La marque horlogère indépendante Louis Erard, spécialisée dans les régulateurs, poursuit ses collab’s. Ainsi, après ses montres cosignées par Alain Silberstein ou Vianney Halter (deux gros succès commerciaux), l’horloger présente cette fois-ci un modèle imaginé avec Cédric Johner.
Cédric Johner ? L’homme reste inconnu du grand public mais pas des amateurs qui connaissent son travail en horlogerie et joaillerie.
Il a entamé son parcours en 1982 à l'âge de 15 ans, alors qu'il amorçait sa formation de joaillier au sein d'une prestigieuse maison genevoise, Chopard pour ne pas la nommer. Ce fut le point de départ d'un voyage empreint d'émerveillement, marqué par l'observation attentive des formes, l'équilibre subtil et la cohérence des produits, ainsi que la découverte d'une créativité infinie.
Par la suite, il a enrichi son parcours professionnel en suivant une formation dans le domaine de l'horlogerie. Cette expérience lui a apporté la maîtrise technique, la précision, la rigueur et la patience nécessaires pour créer des pièces d'une qualité exceptionnelle.
Cédric Johner ? L’homme reste inconnu du grand public mais pas des amateurs qui connaissent son travail en horlogerie et joaillerie.
Il a entamé son parcours en 1982 à l'âge de 15 ans, alors qu'il amorçait sa formation de joaillier au sein d'une prestigieuse maison genevoise, Chopard pour ne pas la nommer. Ce fut le point de départ d'un voyage empreint d'émerveillement, marqué par l'observation attentive des formes, l'équilibre subtil et la cohérence des produits, ainsi que la découverte d'une créativité infinie.
Par la suite, il a enrichi son parcours professionnel en suivant une formation dans le domaine de l'horlogerie. Cette expérience lui a apporté la maîtrise technique, la précision, la rigueur et la patience nécessaires pour créer des pièces d'une qualité exceptionnelle.
Il a également exploré le domaine du développement, des prototypes et des pièces uniques, tout en s'enrichissant sur le plan personnel. Il a lancé de nombreux modèles qui, aujourd'hui encore, font battre le cœur des fins connaisseurs horlogers.
A présent, Cédric Johner pratique son savoir-faire artisanal au quotidien dans son atelier à Genève avec un outillage entièrement artisanal. Chaque pièce qu’il réalise passe entre ces mains pour être soigneusement dessinée, fabriquée, sculptée et décorée.
Cédric Johner -il le dit lui-même- pratique une « horlogerie intuitive ». C’est-à-dire qu’il fait ses montres sans plans. Il réalise un premier composant, puis le suivant, qui viendra s’y ajuster. Et ainsi de suite, jusqu’à la montre terminée, décorée.
Montre après montre, une à la fois, à la commande, juste quelques unités par année dont des pièces uniques. Il part souvent de mouvements existants. Il aime les mécaniques vintage. Il les sélectionne, pour l’équilibre de leur architecture, pour leur état.
A présent, Cédric Johner pratique son savoir-faire artisanal au quotidien dans son atelier à Genève avec un outillage entièrement artisanal. Chaque pièce qu’il réalise passe entre ces mains pour être soigneusement dessinée, fabriquée, sculptée et décorée.
Cédric Johner -il le dit lui-même- pratique une « horlogerie intuitive ». C’est-à-dire qu’il fait ses montres sans plans. Il réalise un premier composant, puis le suivant, qui viendra s’y ajuster. Et ainsi de suite, jusqu’à la montre terminée, décorée.
Montre après montre, une à la fois, à la commande, juste quelques unités par année dont des pièces uniques. Il part souvent de mouvements existants. Il aime les mécaniques vintage. Il les sélectionne, pour l’équilibre de leur architecture, pour leur état.
Puis il les démonte, les restaure, les décors, les réassemble. Il passe ensuite à l’habillage, qu’il réalise dans son atelier, à la main, en partant de métal brut ou à peine mis en forme, qu’il usine sur des machines conventionnelles. Sans plans, sans assistance informatique.
Il travaille seul. Et seulement avec ses deux mains, il peut tout faire. Comment fait-il ? C’est toute l’histoire de Cédric Johner. Un artisan à part, qui a connu toutes les mutations du secteur et a pratiqué tous les métiers.
