L’isochronisme est la clef de voûte de tout système de mesure du temps basé sur des oscillations. Plus l’oscillation est régulière, plus il est aisé de régler un mouvement pour obtenir une précision optimale.
Lorsqu’un organe régulateur oscille de manière parfaitement régulière, on le qualifie d’isochrone. L’isochronisme est perturbé par différents facteurs, dont les principaux sont :
• le développement (contraction et expansion) asymétrique du spiral
• les variations d’élasticité et de longueur des spiraux en fonction de la température
• les champs magnétiques
• les fixations du spiral
• la force centrifuge et la gravité
• les défauts d’équilibre du balancier
• le jeu entre les goupilles de raquette.
Depuis l’invention du ressort de balancier enroulé en spirale, les horlogers ont toujours rivalisé d’ingéniosité pour parvenir à réduire ou supprimer son anisochronisme.
Ces progrès ont été marqués par quatre avancées capitales :
• 1675 – Invention du spiral par Christiaan Huygens: oscillateur théoriquement isochrone
• 1795 – Invention du spiral Breguet avec courbe terminale Phillips: développement concentrique du spiral
• 1897 – Invention de l’alliage invar par Charles-Edouard Guillaume : spiraux fabriqués dans un matériau compensant les effets de la température
• 2005 – Invention du spiral Spiromax® par Patek Philippe : compensation des effets de la température et développement concentrique avec un spiral plat.
Lorsqu’un organe régulateur oscille de manière parfaitement régulière, on le qualifie d’isochrone. L’isochronisme est perturbé par différents facteurs, dont les principaux sont :
• le développement (contraction et expansion) asymétrique du spiral
• les variations d’élasticité et de longueur des spiraux en fonction de la température
• les champs magnétiques
• les fixations du spiral
• la force centrifuge et la gravité
• les défauts d’équilibre du balancier
• le jeu entre les goupilles de raquette.
Depuis l’invention du ressort de balancier enroulé en spirale, les horlogers ont toujours rivalisé d’ingéniosité pour parvenir à réduire ou supprimer son anisochronisme.
Ces progrès ont été marqués par quatre avancées capitales :
• 1675 – Invention du spiral par Christiaan Huygens: oscillateur théoriquement isochrone
• 1795 – Invention du spiral Breguet avec courbe terminale Phillips: développement concentrique du spiral
• 1897 – Invention de l’alliage invar par Charles-Edouard Guillaume : spiraux fabriqués dans un matériau compensant les effets de la température
• 2005 – Invention du spiral Spiromax® par Patek Philippe : compensation des effets de la température et développement concentrique avec un spiral plat.
Un nouveau pas décisif : le spiral Spiromax de Patek Philippe
Le Spiromax est un tout nouveau spiral fabriqué en Silinvar. Toutefois, ce matériau ne permet pas à lui seul d’éviter le phénomène de développement asymétrique du spiral. Pour obtenir des oscillations concentriques, le département de recherche Patek Philippe a donc conçu une forme totalement inédite au niveau de la courbe terminale.
Cette géométrie exclusive se caractérise par sa « courbe Patek Philippe » brevetée, un renflement marqué sur la partie terminale, qui oblige le spiral Spiromax à se développer de manière concentrique (avec des expansions et des contractions symétriques par rapport au centre).
La « courbe terminale Patek Philippe » se trouvant exactement dans le plan d’oscillation du spiral, l’épaisseur totale du Spiromax est trois fois moins importante que celle d’un spiral avec courbe terminale relevée, ce qui permet la construction de mouvements extra-plats.
Le spiral Spiromax se distingue par deux autres particularités au niveau de la construction : il présente en son centre une fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse », et il est doté à son extrémité d’une fixation au piton également intégrée. Ces deux éléments permettent de définir parfaitement la longueur active du spiral.
Avec ce spiral révolutionnaire, Patek Philippe a créé un organe oscillant présentant plusieurs avantages décisifs. La longueur active du Spiromax ne doit pas être patiemment ajustée pour chaque mouvement. Il oscille de manière parfaitement concentrique sans recours à une courbe finale relevée. Il est donc conçu pour osciller de manière isochrone quelle que soit la température, la position du mouvement ou les champs magnétiques.
