Au terme de recherches approfondies, le constat est clair : Au 20ème siècle, aucune marque horlogère spécialisée dans les mouvements de hautes complications n’a porté le nom d’une femme.
De fait, on peut remarquer qu’au fil des siècles, le monde horloger n’a jamais fait preuve d’un féminisme débordant (et c’est un euphémisme), persuadé que la mécanique était une affaire d’homme !
Pourtant, l’évolution du statut des femmes dans la société a totalement changé la donne. Les femmes modernes sont actives, beaucoup conjuguent famille et vie professionnelle et sont friandes de technologie.
Prenons l’exemple du secteur de l’automobile : les constructeurs ont longtemps appliqué le concept « une petite voiture pour madame et une grosse cylindrée pour monsieur » avant de se rendre compte que les monospaces et les énormes 4 x 4 étaient majoritairement conduits... par des femmes, très souvent des mères de famille soucieuses de sécurité et d’espace.
Quelques manufactures horlogères ont pressenti ce phénomène et ont proposé certaines montres pour les femmes comportant de petites complications, se contentant généralement de réduire la taille du modèle homme correspondant ou d’y ajouter des diamants.
Personne n’a pensé à créer un mouvement entièrement revisité afin de correspondre aux attentes et aux exigences féminines Et qui plus est, aucune femme horlogère ! La Confrérie compte trois horlogères qui vont œuvrer pour pallier cette lacune en créant leurs marques éponymes et offriront une place de choix dans leurs collections à des mouvements compliqués conçus véritablement pour les femmes.
Brigitte, Clara et Sabitry seront-elles les « suffragettes » de l’horlogerie haut de gamme ?
De fait, on peut remarquer qu’au fil des siècles, le monde horloger n’a jamais fait preuve d’un féminisme débordant (et c’est un euphémisme), persuadé que la mécanique était une affaire d’homme !
Pourtant, l’évolution du statut des femmes dans la société a totalement changé la donne. Les femmes modernes sont actives, beaucoup conjuguent famille et vie professionnelle et sont friandes de technologie.
Prenons l’exemple du secteur de l’automobile : les constructeurs ont longtemps appliqué le concept « une petite voiture pour madame et une grosse cylindrée pour monsieur » avant de se rendre compte que les monospaces et les énormes 4 x 4 étaient majoritairement conduits... par des femmes, très souvent des mères de famille soucieuses de sécurité et d’espace.
Quelques manufactures horlogères ont pressenti ce phénomène et ont proposé certaines montres pour les femmes comportant de petites complications, se contentant généralement de réduire la taille du modèle homme correspondant ou d’y ajouter des diamants.
Personne n’a pensé à créer un mouvement entièrement revisité afin de correspondre aux attentes et aux exigences féminines Et qui plus est, aucune femme horlogère ! La Confrérie compte trois horlogères qui vont œuvrer pour pallier cette lacune en créant leurs marques éponymes et offriront une place de choix dans leurs collections à des mouvements compliqués conçus véritablement pour les femmes.
Brigitte, Clara et Sabitry seront-elles les « suffragettes » de l’horlogerie haut de gamme ?