La Galerie du Patrimoine Jaeger-LeCoultre va dévoiler à partir du mois d’octobre, la plus belle collection de montres, de pendules et de mouvements Jaeger-LeCoultre anciens et actuels jamais rassemblés depuis la naissance de la Grande Maison de la Vallée de Joux en 1833.
Tirés de la collection privée de la Manufacture, laquelle comporte plusieurs milliers d’objets, plus de 500 merveilles de technique reflèteront le rôle majeur joué par Jaeger-LeCoultre dans l’histoire de l’horlogerie suisse, dans les domaines de la précision, des fonctions et du design.
Des montres de poche aux montres-bracelets en passant par les montres bagues, broches et pendentifs, les amateurs de beaux objets découvriront des garde-temps couvrant plus d’un siècle et demi.
La grande tradition Jaeger-LeCoultre s’est exprimée aussi bien dans les domaines des grandes complications que dans celui des fonctions utiles ou de la haute joaillerie. Des créations ont marqué chaque époque.
Parmi elles, les célèbres Duoplan (dès 1925), les Memovox (dès 1950) dont la Polaris (1965), les Futurematic (dès 1953), ou encore les montres de plongée (dès 1959).
Une extraordinaire collection de Reverso datant de 1931 à nos jours mettra également en lumière les mille et un visages de la légendaire montre réversible. .../...
Tirés de la collection privée de la Manufacture, laquelle comporte plusieurs milliers d’objets, plus de 500 merveilles de technique reflèteront le rôle majeur joué par Jaeger-LeCoultre dans l’histoire de l’horlogerie suisse, dans les domaines de la précision, des fonctions et du design.
Des montres de poche aux montres-bracelets en passant par les montres bagues, broches et pendentifs, les amateurs de beaux objets découvriront des garde-temps couvrant plus d’un siècle et demi.
La grande tradition Jaeger-LeCoultre s’est exprimée aussi bien dans les domaines des grandes complications que dans celui des fonctions utiles ou de la haute joaillerie. Des créations ont marqué chaque époque.
Parmi elles, les célèbres Duoplan (dès 1925), les Memovox (dès 1950) dont la Polaris (1965), les Futurematic (dès 1953), ou encore les montres de plongée (dès 1959).
Une extraordinaire collection de Reverso datant de 1931 à nos jours mettra également en lumière les mille et un visages de la légendaire montre réversible. .../...
Expression de la continuité de la marque et de son dynamisme, des pièces actuelles d’exception comme la montre Gyrotourbillon (2004), ou la Reverso grande complication à triptyque (2006) jouxtent les chefs-d’oeuvre d’hier. Par ailleurs, les visiteurs découvriront l’extraordinaire histoire de la pendule Atmos, du prototype de 1928 à l’Atmos Transparente (2006).
Cette collection unique est exposée dans le saint des saints de Jaeger-LeCoultre : à l’emplacement précis du premier atelier de la Manufacture, là où, en 1833, Antoine LeCoultre développa ses premières inventions.
Entre passé et avenir, la scénographie rend hommage à l’esprit visionnaire du fondateur. Par leur disposition, leur complexité et leurs innovations, les vitrines évoquent un mouvement horloger.
Habillées de verre et de cuir, ces véritables sculptures jouent avec la verticalité et la transparence. Chacune se déploie sur deux étages. Monumentales, elles ont exigé de relever d’importants défis techniques.
Les visiteurs découvriront en particulier une imposante paroi de verre courbe, large de 5,4 mètres, haute de plus de 4,7 mètres. Ce mur transparent contient la plus extraordinaire collection de mouvements horlogers jamais exposée, précise le communiqué de la marque. 300 calibres différents issus des ateliers de la Manufacture de 1833 à nos jours !
Cette collection unique est exposée dans le saint des saints de Jaeger-LeCoultre : à l’emplacement précis du premier atelier de la Manufacture, là où, en 1833, Antoine LeCoultre développa ses premières inventions.
Entre passé et avenir, la scénographie rend hommage à l’esprit visionnaire du fondateur. Par leur disposition, leur complexité et leurs innovations, les vitrines évoquent un mouvement horloger.
Habillées de verre et de cuir, ces véritables sculptures jouent avec la verticalité et la transparence. Chacune se déploie sur deux étages. Monumentales, elles ont exigé de relever d’importants défis techniques.
Les visiteurs découvriront en particulier une imposante paroi de verre courbe, large de 5,4 mètres, haute de plus de 4,7 mètres. Ce mur transparent contient la plus extraordinaire collection de mouvements horlogers jamais exposée, précise le communiqué de la marque. 300 calibres différents issus des ateliers de la Manufacture de 1833 à nos jours !
Second volet de la Galerie du Patrimoine, l’espace d’expositions temporaires accueillera plusieurs évènements par année, qui dévoileront les dernières créations de la marque.
Mais pour marquer l’inauguration de la Galerie, la première d’entre elles mettra en relief les documents fondateurs de Jaeger-LeCoutre dans le contexte de l’histoire de la Vallée de Joux.
