On le sait, les montres dites « historiques » sont fondamentales dans l’histoire des marques horlogères puisqu’elles assoient et renforcent leur légitimité dans le monde d’aujourd’hui. D’où l’importance de leurs musées.
Qu’il s’agisse de Patek Philippe, d’Audemars Piguet, d’Omega, de Longines ou en l’occurrence, de Seiko, dévoiler au grand public leurs pièces anciennes et historiques valorisent bien évidemment leurs garde-temps contemporains.
Dans cet esprit, le musée Seiko de Tokyo (qui se trouve en plein cœur de Ginza) vient d’acquérir, une montre Seiko en or de forme tonneau ou coussin datant de 1969. Il s’agit de l’un des 73 modèles qui furent produits cette année-là, dont le calibre avait réussi à passer avec succès les 45 jours de tests de l’Observatoire de Neuchâtel.
Lire aussi Tokyo : Seiko Dream Square, le nouveau flagship Seiko en plein coeur de Ginza
Qu’il s’agisse de Patek Philippe, d’Audemars Piguet, d’Omega, de Longines ou en l’occurrence, de Seiko, dévoiler au grand public leurs pièces anciennes et historiques valorisent bien évidemment leurs garde-temps contemporains.
Dans cet esprit, le musée Seiko de Tokyo (qui se trouve en plein cœur de Ginza) vient d’acquérir, une montre Seiko en or de forme tonneau ou coussin datant de 1969. Il s’agit de l’un des 73 modèles qui furent produits cette année-là, dont le calibre avait réussi à passer avec succès les 45 jours de tests de l’Observatoire de Neuchâtel.
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Pour la petite histoire, cette Seiko fut achetée par un horloger suisse, Hans Kocher, qui fut l’un des concepteurs du fameux calibre 11 qui équipa les Buren, les Heuer ou les Breitling et qui fut lancé en 1969, soit la même année le calibre chronographe Seiko 6139.
Cette montre est restée dans la famille Kocher même après la mort de Hans Kocher en 1999. Ses descendants contactèrent la manufacture japonaise en 2021 pour offrir cette montre au musée Seiko de Tokyo. Le directeur du musée, Noboru Miyadera a effectué lui-même le déplacement du Japon pour récupérer cette montre dans un village près de Bâle.
Après 53 ans et quelques tours de couronne, le calibre a immédiatement redémarré. Un chronomètre et un pont entre la Suisse et le Japon, les deux pays les plus réputés en matière de précision horlogère…
Cette montre est restée dans la famille Kocher même après la mort de Hans Kocher en 1999. Ses descendants contactèrent la manufacture japonaise en 2021 pour offrir cette montre au musée Seiko de Tokyo. Le directeur du musée, Noboru Miyadera a effectué lui-même le déplacement du Japon pour récupérer cette montre dans un village près de Bâle.
Après 53 ans et quelques tours de couronne, le calibre a immédiatement redémarré. Un chronomètre et un pont entre la Suisse et le Japon, les deux pays les plus réputés en matière de précision horlogère…