Les futurs collector pour dames
Moins délaissé qu’auparavant, les modèles féminins vintage connaissent un fort engouement depuis quelques années. Le fait est que de nos jours, les femmes s’avèrent toutes aussi exigeantes que les hommes quand il s’agit de belle horlogerie.
A ce titre, notons dans cette vacations une Piaget « Tank » en or gris à mouvement ultra-plat (lot 4), une Blancpain en or et acier à cadran blanc (lot 1) ou encore, toujours dans les cadrans originaux, une Omega en or jaune au cadran « gaufré » (lot 34). Terminons cette sélection aussi rares qu’abordables (entre 1.000 et 3.000 euros) avec une très belle Jaeger-LeCoultre Etrier au cadran ardoise (lot 10).
Les modèles « outsiders » de Cartier
Cartier a le vent en poupe depuis quelques années déjà. Si l’on connait les best-sellers de la maison de la Rue de la Paix, il reste de nombreux modèles à découvrir ou à redécouvrir. Citons par exemple dans les collections Must, une Vendôme avec un cadran laqué noir (lot 3), une Panthère Vendôme (version ronde) en or et acier (lot5), une rare Ellipse lady en or jaune et mouvement mécanique (lot 84).
Un modèle connu peut également avoir été produit en peu d’exemplaires dans certaines versions, à l’instar de la Tank basculante en acier à mouvement mécanique (lot 8) ainsi qu’une Baignoire (lot 23) dans une inhabituelle déclinaison en or gris. Le tout estimé entre 1.400 et 6.000 euros, soit le prix d’une alliance ou d’un bracelet iconique en magasin.
LIP et YEMA, les chronographes sportifs des années 1970 sont à l’honneur
Connues pour leurs montres de ville des années 1950 à 1970, ces deux marques françaises ont marqué le paysage horloger avec leurs créations sportives durant les seventies. LIP se distingue avec un chronographe Panda Coussin (lot 46) qui n’est pas sans rappeler le Top Time de chez Breitling.
De son côté, Yema sera représenté avec la trilogie Air-Terre-Mer, à savoir les modèles Flygraph (lot 51), Rallye (lot 38) et Yachtgraph (lot 52). Ces modèles emblématiques, tous à mouvements mécaniques et en très bon état, rappellent l’âge d’or de l’horlogerie française.
Entre 1.600 et 2.500 euros, ces chronographes restent accessibles, parfois au même prix que les modèles contemporains, le charme du vintage en plus.
Jaeger LeCoultre, sans compromis entre chic et sport
La Normandie, région du cheval, sera certainement sensible à une sélection de montres Reverso. Conçue dans les années 1930 pour les militaires anglais joueurs de Polo en Inde, ce modèle sera décliné en une multitude de versions plus ou moins compliquées (c’est d’ailleurs son grand retour à l’occasion de Watches & Wonders cette année).
De la classique unisexe en acier (lot 6) à celle à phases de lune en or gris (lot 75), en passant par le modèle Art Déco lui aussi en métal précieux (lot 9), de 3.000 à 10.000 euros, un large panel sera proposé aux amateurs.
Les grandes complications des grandes manufactures
La manufacture Patek Phillipe sera représentée avec deux productions rares : une Ellipse (à anses) avec son fameux cadran en or bleu soleillé (lot 7) et une Traveltime en or rose avec une lunette « Clou de Paris » (lot 83), parfaite compagne du gentleman globetrotter.
Egalement, une Blancpain Villeret, en or jaune qui est dotée quant à elle, d’un mouvement automatique à quantième perpétuel (lot 77). Ces montres sont estimées entre 6500 et 12.500 euros.
Breitling et Heuer, le duo incontournable des montres de sport
Parfois sœurs, parfois meilleures ennemies, ces deux maisons suisses ont connu leurs apogées dans les années 1970-1980, avec des boîtiers de formes et des associations avec l’aviation ou l’automobile.
Les Datora (lot 32) et Pilote Sprint à cadran bleu (lot 37) de chez Breitling affronteront sur la ligne de départ les Autavia Panda (lot 37) et Carrera Chronomatic 15 (lot 15), dans une bataille d’enchères entre 2.500 et 4.500 euros.
