La précision horlogère est une évidence et une condition-cadre pour la vente des montres. Cette précision a pourtant besoin de légitimité et de crédibilité.
Ainsi, le Concours international de chronométrie trouve sa raison d’être dans ces domaines pointus et appuie par son existence, les performances de l’horlogerie mécanique contemporaine. Il est soutenu par le Canton de Neuchâtel, la Commune du Locle et la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon.
Il y a lieu de souligner la difficulté des épreuves qui demandent que les pièces classées réussissent trois fois de suite la qualification internationale « chronomètre » avec, après la deuxième série de tests, une exposition à des chocs intenses et à des champs magnétiques, et tout ceci sans réglage intermédiaire. Cette difficulté n’a pas été diminuée depuis la création de ce Concours.
Dans la catégorie « Tourbillon » (sept participants au total), Les Ateliers Leroy ont donc décroché la palme avec 794 points, la plupart des autres n’ayant pas résisté à la dure épreuve des chocs et du magnétisme !
Le modèle Tourbillon Régulateur automatique en or rose de la ligne Osmior de L. Leroy, inspiré par les pièces du musée privé de la marque est une création exclusive des horlogers de la maison (la marque est distribuée chez Dubail à Paris). Il représente une interprétation ultra-contemporaine de ce système en intégrant un train d'échappement (ancre et roue) usiné dans le diamant pur. Le mécanisme gagne ainsi très nettement en légèreté et en dureté. Le mouvement qui équipe ce garde-temps est fabriqué par la Manufacture Horlogère de la Vallée de Joux-MHVJ qui fait partie du Groupe Festina Suisse de même que la Manufacture des Spiraux et Echappements SA qui fabrique l'intégralité de l'échappement, spiral compris.
Grâce à cet atout majeur, la maison L.Leroy peut doter la grande majorité de ses modèles avec des calibres-manufacture exclusifs. « Ce prix n'est pas seulement un motif de fierté pour nos techniciens et horlogers » a déclaré Miguel Rodriguez, président du Groupe. « C'est également la démonstration que nous maitrisons un savoir-faire digne des plus grands noms de la Haute Horlogerie ».
A noter que l’ensemble des pièces concurrentes déposées par dix-sept entreprises (dont quatorze suisses, deux françaises et une allemande) ainsi que trois écoles d’horlogerie ont été soumises depuis le 30 mai dernier à trois séries de mesures effectuées dans les laboratoires officiels certifiés de l’Observatoire de Besançon et du Contrôle officiel suisse des chronomètres à Bienne ainsi qu’à des expositions particulièrement sévères à des champs magnétiques et à des chocs à la Haute Ecole Arc au Locle.
Dans la catégorie Classique, Tissot s’adjuge les deux premières places (878 et 850 points sur 1000) et Louis Moinet (728 points), la troisième.
Soulignons que les montres du Concours seront exposées jusqu’au 3 novembre 2013 au Musée du Temps à Besançon puis au Musée d’horlogerie du Locle–Château des Monts du 10 novembre au 31 décembre 2013.
Le Concours étudie l’introduction de deux nouveaux types de classement : les montres extra-plates et les chronographes. De plus, il envisage de ne divulguer les noms que de ceux qui auront surmonté la première série de mesures qui se déroule à l’Observatoire de Besançon.
Le Concours international de chronométrie ayant un rythme bisannuel, le prochain délai d’inscription est fixé au 31 janvier 2015. Philippe Fischer, ingénieur EPFL, directeur de la Fondation pour la Recherche en Microtechnique, succède à Claude-Henri Chabloz et présidera la prochaine édition.
Ainsi, le Concours international de chronométrie trouve sa raison d’être dans ces domaines pointus et appuie par son existence, les performances de l’horlogerie mécanique contemporaine. Il est soutenu par le Canton de Neuchâtel, la Commune du Locle et la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon.
Il y a lieu de souligner la difficulté des épreuves qui demandent que les pièces classées réussissent trois fois de suite la qualification internationale « chronomètre » avec, après la deuxième série de tests, une exposition à des chocs intenses et à des champs magnétiques, et tout ceci sans réglage intermédiaire. Cette difficulté n’a pas été diminuée depuis la création de ce Concours.
Dans la catégorie « Tourbillon » (sept participants au total), Les Ateliers Leroy ont donc décroché la palme avec 794 points, la plupart des autres n’ayant pas résisté à la dure épreuve des chocs et du magnétisme !
Le modèle Tourbillon Régulateur automatique en or rose de la ligne Osmior de L. Leroy, inspiré par les pièces du musée privé de la marque est une création exclusive des horlogers de la maison (la marque est distribuée chez Dubail à Paris). Il représente une interprétation ultra-contemporaine de ce système en intégrant un train d'échappement (ancre et roue) usiné dans le diamant pur. Le mécanisme gagne ainsi très nettement en légèreté et en dureté. Le mouvement qui équipe ce garde-temps est fabriqué par la Manufacture Horlogère de la Vallée de Joux-MHVJ qui fait partie du Groupe Festina Suisse de même que la Manufacture des Spiraux et Echappements SA qui fabrique l'intégralité de l'échappement, spiral compris.
Grâce à cet atout majeur, la maison L.Leroy peut doter la grande majorité de ses modèles avec des calibres-manufacture exclusifs. « Ce prix n'est pas seulement un motif de fierté pour nos techniciens et horlogers » a déclaré Miguel Rodriguez, président du Groupe. « C'est également la démonstration que nous maitrisons un savoir-faire digne des plus grands noms de la Haute Horlogerie ».
A noter que l’ensemble des pièces concurrentes déposées par dix-sept entreprises (dont quatorze suisses, deux françaises et une allemande) ainsi que trois écoles d’horlogerie ont été soumises depuis le 30 mai dernier à trois séries de mesures effectuées dans les laboratoires officiels certifiés de l’Observatoire de Besançon et du Contrôle officiel suisse des chronomètres à Bienne ainsi qu’à des expositions particulièrement sévères à des champs magnétiques et à des chocs à la Haute Ecole Arc au Locle.
Dans la catégorie Classique, Tissot s’adjuge les deux premières places (878 et 850 points sur 1000) et Louis Moinet (728 points), la troisième.
Soulignons que les montres du Concours seront exposées jusqu’au 3 novembre 2013 au Musée du Temps à Besançon puis au Musée d’horlogerie du Locle–Château des Monts du 10 novembre au 31 décembre 2013.
Le Concours étudie l’introduction de deux nouveaux types de classement : les montres extra-plates et les chronographes. De plus, il envisage de ne divulguer les noms que de ceux qui auront surmonté la première série de mesures qui se déroule à l’Observatoire de Besançon.
Le Concours international de chronométrie ayant un rythme bisannuel, le prochain délai d’inscription est fixé au 31 janvier 2015. Philippe Fischer, ingénieur EPFL, directeur de la Fondation pour la Recherche en Microtechnique, succède à Claude-Henri Chabloz et présidera la prochaine édition.