De la charte de 1559 relative à l’implantation du premier LeCoultre à la Vallée de Joux à la naissance de la Manufacture, l’exposition traitera du destin horloger extraordinaire de cette vallée isolée aux hivers interminables, dans laquelle la condition de survie a toujours demeuré l’esprit d’invention.
Nouvelle étape dans la fantastique épopée horlogère initiée par Antoine LeCoultre, la Galerie du Patrimoine ajoute une pierre à l’édifice de la marque Jaeger-LeCoultre.
Située dans le cœur historique de la Grande Maison de la Vallée de Joux, elle reflète et perpétue la vocation d’une manufacture qui, depuis ses origines, n’a cessé d’inventer, de découvrir de nouveaux horizons techniques et esthétiques.
Mais pour marquer l’inauguration de la Galerie, la première d’entre elles mettra en relief les documents fondateurs de Jaeger-LeCoutre dans le contexte de l’histoire de la Vallée de Joux.
De la charte de 1559 relative à l’implantation du premier LeCoultre à la Vallée de Joux à la naissance de la Manufacture, l’exposition traitera du destin horloger extraordinaire de cette vallée isolée aux hivers interminables, dans laquelle la condition de survie a toujours demeuré l’esprit d’invention.
Nouvelle étape dans la fantastique épopée horlogère initiée par Antoine LeCoultre, la Galerie du Patrimoine ajoute une pierre à l’édifice de la marque Jaeger-LeCoultre.
Située dans le cœur historique de la Grande Maison de la Vallée de Joux, elle reflète et perpétue la vocation d’une manufacture qui, depuis ses origines, n’a cessé d’inventer, de découvrir de nouveaux horizons techniques et esthétiques.
Quelques pièces phares de la Galerie du Patrimoine :
1928 : La montre de poche à grande complication (ci-contre)
Depuis les années 1870, la Manufacture s’est spécialisée dans les calibres compliqués.
En 30 ans, les horlogers y ont créé 99 calibres à répétitions différents et quelque 128 chronographes différents dont 32 munis de rattrapantes et 42 de compteurs. Les premières grandes complications datent des années 1890.
Les visiteurs de la Galerie du Patrimoine pourront découvrir en particulier une pièce exceptionnelle, fabriquée en 1928. Soulignée par son pourtour en émail bleu, la boîte en or jaune 18 carats laisse apparaître à travers son cadran squeletté le Calibre LeCoultre 17JCSMCCRVQ.
Véritable prouesse micromécanique, il offre une répétition à minutes, un chronographe avec compteur et rattrapante, un calendrier perpétuel avec indication du jour, de la phase et de l’âge de la lune, le cycle des années bissextiles. Le cadran de la petite seconde est gradué en alternance avec l’âge de la lune.
1936 : Reverso Beauté indienne (voir photo ci-dessus)
En 1931, grâce au retournement unique de son boîtier réversible, la Reverso répondit à ses origines au défi lancé par des officiers anglais basés en Inde de créer une montre capable de survivre à un match de polo. Bien plus qu’une montre de sport, elle conquit rapidement une clientèle raffinée et cosmopolite.
Elle devint bientôt un grand classique de l’Art déco dont elle véhicule aujourd’hui encore les valeurs de pureté esthétique, d’artisanat d’art et de perfection technique au service du plaisir d’usage. Parmi les nombreuses Reverso que le visiteur pourra découvrir dans la Galerie du Patrimoine figure la plus ancienne Reverso connue dont le verso est personnalisé par une miniature en émail. La légende veut que cette pièce unique ait été commandée par un Maharaja.
La miniature en émail représente une femme dont la beauté n’a d’équivalent que le mystère qui entoure aujourd’hui encore sa véritable identité.
Caractéristiques : Fond peinture sur émail. Calibre Jaeger-LeCoultre 410. Or jaune 18 carats.
1938 : Joaillerie 101
En 1929, la Grande maison de la Vallée de Joux invente le mécanisme horloger le plus petit du monde. Baptisé Calibre 101, mesurant 14 x 4,8 x 3,4 mm, le poids total de ses 74 composants atteignait à peine un gramme.
Fabriqué en très petite série depuis sa création, le Calibre 101 a traversé les décennies jusqu’à nos jours sans que son record ne soit battu. Il compte aujourd’hui 98 composants que seuls une poignée d’horlogers sont capable d’assembler et de régler.
La Galerie du Patrimoine présentera plusieurs montres munies du Calibre 101 des origines au 21ème siècle, parmi lesquelles un chef-d’oeuvre datant de 1938, alliant la beauté des diamants à la virtuosité horlogère.
Caractéristiques : Mouvement mécanique le plus petit du monde. Calibre Jaeger-LeCoultre
101. Or gris 18 carats, décoré sur les faces latérales. 63 diamants taille baguette, env. 12,34 carats.
1907 : Montre de poche Lépine munie du calibre le plus plat du monde
La marque Jaeger-LeCoultre est née de la rencontre de deux hommes. En 1903, l’horloger parisien Edmond Jaeger met au défi les manufactures suisses de mettre au point et de fabriquer en petites séries des mouvements ultraplats de son invention.