Hôtel des ventes - Le Havre Enchères
77 rue Louis Brindeau
Commissaires-Priseurs Habilités
Me Maxence MAZZONI et Me Vincent NEYT
contact@lehavreencheres.com - 02 35 22 54 52
Moins délaissé qu’auparavant, les modèles féminins vintage connaissent un fort engouement depuis quelques années. Le fait est que de nos jours, les femmes s’avèrent toutes aussi exigeantes que les hommes quand il s’agit de belle horlogerie.
A ce titre, notons dans cette vacations une Piaget « Tank » en or gris à mouvement ultra-plat (lot 4), une Blancpain en or et acier à cadran blanc (lot 1) ou encore, toujours dans les cadrans originaux, une Omega en or jaune au cadran « gaufré » (lot 34). Terminons cette sélection aussi rares qu’abordables (entre 1.000 et 3.000 euros) avec une très belle Jaeger-LeCoultre Etrier au cadran ardoise (lot 10).
Les modèles « outsiders » de Cartier
Cartier a le vent en poupe depuis quelques années déjà. Si l’on connait les best-sellers de la maison de la Rue de la Paix, il reste de nombreux modèles à découvrir ou à redécouvrir. Citons par exemple dans les collections Must, une Vendôme avec un cadran laqué noir (lot 3), une Panthère Vendôme (version ronde) en or et acier (lot5), une rare Ellipse lady en or jaune et mouvement mécanique (lot 84).
Un modèle connu peut également avoir été produit en peu d’exemplaires dans certaines versions, à l’instar de la Tank basculante en acier à mouvement mécanique (lot 8) ainsi qu’une Baignoire (lot 23) dans une inhabituelle déclinaison en or gris. Le tout estimé entre 1.400 et 6.000 euros, soit le prix d’une alliance ou d’un bracelet iconique en magasin.
LIP et YEMA, les chronographes sportifs des années 1970 sont à l’honneur
Connues pour leurs montres de ville des années 1950 à 1970, ces deux marques françaises ont marqué le paysage horloger avec leurs créations sportives durant les seventies. LIP se distingue avec un chronographe Panda Coussin (lot 46) qui n’est pas sans rappeler le Top Time de chez Breitling.
De son côté, Yema sera représenté avec la trilogie Air-Terre-Mer, à savoir les modèles Flygraph (lot 51), Rallye (lot 38) et Yachtgraph (lot 52). Ces modèles emblématiques, tous à mouvements mécaniques et en très bon état, rappellent l’âge d’or de l’horlogerie française.
Entre 1.600 et 2.500 euros, ces chronographes restent accessibles, parfois au même prix que les modèles contemporains, le charme du vintage en plus.
Jaeger LeCoultre, sans compromis entre chic et sport
La Normandie, région du cheval, sera certainement sensible à une sélection de montres Reverso. Conçue dans les années 1930 pour les militaires anglais joueurs de Polo en Inde, ce modèle sera décliné en une multitude de versions plus ou moins compliquées (c’est d’ailleurs son grand retour à l’occasion de Watches & Wonders cette année).
De la classique unisexe en acier (lot 6) à celle à phases de lune en or gris (lot 75), en passant par le modèle Art Déco lui aussi en métal précieux (lot 9), de 3.000 à 10.000 euros, un large panel sera proposé aux amateurs.
Les grandes complications des grandes manufactures
La manufacture Patek Phillipe sera représentée avec deux productions rares : une Ellipse (à anses) avec son fameux cadran en or bleu soleillé (lot 7) et une Traveltime en or rose avec une lunette « Clou de Paris » (lot 83), parfaite compagne du gentleman globetrotter.
Egalement, une Blancpain Villeret, en or jaune qui est dotée quant à elle, d’un mouvement automatique à quantième perpétuel (lot 77). Ces montres sont estimées entre 6500 et 12.500 euros.
Breitling et Heuer, le duo incontournable des montres de sport
Parfois sœurs, parfois meilleures ennemies, ces deux maisons suisses ont connu leurs apogées dans les années 1970-1980, avec des boîtiers de formes et des associations avec l’aviation ou l’automobile.
Les Datora (lot 32) et Pilote Sprint à cadran bleu (lot 37) de chez Breitling affronteront sur la ligne de départ les Autavia Panda (lot 37) et Carrera Chronomatic 15 (lot 15), dans une bataille d’enchères entre 2.500 et 4.500 euros.
Hôtel des ventes - Le Havre Enchères
77 rue Louis Brindeau
Commissaires-Priseurs Habilités
Me Maxence MAZZONI et Me Vincent NEYT
contact@lehavreencheres.com - 02 35 22 54 52