Voici un beau petit livre entièrement dédié au temps (dont une édition en collaboration avec March LA.B.). Pas aux montres, non, mais au temps. Et plus précisément, au temps dans la littérature internationale de Proust à Modiano en passant par Baudelaire, Ronsard, Buzzati, Desnos, Orwell, Perec et bien d’autres.
Souvenirs du passé, variations sur le présent, projections vers l'avenir : la littérature est une histoire de temps. Dramaturges, poètes et romanciers ont souvent fait des jours qui filent leur préoccupation première. Certains le nient, d'autres tentent de l'apprivoiser.
Les auteurs de science-fiction, eux, sautent le pas, pour envisager un futur apocalyptique ou au contraire flamboyant. Des philosophes de la Grèce antique aux scientifiques d'aujourd'hui, à l'ombre des horloges, montres et autres clepsydres, voyage dans le temps, perdu, fuyant ou retrouvé, en compagnie de tous ces grands auteurs.
La sélection de ces textes a été effectué par Brigit Bontour, chroniqueuse littéraire qui indiquant récemment à l’Express que ce sujet l’inspirait car, « sans doute parce que cette notion soulève des questions vertigineuses comme l’apparition de la vie, notre rapport à la mort ou la fin du monde ».
Et de poursuivre : « alors qu’un être humain ne vit que quelques décennies, le Big Bang date de quinze milliards d’années ; les hominidés d’environ trois millions d’années, les premières sépultures voilà à peu près cent mille ans. Cette disproportion nous interroge nécessairement ».
Souvenirs du passé, variations sur le présent, projections vers l'avenir : la littérature est une histoire de temps. Dramaturges, poètes et romanciers ont souvent fait des jours qui filent leur préoccupation première. Certains le nient, d'autres tentent de l'apprivoiser.
Les auteurs de science-fiction, eux, sautent le pas, pour envisager un futur apocalyptique ou au contraire flamboyant. Des philosophes de la Grèce antique aux scientifiques d'aujourd'hui, à l'ombre des horloges, montres et autres clepsydres, voyage dans le temps, perdu, fuyant ou retrouvé, en compagnie de tous ces grands auteurs.
La sélection de ces textes a été effectué par Brigit Bontour, chroniqueuse littéraire qui indiquant récemment à l’Express que ce sujet l’inspirait car, « sans doute parce que cette notion soulève des questions vertigineuses comme l’apparition de la vie, notre rapport à la mort ou la fin du monde ».
Et de poursuivre : « alors qu’un être humain ne vit que quelques décennies, le Big Bang date de quinze milliards d’années ; les hominidés d’environ trois millions d’années, les premières sépultures voilà à peu près cent mille ans. Cette disproportion nous interroge nécessairement ».