Le White Buck est un soulier un peu tombé en désuétude… En France, même l’été venu, on le voit peu sur le bitume parisien, ni même dans nos lieux de villégiatures. Le fait est qu’un derby en été n’est pas aussi pratique qu’un mocassin. Soit !
Pourtant ce derby très estival et très sport-chic fut très populaire auprès des étudiants dans les années 50 sur la côte Est des Etats-Unis. Dans les campus de l’Ivy League.
Encore une fois, la légende veut que ce modèle fût popularisé à l’origine dans les années 20 par le duc de Windsor qui, lors d’un voyage sur la côte-est des Etats-Unis, portait des Bucks lors des rencontres de polo.
Plus tard, dans les années 50-60, le Buck sera connu du grand public -et plus particulièrement de la jeunesse- grâce au chanteur Pat Boone qui, pendant des années ne porta que ces derbys !
Pourtant ce derby très estival et très sport-chic fut très populaire auprès des étudiants dans les années 50 sur la côte Est des Etats-Unis. Dans les campus de l’Ivy League.
Encore une fois, la légende veut que ce modèle fût popularisé à l’origine dans les années 20 par le duc de Windsor qui, lors d’un voyage sur la côte-est des Etats-Unis, portait des Bucks lors des rencontres de polo.
Plus tard, dans les années 50-60, le Buck sera connu du grand public -et plus particulièrement de la jeunesse- grâce au chanteur Pat Boone qui, pendant des années ne porta que ces derbys !
Cette chaussure (sorte de cousine de la saddle-shoe) tire son nom de Buck car elle était la plupart du temps, fabriquée à partir de buckskin, du daim…
Si le grand classique était proposé en blanc -ou blanc cassé- il existe aussi des modèles en marron très clair et bleu marine (d’où d’ailleurs, la chanson d’Elvis Presley, Blue suede shoes » !).
L’autre caractéristique de ce modèle, c’est bien évidemment sa semelle en gomme rouge brique qui le rend ultraléger à porter au quotidien.
On le voit apparaitre dans cette configuration dès les années 1940 dans une réclame de la marque Regal aux USA sous la forme d’un derby quatre œillets en daim blanc avec d’épaisses semelles en gomme rouge. C’est donc sous ce format qu’il reste encore aujourd’hui, le plus fidèle au modèle d’origine.
Le Buck revient aussi régulièrement dans les dessins et les illustrations de Laurence Fellows.
Si le grand classique était proposé en blanc -ou blanc cassé- il existe aussi des modèles en marron très clair et bleu marine (d’où d’ailleurs, la chanson d’Elvis Presley, Blue suede shoes » !).
L’autre caractéristique de ce modèle, c’est bien évidemment sa semelle en gomme rouge brique qui le rend ultraléger à porter au quotidien.
On le voit apparaitre dans cette configuration dès les années 1940 dans une réclame de la marque Regal aux USA sous la forme d’un derby quatre œillets en daim blanc avec d’épaisses semelles en gomme rouge. C’est donc sous ce format qu’il reste encore aujourd’hui, le plus fidèle au modèle d’origine.
Le Buck revient aussi régulièrement dans les dessins et les illustrations de Laurence Fellows.
Compte-tenu de sa couleur claire et donc, de sa propension à se tâcher, le Buck était réservé principalement aux journées tranquilles entre amis ou en famille ! Ce qui en fait « la » chaussure « casual » et « leisure » par excellence.
Globalement, le Buck s’associe peu ou prou aux mêmes vêtements que les Docksides, si ce n’est le maillot de bain, bien évidemment ! Ce derby est parfait avec un bermuda, un denim ou un chino. Avec une chemise en lin, un polo ou un t-shirt.
Pour une soirée un peu plus habillée, on peut même le porter avec un bermuda blanc, un polo ou une chemise en popeline blanche et un joli blazer en lin bleu marine. Les plus aventuriers le porteront quant à eux, avec un costume en laine fresco gris clair !
En France, le Buck le plus authentique reste incontestablement celui de Fairmont (compter 195 euros) que l’on trouve en blanc, en camel, en marron clair ou en bleu marine.
Sachez que d’aucuns aiment porter leurs Bucks un peu défraichis (ce que l’on appelle les « dirty Bucks ») par les ans et les aléas de la vie et de la météo… A chacun son style !
Jean-Philippe Tarot
Globalement, le Buck s’associe peu ou prou aux mêmes vêtements que les Docksides, si ce n’est le maillot de bain, bien évidemment ! Ce derby est parfait avec un bermuda, un denim ou un chino. Avec une chemise en lin, un polo ou un t-shirt.
Pour une soirée un peu plus habillée, on peut même le porter avec un bermuda blanc, un polo ou une chemise en popeline blanche et un joli blazer en lin bleu marine. Les plus aventuriers le porteront quant à eux, avec un costume en laine fresco gris clair !
En France, le Buck le plus authentique reste incontestablement celui de Fairmont (compter 195 euros) que l’on trouve en blanc, en camel, en marron clair ou en bleu marine.
Sachez que d’aucuns aiment porter leurs Bucks un peu défraichis (ce que l’on appelle les « dirty Bucks ») par les ans et les aléas de la vie et de la météo… A chacun son style !
Jean-Philippe Tarot