Quelle place l’or rose tient-il dans l’histoire de Vacheron Constantin ?
Cela fait plus d’un siècle que l’or rose est présent dans les créations de Vacheron Constantin. Son usage remonte particulièrement aux années 1910/1920. Par la suite, la manufacture l’utilisera essentiellement pour façonner des boîtiers de montres à complications.
On trouve notamment dans nos archives, quelques beaux exemples de répétitions minutes et de chronographes. Et ce, jusqu’aux années 1960 où on assiste à un retour quasi-exclusif des montres en or jaune ou en or gris.
A quelle époque l’or rose est-il revenu sur le devant de la scène ?
Notre clientèle asiatique a contribué à faire revenir l’or rose dans nos créations dès le début des années 1990. Depuis, il s’est largement imposé, au détriment de l’or jaune et de l’or gris qui reste cependant, avec le platine, le métal blanc précieux de référence.
Avec son cadran doré, cette nouvelle Overseas évoque les montres des années 50/60. Qu’avez-vous cherché à exprimer en termes de design ?
Effectivement, nous avons cherché à proposer une couleur qui soit différente du classique argenté qui se marie habituellement avec ce type de montres or rose sur bracelet du même métal.
Et oui, nous nous sommes inspirés de cette combinaison or rose/doré que l’on retrouve dans nombre de créations de la maison, et ce depuis les années 1940.
L’usage d’un métal précieux comme l’or rose est-il compatible avec l’esprit sport-chic de la collection Overseas ?
Absolument ! L’Overseas répond en tous points aux exigences de notre maison qui occupe une place toute légitime dans l’univers de la Haute Horlogerie.
Dans ce contexte, c’est donc naturellement que nos montres sport-chic se déclinent aussi bien en acier que dans des métaux précieux, parfois même sertis de diamants comme sur cette nouvelle Overseas automatique.
Cela fait plus d’un siècle que l’or rose est présent dans les créations de Vacheron Constantin. Son usage remonte particulièrement aux années 1910/1920. Par la suite, la manufacture l’utilisera essentiellement pour façonner des boîtiers de montres à complications.
On trouve notamment dans nos archives, quelques beaux exemples de répétitions minutes et de chronographes. Et ce, jusqu’aux années 1960 où on assiste à un retour quasi-exclusif des montres en or jaune ou en or gris.
A quelle époque l’or rose est-il revenu sur le devant de la scène ?
Notre clientèle asiatique a contribué à faire revenir l’or rose dans nos créations dès le début des années 1990. Depuis, il s’est largement imposé, au détriment de l’or jaune et de l’or gris qui reste cependant, avec le platine, le métal blanc précieux de référence.
Avec son cadran doré, cette nouvelle Overseas évoque les montres des années 50/60. Qu’avez-vous cherché à exprimer en termes de design ?
Effectivement, nous avons cherché à proposer une couleur qui soit différente du classique argenté qui se marie habituellement avec ce type de montres or rose sur bracelet du même métal.
Et oui, nous nous sommes inspirés de cette combinaison or rose/doré que l’on retrouve dans nombre de créations de la maison, et ce depuis les années 1940.
L’usage d’un métal précieux comme l’or rose est-il compatible avec l’esprit sport-chic de la collection Overseas ?
Absolument ! L’Overseas répond en tous points aux exigences de notre maison qui occupe une place toute légitime dans l’univers de la Haute Horlogerie.
Dans ce contexte, c’est donc naturellement que nos montres sport-chic se déclinent aussi bien en acier que dans des métaux précieux, parfois même sertis de diamants comme sur cette nouvelle Overseas automatique.