Depuis 1999 (Lange & Söhne fut relancé en 1994), le Datograph est une référence dans l’art de produire des chronographes.
A l’occasion de son 25e anniversaire (un quart de siècle !), A. Lange & Söhne a déjà présenté deux interprétations de ce chef-d’œuvre mécanique : le Datograph Up-Down en or blanc avec un cadran bleu et le Datograph Perpétuel Tourbillon Honeygold « Lumen ».
Ce chronographe d’exception se décline désormais dans une version Handwerkskunst en édition très limitée de 25 exemplaires pour le monde. Rappelons que depuis 2011, le qualificatif « Handwerkskunst » désigne des éditions limitées exclusives présentant des décors de cadran et de mouvement particulièrement sophistiqués.
Ce Datograph est pourvu d’un cadran rhodié noir et de totalisateurs rhodiés gris clair ornés d’une gravure au tremblé extrêmement sophistiquée qui structure l’espace grâce à des reflets de lumière.
A l’occasion de son 25e anniversaire (un quart de siècle !), A. Lange & Söhne a déjà présenté deux interprétations de ce chef-d’œuvre mécanique : le Datograph Up-Down en or blanc avec un cadran bleu et le Datograph Perpétuel Tourbillon Honeygold « Lumen ».
Ce chronographe d’exception se décline désormais dans une version Handwerkskunst en édition très limitée de 25 exemplaires pour le monde. Rappelons que depuis 2011, le qualificatif « Handwerkskunst » désigne des éditions limitées exclusives présentant des décors de cadran et de mouvement particulièrement sophistiqués.
Ce Datograph est pourvu d’un cadran rhodié noir et de totalisateurs rhodiés gris clair ornés d’une gravure au tremblé extrêmement sophistiquée qui structure l’espace grâce à des reflets de lumière.
Pour ce faire, le graveur travaille le matériau à l’aide d’un burin plat denté fabriqué tout spécialement pour obtenir une surface au grain fin.
La difficulté est, non seulement de créer une texture homogène sur une petite surface, mais aussi de préserver certains éléments du cadran tels que le logo en arc, le marquage des minutes et des heures ainsi que l’échelle tachymétrique.
Conservant leur relief aux contours clairs, tout comme les cadrans auxiliaires et la grande date placés légèrement en recul, ils ressortent par contraste sur le fond sombre.
Les arêtes des appliques et des chiffres romains sont d’abord biseautées et les surfaces sont décorées en filage droit avant que ces éléments ne soient apposés avec le plus grand soin sur le cadran.
La difficulté est, non seulement de créer une texture homogène sur une petite surface, mais aussi de préserver certains éléments du cadran tels que le logo en arc, le marquage des minutes et des heures ainsi que l’échelle tachymétrique.
Conservant leur relief aux contours clairs, tout comme les cadrans auxiliaires et la grande date placés légèrement en recul, ils ressortent par contraste sur le fond sombre.
Les arêtes des appliques et des chiffres romains sont d’abord biseautées et les surfaces sont décorées en filage droit avant que ces éléments ne soient apposés avec le plus grand soin sur le cadran.
Les aiguilles de cette édition se distinguent quant à elles, par un chanfreinage méticuleux et un décor en filage droit.
La perfection artisanale se reflète dans chaque détail du calibre de manufacture L951.8 à la finition extraordinairement minutieuse. La surface des leviers des chronographes est ainsi décorée avec une technique de polissage noir particulièrement longue à mettre en place et donc rare, mais permettant de ne réfléchir la lumière que dans une seule direction. De toute beauté.
Sous cette perspective, la surface des leviers semble d'un noir profond sauf sous cet angle précis où elle brille tel un miroir. La surface grainée des ponts sur la platine trois quarts en maillechort non traité s’inspire pour sa part, des montres de poche traditionnelles et répond sur le plan esthétique à la finition au tremblé du cadran.
La complexité et la beauté mécanique de ce mouvement à remontage manuel apparaissent en transparence derrière le fond en verre saphir. L’élément esthétique le plus marquant est la gravure sur le coq de balancier réalisée à la main.
Cette pièce, petite mais superbement ornée de délicates plantes grimpantes, est un signe distinctif fort de ce modèle. En effet, les plantes grimpantes n’ont pas été travaillées en gravure dite classique, mais en relief : c’est le matériau n’appartenant pas au motif qui, avec une patience extrême, est retiré !
Rappelons que les motifs floraux sont une tradition de longue date chez Lange & Söhne. Ceux-ci rehaussaient déjà les premières montres de poche de précision lors des débuts de la manufacture, au 19e siècle.
La perfection artisanale se reflète dans chaque détail du calibre de manufacture L951.8 à la finition extraordinairement minutieuse. La surface des leviers des chronographes est ainsi décorée avec une technique de polissage noir particulièrement longue à mettre en place et donc rare, mais permettant de ne réfléchir la lumière que dans une seule direction. De toute beauté.
Sous cette perspective, la surface des leviers semble d'un noir profond sauf sous cet angle précis où elle brille tel un miroir. La surface grainée des ponts sur la platine trois quarts en maillechort non traité s’inspire pour sa part, des montres de poche traditionnelles et répond sur le plan esthétique à la finition au tremblé du cadran.
La complexité et la beauté mécanique de ce mouvement à remontage manuel apparaissent en transparence derrière le fond en verre saphir. L’élément esthétique le plus marquant est la gravure sur le coq de balancier réalisée à la main.
Cette pièce, petite mais superbement ornée de délicates plantes grimpantes, est un signe distinctif fort de ce modèle. En effet, les plantes grimpantes n’ont pas été travaillées en gravure dite classique, mais en relief : c’est le matériau n’appartenant pas au motif qui, avec une patience extrême, est retiré !
Rappelons que les motifs floraux sont une tradition de longue date chez Lange & Söhne. Ceux-ci rehaussaient déjà les premières montres de poche de précision lors des débuts de la manufacture, au 19e siècle.