Après la Malouine, c’est donc au tour de la Brestoise de s’installer à Paris chez l’horloger Emile Leon qui est le seul dans la capitale à proposer cette « plongeuse » qui s’inspire d’un modèle Le Forban des années 70. Un design extrêmement tendance pour une montre qui ne prendra pas une ride puisque ce genre de design vintage s’est installé comme un « nouveau classique ».
Rappelons que la marque Le Forban Sécurité Mer est née en 1969 autour du concept de la « montre outil » (la fameuse « tool watch » en anglais).
Si les années 50 ont été marquées par l’essor de la plongée sous-marine (la Fifty Fathoms de Blancpain nait en 1953 suivie dans la foulée de la Submariner de Rolex) comme activité de loisir, elles avaient également vu la Marine nationale lancer des appels d’offres pour équiper ses nageurs de montres étanches et fonctionnelles (on se souvient aussi de la Tudor de 1958).
Rappelons que la marque Le Forban Sécurité Mer est née en 1969 autour du concept de la « montre outil » (la fameuse « tool watch » en anglais).
Si les années 50 ont été marquées par l’essor de la plongée sous-marine (la Fifty Fathoms de Blancpain nait en 1953 suivie dans la foulée de la Submariner de Rolex) comme activité de loisir, elles avaient également vu la Marine nationale lancer des appels d’offres pour équiper ses nageurs de montres étanches et fonctionnelles (on se souvient aussi de la Tudor de 1958).
Comme le rappelle Jean-Sébastien Coste, propriétaire des marques Triton et Le Forban Sécurité Mer : « J’avais envie de rendre hommage à la première montre Le Forban Sécurité Mer, celle de 1969. C’est par ce modèle que j’ai découvert la marque en chinant dans une boutique vintage. J’avais eu un coup de cœur pour ce cadran hyper lisible et ses grands index chiffrés. Et je ne suis pas le seul ! ».
Et de poursuivre : « après avoir relancé la marque l’an passé avec la Malouine, beaucoup de clients nous ont demandé de ressortir ce modèle emblématique. C’est désormais chose faite avec un prix toujours aussi accessible afin de répondre aux attentes d’une clientèle jeune pour qui, la plupart des montres de plongée de qualité sont inabordables ».
Et de poursuivre : « après avoir relancé la marque l’an passé avec la Malouine, beaucoup de clients nous ont demandé de ressortir ce modèle emblématique. C’est désormais chose faite avec un prix toujours aussi accessible afin de répondre aux attentes d’une clientèle jeune pour qui, la plupart des montres de plongée de qualité sont inabordables ».
Plus concrètement, la Brestoise embarque un boitier en acier de 38,4 mm (étanche à 150 mètres) qui correspond parfaitement à son esprit vintage (fond vissé gravé « Le Forban Sécurité Mer » et numéroté). La lunette unidirectionnelle est en acier avec insert en aluminium noir et sa couronne est vissée.
Son cadran noir, très lisible, offre une alternance d’index et de chiffres arabes luminescents (SuperLuminova C3) complété par une date instantanée avec correction rapide à 3h.
Son cadran noir, très lisible, offre une alternance d’index et de chiffres arabes luminescents (SuperLuminova C3) complété par une date instantanée avec correction rapide à 3h.
On retrouve la fameuse aiguille des minutes de type « sabre » complétée par une trotteuse « Lollipop » très seventies. Le tout, protégé par un verre saphir bombé antireflet.
Côté moteur, il s’agit d’un calibre de chez Miyota réputé pour sa robustesse. Sa réserve de marche, standard, s’élève à 40h. Cette montre se porte sur un bracelet en silicone noir. « Last but not least », ces Brestoises sont assemblées en France à Paris et sont commercialisées à 490 euros.
Maintenant à vous de choisir entre Brest ou Saint-Malo...
Côté moteur, il s’agit d’un calibre de chez Miyota réputé pour sa robustesse. Sa réserve de marche, standard, s’élève à 40h. Cette montre se porte sur un bracelet en silicone noir. « Last but not least », ces Brestoises sont assemblées en France à Paris et sont commercialisées à 490 euros.
Maintenant à vous de choisir entre Brest ou Saint-Malo...