Piqué au vif, Jacques-David LeCoultre, petit fils du fondateur de LeCoultre & Cie, se passionne pour le projet. De la collaboration des deux hommes naît bientôt la plus extraordinaire collection de mouvements simples et compliqués ultraplats.
Parmi eux, le Calibre LeCoultre 145, qui depuis 1907 demeure le plus plat de sa catégorie avec 1,38 mm de hauteur. Seule l’extraordinaire réunion de savoir-faire et la passion horlogère de la Manufacture pouvait rendre possible un tel exploit. Le Calibre LeCoultre 145 fut fabriqué en petites séries durant plus d’un demi-siècle.
Caractéristiques : 1907. Montre de poche la plus plate du monde. Boîte dite « couteau ». Calibre LeCoultre 145. Or jaune 18 carats. Patrimoine Jaeger-LeCoultre, inventaire no 314
Depuis les années 1870, la Manufacture s’est spécialisée dans les calibres compliqués.
En 30 ans, les horlogers y ont créé 99 calibres à répétitions différents et quelque 128 chronographes différents dont 32 munis de rattrapantes et 42 de compteurs. Les premières grandes complications datent des années 1890.
Les visiteurs de la Galerie du Patrimoine pourront découvrir en particulier une pièce exceptionnelle, fabriquée en 1928. Soulignée par son pourtour en émail bleu, la boîte en or jaune 18 carats laisse apparaître à travers son cadran squeletté le Calibre LeCoultre 17JCSMCCRVQ.
Véritable prouesse micromécanique, il offre une répétition à minutes, un chronographe avec compteur et rattrapante, un calendrier perpétuel avec indication du jour, de la phase et de l’âge de la lune, le cycle des années bissextiles. Le cadran de la petite seconde est gradué en alternance avec l’âge de la lune.
1936 : Reverso Beauté indienne (voir photo ci-dessus)
En 1931, grâce au retournement unique de son boîtier réversible, la Reverso répondit à ses origines au défi lancé par des officiers anglais basés en Inde de créer une montre capable de survivre à un match de polo. Bien plus qu’une montre de sport, elle conquit rapidement une clientèle raffinée et cosmopolite.
Elle devint bientôt un grand classique de l’Art déco dont elle véhicule aujourd’hui encore les valeurs de pureté esthétique, d’artisanat d’art et de perfection technique au service du plaisir d’usage. Parmi les nombreuses Reverso que le visiteur pourra découvrir dans la Galerie du Patrimoine figure la plus ancienne Reverso connue dont le verso est personnalisé par une miniature en émail. La légende veut que cette pièce unique ait été commandée par un Maharaja.
La miniature en émail représente une femme dont la beauté n’a d’équivalent que le mystère qui entoure aujourd’hui encore sa véritable identité.
Caractéristiques : Fond peinture sur émail. Calibre Jaeger-LeCoultre 410. Or jaune 18 carats.
1938 : Joaillerie 101
En 1929, la Grande maison de la Vallée de Joux invente le mécanisme horloger le plus petit du monde. Baptisé Calibre 101, mesurant 14 x 4,8 x 3,4 mm, le poids total de ses 74 composants atteignait à peine un gramme.
Fabriqué en très petite série depuis sa création, le Calibre 101 a traversé les décennies jusqu’à nos jours sans que son record ne soit battu. Il compte aujourd’hui 98 composants que seuls une poignée d’horlogers sont capable d’assembler et de régler.
La Galerie du Patrimoine présentera plusieurs montres munies du Calibre 101 des origines au 21ème siècle, parmi lesquelles un chef-d’oeuvre datant de 1938, alliant la beauté des diamants à la virtuosité horlogère.
Caractéristiques : Mouvement mécanique le plus petit du monde. Calibre Jaeger-LeCoultre
101. Or gris 18 carats, décoré sur les faces latérales. 63 diamants taille baguette, env. 12,34 carats.
1907 : Montre de poche Lépine munie du calibre le plus plat du monde
La marque Jaeger-LeCoultre est née de la rencontre de deux hommes. En 1903, l’horloger parisien Edmond Jaeger met au défi les manufactures suisses de mettre au point et de fabriquer en petites séries des mouvements ultraplats de son invention.
Piqué au vif, Jacques-David LeCoultre, petit fils du fondateur de LeCoultre & Cie, se passionne pour le projet. De la collaboration des deux hommes naît bientôt la plus extraordinaire collection de mouvements simples et compliqués ultraplats.
Parmi eux, le Calibre LeCoultre 145, qui depuis 1907 demeure le plus plat de sa catégorie avec 1,38 mm de hauteur. Seule l’extraordinaire réunion de savoir-faire et la passion horlogère de la Manufacture pouvait rendre possible un tel exploit. Le Calibre LeCoultre 145 fut fabriqué en petites séries durant plus d’un demi-siècle.
Caractéristiques : 1907. Montre de poche la plus plate du monde. Boîte dite « couteau ». Calibre LeCoultre 145. Or jaune 18 carats. Patrimoine Jaeger-LeCoultre, inventaire no 314