Le Salon des Mathématiques et de la Physique peut être considéré comme á l’origine de l’installation de l’industrie horlogère en Saxe… En effet, en 1800, les astronomes et les horlogers résidents élevèrent l’art de la mesure précise du temps à un tel niveau, que Dresde devint rapidement un lieu de convergence majeur en Europe.
Inspiré par les chefs d’œuvres de précision du « Salon », Ferdinand Lange rassembla alors son énergie et son courage pour franchir l’étape décisive suivante. En 1845, établissant sa manufacture dans les Monts Métallifères, son rêve de réaliser les plus beaux garde-temps du monde prenait enfin forme... L’industrie horlogère saxonne venait de naître !
La route des garde-temps, depuis la vibrante cour royale de la capitale à l’isolée vallée de la Mügliz dans les Monts Métallifères, est décrite dans cette exposition, dans la section « La Course du Temps » qui présente des pendules, des montres et des automates, couvrant une période qui va de la Renaissance à nos jours. Un hommage y est rendu à Seyffert, Schumann, Gutkaes et Lange qui sont considérés comme les ancêtres fondateurs de l’héritage horloger de la Saxe.
Tous sont présents dans cette exposition au travers de pièces maitresses originales. Deux montres de poche Lange réalisées à la manufacture en 1867 et 1870 figurent parmi les présentations les plus importantes. Signées « Gutkaes et Lange, Dresde » et « A. Lange, Dresde » ces montres rappellent que le marketing de Lange s’appuyait sur le nom de son célèbre mentor Gutkaes et sur la renommée de Dresde. Plus tard, le célèbre logo arqué évoluera pour devenir l’icône d’une superbe horlogerie saxonne.
La Grande Complication dont le numéro de série est 42500 est sans aucun doute l’un des sommets de la collection. Réalisée en 1902, la montre de poche la plus compliquée de A. Lange & Söhne, fut longtemps considérée comme perdue jusqu’à ce qu’elle retrouve le chemin de retour á la manufacture, quelques cent ans après. Sa restauration dans les ateliers des pièces historiques dura quelques années mais aujourd’hui, elle occupe la place d’honneur dans l’exposition.
La dernière salle concerne la Lange1 : le modèle le plus connu de la manufacture de Glashütte, celui qui a reçu le plus de prix á ce jour, celui qui témoigne de la revitalisation de l’industrie horlogère saxonne après la réunification de l’Allemagne et enfin, celui qui appartient á l’institution par laquelle tout commença.
Inspiré par les chefs d’œuvres de précision du « Salon », Ferdinand Lange rassembla alors son énergie et son courage pour franchir l’étape décisive suivante. En 1845, établissant sa manufacture dans les Monts Métallifères, son rêve de réaliser les plus beaux garde-temps du monde prenait enfin forme... L’industrie horlogère saxonne venait de naître !
La route des garde-temps, depuis la vibrante cour royale de la capitale à l’isolée vallée de la Mügliz dans les Monts Métallifères, est décrite dans cette exposition, dans la section « La Course du Temps » qui présente des pendules, des montres et des automates, couvrant une période qui va de la Renaissance à nos jours. Un hommage y est rendu à Seyffert, Schumann, Gutkaes et Lange qui sont considérés comme les ancêtres fondateurs de l’héritage horloger de la Saxe.
Tous sont présents dans cette exposition au travers de pièces maitresses originales. Deux montres de poche Lange réalisées à la manufacture en 1867 et 1870 figurent parmi les présentations les plus importantes. Signées « Gutkaes et Lange, Dresde » et « A. Lange, Dresde » ces montres rappellent que le marketing de Lange s’appuyait sur le nom de son célèbre mentor Gutkaes et sur la renommée de Dresde. Plus tard, le célèbre logo arqué évoluera pour devenir l’icône d’une superbe horlogerie saxonne.
La Grande Complication dont le numéro de série est 42500 est sans aucun doute l’un des sommets de la collection. Réalisée en 1902, la montre de poche la plus compliquée de A. Lange & Söhne, fut longtemps considérée comme perdue jusqu’à ce qu’elle retrouve le chemin de retour á la manufacture, quelques cent ans après. Sa restauration dans les ateliers des pièces historiques dura quelques années mais aujourd’hui, elle occupe la place d’honneur dans l’exposition.
La dernière salle concerne la Lange1 : le modèle le plus connu de la manufacture de Glashütte, celui qui a reçu le plus de prix á ce jour, celui qui témoigne de la revitalisation de l’industrie horlogère saxonne après la réunification de l’Allemagne et enfin, celui qui appartient á l’institution par laquelle tout commença.