Un jour des années 1990, il franchit le pas et réalisa une première montre, pour lui. Il dessinera une boite, qu’il nommera Abyss. Un design unique, né de la main, de la lime, pas de la tête. L’une de ses particularités est une ouverture de cadran hexagonale.
Sur cette base, il se livrera à toutes les variations, trois aiguilles, grandes complications. Il développera ses propres décorations, comme sa tapisserie de grains réalisés au perloir, un pur outil de joaillier.
Il lui manquait une chose : réaliser une pièce moins exclusive, qui ne soit pas réservée aux collectionneurs, mais sans faire de concession tout en conservant toutes les signatures de son art.
Il travaille seul. Et seulement avec ses deux mains, il peut tout faire. Comment fait-il ? C’est toute l’histoire de Cédric Johner. Un artisan à part, qui a connu toutes les mutations du secteur et a pratiqué tous les métiers.
Un jour des années 1990, il franchit le pas et réalisa une première montre, pour lui. Il dessinera une boite, qu’il nommera Abyss. Un design unique, né de la main, de la lime, pas de la tête. L’une de ses particularités est une ouverture de cadran hexagonale.
Sur cette base, il se livrera à toutes les variations, trois aiguilles, grandes complications. Il développera ses propres décorations, comme sa tapisserie de grains réalisés au perloir, un pur outil de joaillier.
Il lui manquait une chose : réaliser une pièce moins exclusive, qui ne soit pas réservée aux collectionneurs, mais sans faire de concession tout en conservant toutes les signatures de son art.
C’est là que Manuel Emch, directeur artistique et PDG de Louis Erard frappe à sa porte. Ils se connaissent, partagent les mêmes valeurs. Ils veulent travailler ensemble. Leur poignée de main est comme un pont jeté entre deux mondes, entre la montre d’artiste et la belle horlogerie accessible.
Le partenariat est lancé. Le pitch tient en quelques mots : réaliser une création de petite série aussi raffinée qu’une pièce unique, sans faire de concession.
Le résultat le voilà. Le Régulateur Louis Erard X Cédric Johner, deux variations de 39 mm en acier (étanche à 50 mètres), l’une avec cadran bleu, l’autre en mauve, limitée à deux fois 178 exemplaires. Toutes les signatures sont présentes. Celle de Louis Erard, le boitier Excellence, la couronne sapin, le calibre régulateur.
Et toutes les signatures de Cédric Johner. La sophistication extrême du cadran, avec son décor gravé comme un guillochage, ses compteurs d’heure et de minute tournés et concaves, pour rajouter des contrastes et du volume.
L’ouverture de la lunette, hexagonale, si reconnaissable. Sans oublier la touche artisanale : la masse du mouvement automatique décorée de la main de Cédric Johner, 230 petits grains sortis au perloir, masse après masse, dans son atelier.
Cette montre accessible mais d’exception, embarque un calibre calibre Sellita SW266-1 d’une réserve de marche standard de 38h. Elle se porte sur un bracelet en veau grainé gris avec coutures ton sur ton, doublure en cuir de veau grainé noir, boucle ardillon en acier poli, barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.
A découvrir à Paris chez Chronopassion
Le partenariat est lancé. Le pitch tient en quelques mots : réaliser une création de petite série aussi raffinée qu’une pièce unique, sans faire de concession.
Le résultat le voilà. Le Régulateur Louis Erard X Cédric Johner, deux variations de 39 mm en acier (étanche à 50 mètres), l’une avec cadran bleu, l’autre en mauve, limitée à deux fois 178 exemplaires. Toutes les signatures sont présentes. Celle de Louis Erard, le boitier Excellence, la couronne sapin, le calibre régulateur.
Et toutes les signatures de Cédric Johner. La sophistication extrême du cadran, avec son décor gravé comme un guillochage, ses compteurs d’heure et de minute tournés et concaves, pour rajouter des contrastes et du volume.
L’ouverture de la lunette, hexagonale, si reconnaissable. Sans oublier la touche artisanale : la masse du mouvement automatique décorée de la main de Cédric Johner, 230 petits grains sortis au perloir, masse après masse, dans son atelier.
Cette montre accessible mais d’exception, embarque un calibre calibre Sellita SW266-1 d’une réserve de marche standard de 38h. Elle se porte sur un bracelet en veau grainé gris avec coutures ton sur ton, doublure en cuir de veau grainé noir, boucle ardillon en acier poli, barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.
A découvrir à Paris chez Chronopassion