Lorsque Hublot organise un évènement, la marque ne lésine pas sur les moyens. C’est toujours organisé au « cordeau » et les hôtes sont reçus avec classe certes, mais systématiquement dans la bonne humeur et la convivialité. L’une des « marques de fabrique » imprimée à Hublot par Jean-Claude Biver.
Pour l’occasion, Hublot avait privatisé le Spiga, un bar-lounge et restaurant chic et cosy de Central à Hongkong. Au programme, musique caribéenne, bons petits plats et cigares Arturo Fuente. L’ambiance était à la fête, noyée dans les volutes de fumée et il régnait même dans l’ancienne colonie britannique, un petit air de Saint-Domingue.
De retour vers l’Europe en provenance de Corée du sud, Jean-Claude Biver, patron du pôle horloger chez LVMH avait fait la surprise de s’arrêter à Hongkong, où vit désormais son fils Loïc, responsable du développement de Hublot en Chine mais également dans certains pays de la région. Cigare au bec et panama sur la tête, J.C. Biver, toujours en forme, a même esquissé quelques pas de merengue avant de présenter avec sa pêche habituelle, cette nouvelle collab’, la troisième, avec la famille Fuente.
Pour l’occasion, Hublot avait privatisé le Spiga, un bar-lounge et restaurant chic et cosy de Central à Hongkong. Au programme, musique caribéenne, bons petits plats et cigares Arturo Fuente. L’ambiance était à la fête, noyée dans les volutes de fumée et il régnait même dans l’ancienne colonie britannique, un petit air de Saint-Domingue.
De retour vers l’Europe en provenance de Corée du sud, Jean-Claude Biver, patron du pôle horloger chez LVMH avait fait la surprise de s’arrêter à Hongkong, où vit désormais son fils Loïc, responsable du développement de Hublot en Chine mais également dans certains pays de la région. Cigare au bec et panama sur la tête, J.C. Biver, toujours en forme, a même esquissé quelques pas de merengue avant de présenter avec sa pêche habituelle, cette nouvelle collab’, la troisième, avec la famille Fuente.
Résultat ? Trois séries limitées reprenant le boitier de 45 mm de la Classic Fusion (étanche 100 mètres) proposé en or « King Gold », en bronze (très tendance) et en titane. Dans les trois cas, boîte, lunette et couronne sont finement gravées de feuilles de tabac (boite) et d’un motif rappelant les carreaux de faïence (lunette) ornant les sols des vieilles maisons coloniales de La Havane en y intégrant la lettre X, emblème de la famille Fuente. Le résultat est réussi.
Quant au fond plein, il est gravé d’une illustration évoquant Güines, cette ville de la province de La Havane où prit racine l’histoire de la famille Fuente. Elle porte également la mention « Château de la Fuente » ainsi que le numéro de série de l’édition limitée du modèle.
Quant au fond plein, il est gravé d’une illustration évoquant Güines, cette ville de la province de La Havane où prit racine l’histoire de la famille Fuente. Elle porte également la mention « Château de la Fuente » ainsi que le numéro de série de l’édition limitée du modèle.
La version en or (50 ex.) se décline en un surprenant cadran « bordeaux », tandis que celle en bronze (100 ex.) se présente avec un visage kaki et que le titane (100 ex.) arbore du bleu plus classique. A chaque fois, le bracelet est bien évidemment en accord avec le cadran. Ces trois éditions sont toutes dotées d’un calibre automatique standard fonctionnant à une fréquence de 28'800 A/h et offrant une réserve de marche de 42 heures.
Soulignons que l’accueil de ces pièces à Hongkong a été particulièrement bon, puisque le premier jour, plusieurs modèles ont été vendus dans les boutiques de l’ex-colonie britannique avant même toute communication sur les produits... Le fait est que cette nouvelle collab' est incontestablement la plus réussie des trois !
Soulignons que l’accueil de ces pièces à Hongkong a été particulièrement bon, puisque le premier jour, plusieurs modèles ont été vendus dans les boutiques de l’ex-colonie britannique avant même toute communication sur les produits... Le fait est que cette nouvelle collab' est incontestablement la plus réussie des trois !
Depuis sa fondation à Cuba en 1912, la société “Tabacalera Arturo Fuente y Compañia” a traversé toutes les embûches - départ forcé de Cuba suite à l’arrivée au pouvoir des castristes, exils en Floride et au Nicaragua - pour finalement s’établir en République Dominicaine, où ses planteurs et ses rouleurs ont enfin trouvé un terroir à la hauteur de leur immense talent. C’est là, au début des années 80, que Carlito Fuente, digne descendant du fondateur Arturo, a choisi d’installer sa manufacture de cigares, contre l’avis de tous. Un pari gagné : cent cinq ans après sa naissance, la marque Fuente a retrouvé la place qui était la sienne, en rivalisant avec les meilleures productions cubaines de cigares, puis en les dépassant.