Avec un physique imposant porté par un caractère entier, et un tempérament volcanique, Gerard Butler
compte parmi les personnalités du 7e Art. Remarqué tôt, l’acteur écossais est venu au cinéma par hasard, mais son charisme a fait le reste.
« Spartans, tonight we dine in hell ! ». La tirade de la bande annonce du film « 300 » résonne encore dans les mémoires. Elle est signée Gerard Butler, promu roi de Sparte dans une production de Zack Snyder. Son charisme balaye tout sur son passage, et accessoirement un million de soldats perses en l’an 480 avant J.-C. au cours de la bataille de Thermopyles.
C’est que l’homme ne fait pas dans la demi-mesure. Avant d’adopter le destin du roi spartiate Léonidas, Gerard Butler était avocat. Une profession plutôt qu’une vocation. Très vite, il s’adonne à sa passion du théâtre où il est rapidement repéré. Les productions s’enchaînent et l’écran lui donne la mesure d’exprimer une audace et une personnalité aux accents pluriels.
Parce qu’il n’imagine pas que le talent se monnaie en concessions et compromis, il paie de sa personne chacun de ses rôles. Et rien ne le stimule plus que de se dépasser et de découvrir de nouveaux horizons. Faut-il dès lors s’étonner que l’an dernier, dans une vitrine, une montre ait retenu particulièrement son attention ? Depuis lors, Gerard Butler est fidèle à l’horloger genevois Roger Dubuis et il se plaît à exhiber cette montre qui lui ressemble, issue de l’univers Warrior qui imprègne la collection Excalibur. Au point de chercher à en savoir plus sur cette maison horlogère…
Ainsi, c’est après une récente visite de la manufacture que la magie a définitivement opéré. « Je suis sidéré », lâchait l’acteur en découvrant in situ le monde de la haute horlogerie et ses arcanes les plus secrètes. L’approche singulière et la créativité de la marque ont éclaté comme autant d’évidences lors de cette visite qui a permis à l’acteur de découvrir toutes les étapes de fabrication d’un garde-temps, entièrement maîtrisée à l’interne par la société genevoise. A l’issue de sa visite, Gerard Butler s’est arrêté longuement sur les modèles actuels, les collections Excalibur et La Monégasque en tête.
En tant qu’ami de l’horloger genevois, Gerard Butler entend participer activement à accroître la notoriété de la maison genevoise et à faire connaître son univers original. « Un univers bouillonnant et en perpétuelle effervescence, où la créativité règne en maître et où l’originalité est reine. Volontiers extravagante, la marque suisse évolue dans des horizons fantastiques et affectionne l’audace tout autant qu’elle respecte les codes » assure la manufacture dans son communiqué.
Pour Georges Kern, PDG de Roger Dubuis, « compter Gerard Butler parmi les amis de la marque est d’autant plus fort que cette proximité est naturelle et en pleine cohérence avec l’univers de Roger Dubuis. La fougue de Gerard et son image puissante trouvent un écho parfait dans les modèles de la maison et contribueront à les faire connaître encore davantage auprès d’un public de passionnés, épris d’art et d’esthétique. »
Gerard Butler reconnaît volontiers que, « tout comme le cinéma, l’horlogerie dissimule une mécanique de précision qui doit faire naître l’émotion. L’univers de Roger Dubuis, l’avènement de ses collections comme espaces de liberté est parfaitement en accord avec mes convictions. Dans la vie, il faut tout oser. Et toujours se surpasser. »
A noter que la manufacture genevoise ouvrira fin octobre 2011, une boutique exclusive à Hong Kong, dans l’espace commercial de luxe 1881 Heritage, situé sur Kowloon, près de l’embarcadère du Star Ferry.
compte parmi les personnalités du 7e Art. Remarqué tôt, l’acteur écossais est venu au cinéma par hasard, mais son charisme a fait le reste.
« Spartans, tonight we dine in hell ! ». La tirade de la bande annonce du film « 300 » résonne encore dans les mémoires. Elle est signée Gerard Butler, promu roi de Sparte dans une production de Zack Snyder. Son charisme balaye tout sur son passage, et accessoirement un million de soldats perses en l’an 480 avant J.-C. au cours de la bataille de Thermopyles.
C’est que l’homme ne fait pas dans la demi-mesure. Avant d’adopter le destin du roi spartiate Léonidas, Gerard Butler était avocat. Une profession plutôt qu’une vocation. Très vite, il s’adonne à sa passion du théâtre où il est rapidement repéré. Les productions s’enchaînent et l’écran lui donne la mesure d’exprimer une audace et une personnalité aux accents pluriels.
Parce qu’il n’imagine pas que le talent se monnaie en concessions et compromis, il paie de sa personne chacun de ses rôles. Et rien ne le stimule plus que de se dépasser et de découvrir de nouveaux horizons. Faut-il dès lors s’étonner que l’an dernier, dans une vitrine, une montre ait retenu particulièrement son attention ? Depuis lors, Gerard Butler est fidèle à l’horloger genevois Roger Dubuis et il se plaît à exhiber cette montre qui lui ressemble, issue de l’univers Warrior qui imprègne la collection Excalibur. Au point de chercher à en savoir plus sur cette maison horlogère…
Ainsi, c’est après une récente visite de la manufacture que la magie a définitivement opéré. « Je suis sidéré », lâchait l’acteur en découvrant in situ le monde de la haute horlogerie et ses arcanes les plus secrètes. L’approche singulière et la créativité de la marque ont éclaté comme autant d’évidences lors de cette visite qui a permis à l’acteur de découvrir toutes les étapes de fabrication d’un garde-temps, entièrement maîtrisée à l’interne par la société genevoise. A l’issue de sa visite, Gerard Butler s’est arrêté longuement sur les modèles actuels, les collections Excalibur et La Monégasque en tête.
En tant qu’ami de l’horloger genevois, Gerard Butler entend participer activement à accroître la notoriété de la maison genevoise et à faire connaître son univers original. « Un univers bouillonnant et en perpétuelle effervescence, où la créativité règne en maître et où l’originalité est reine. Volontiers extravagante, la marque suisse évolue dans des horizons fantastiques et affectionne l’audace tout autant qu’elle respecte les codes » assure la manufacture dans son communiqué.
Pour Georges Kern, PDG de Roger Dubuis, « compter Gerard Butler parmi les amis de la marque est d’autant plus fort que cette proximité est naturelle et en pleine cohérence avec l’univers de Roger Dubuis. La fougue de Gerard et son image puissante trouvent un écho parfait dans les modèles de la maison et contribueront à les faire connaître encore davantage auprès d’un public de passionnés, épris d’art et d’esthétique. »
Gerard Butler reconnaît volontiers que, « tout comme le cinéma, l’horlogerie dissimule une mécanique de précision qui doit faire naître l’émotion. L’univers de Roger Dubuis, l’avènement de ses collections comme espaces de liberté est parfaitement en accord avec mes convictions. Dans la vie, il faut tout oser. Et toujours se surpasser. »
A noter que la manufacture genevoise ouvrira fin octobre 2011, une boutique exclusive à Hong Kong, dans l’espace commercial de luxe 1881 Heritage, situé sur Kowloon, près de l’embarcadère du Star Ferry.
