont rehaussées de petits cabochons d’améthyste pour la version or rose ou de saphirs bleus pour les modèles en or gris, taillés en briolettes pour mieux épouser le galbe du boîtier. On remarquera la nuance pourpre des pierres, emblème royal par excellence, qui fait écho aux décalques de la montre et à la signature Chopard, également de la même teinte.
Disponible en plusieurs tailles, doté d’un mouvement quartz, automatique ou chronographe, en version sertie de diamants ou non, en acier ou en or rose ou gris, avec bracelet métal ou cuir, « l’Imperiale se renouvelle à l’infini pour séduire les femmes les plus exigeantes et les accompagner en toute occasion » assure la marque.
Nombre d’entre eux, à l’image de ses couvre-anses typiques, ont été entièrement redessinés. A travers ce garde-temps, « l’ère impériale renaît dans toute sa splendeur ».
Le fond du cadran de nacre, délicatement ciselé, évoque ces coussins brodés sur lesquels les monarques avaient coutume de déposer leurs insignes. Autour, des chiffres romains, symboles résolument « impériaux », marquent les heures.
Quant aux aiguilles finement courbées, elles rappellent les dagues effilées qu’utilisaient les souverains au combat. La couronne, en forme de fleur de lotus est montée sur une carrure aux côtés épurés pour offrir davantage de luminosité et de légèreté à la pièce.
Ultime touche de raffinement, les cornes, semblables à des colonnes antiques, sont rehaussées de petits cabochons d’améthyste pour la version or rose ou de saphirs bleus pour les modèles en or gris, taillés en briolettes pour mieux épouser le galbe du boîtier. On remarquera la nuance pourpre des pierres, emblème royal par excellence, qui fait écho aux décalques de la montre et à la signature Chopard, également de la même teinte.
Disponible en plusieurs tailles, doté d’un mouvement quartz, automatique ou chronographe, en version sertie de diamants ou non, en acier ou en or rose ou gris, avec bracelet métal ou cuir, « l’Imperiale se renouvelle à l’infini pour séduire les femmes les plus exigeantes et les accompagner en toute occasion » assure la marque.