La courbe terminale Patek Philippe, la fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse » ainsi que la fixation au piton intégrée sont des développements propriété de Patek Philippe qui ont fait l’objet d’une demande de brevet.
Tout comme la roue d’ancre en silicium, le spiral Spiromax est fabriqué par procédé lithographique de gravure profonde DRIE (Deep Reactive Ion Etching). Le matériau possède une structure monocristalline parfaitement homogène et l’usinage s’effectue avec une tolérance du domaine du micromètre. Tous les spiraux Spiromax présentent donc exactement le même niveau de qualité ; une régularité qui se reflète dans la marche des mouvements qui en sont équipés.
Cette géométrie exclusive se caractérise par sa « courbe Patek Philippe » brevetée, un renflement marqué sur la partie terminale, qui oblige le spiral Spiromax à se développer de manière concentrique (avec des expansions et des contractions symétriques par rapport au centre).
La « courbe terminale Patek Philippe » se trouvant exactement dans le plan d’oscillation du spiral, l’épaisseur totale du Spiromax est trois fois moins importante que celle d’un spiral avec courbe terminale relevée, ce qui permet la construction de mouvements extra-plats.
Le spiral Spiromax se distingue par deux autres particularités au niveau de la construction : il présente en son centre une fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse », et il est doté à son extrémité d’une fixation au piton également intégrée. Ces deux éléments permettent de définir parfaitement la longueur active du spiral.
Avec ce spiral révolutionnaire, Patek Philippe a créé un organe oscillant présentant plusieurs avantages décisifs. La longueur active du Spiromax ne doit pas être patiemment ajustée pour chaque mouvement. Il oscille de manière parfaitement concentrique sans recours à une courbe finale relevée. Il est donc conçu pour osciller de manière isochrone quelle que soit la température, la position du mouvement ou les champs magnétiques.
La courbe terminale Patek Philippe, la fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse » ainsi que la fixation au piton intégrée sont des développements propriété de Patek Philippe qui ont fait l’objet d’une demande de brevet.
Tout comme la roue d’ancre en silicium, le spiral Spiromax est fabriqué par procédé lithographique de gravure profonde DRIE (Deep Reactive Ion Etching). Le matériau possède une structure monocristalline parfaitement homogène et l’usinage s’effectue avec une tolérance du domaine du micromètre. Tous les spiraux Spiromax présentent donc exactement le même niveau de qualité ; une régularité qui se reflète dans la marche des mouvements qui en sont équipés.
Spiral Spiromax Patek Philippe : l’essentiel en bref
• Fabriqué à base de silicium monocristallin par procédé de gravure profonde (DRIE)
• Développement concentrique grâce à une géométrie brevetée (« courbe Patek Philippe ») qui améliore l’isochronisme en conservant un faible encombrement
• Amagnétique
• Matériau compensant les écarts de température
• Fixation au piton intégrée (brevet Patek Philippe)
• Fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse » (brevet Patek Philippe)
• Absence de perturbations aux points d’attache, contrairement aux spiraux classiques
• Structure du matériau plus homogène que celle des alliages invar
• Frictions internes plus faibles et plus grande élasticité que les alliages invar
• Insensible aux petits chocs
• Sensibilité réduite à la force centrifuge et à la gravité grâce au fait que le Spiromax® est trois fois plus léger qu’un spiral classique
• Pas d’influence sur la marche en cas de petits chocs répétitifs lors d’une utilisation normale de la montre
• Conforme aux normes NIHS sur les chocs accidentels standardisés
• Conforme aux exigences du Poinçon de Genève
• Développement concentrique grâce à une géométrie brevetée (« courbe Patek Philippe ») qui améliore l’isochronisme en conservant un faible encombrement
• Amagnétique
• Matériau compensant les écarts de température
• Fixation au piton intégrée (brevet Patek Philippe)
• Fixation à l’axe du balancier intégrée et « autocentreuse » (brevet Patek Philippe)
• Absence de perturbations aux points d’attache, contrairement aux spiraux classiques
• Structure du matériau plus homogène que celle des alliages invar
• Frictions internes plus faibles et plus grande élasticité que les alliages invar
• Insensible aux petits chocs
• Sensibilité réduite à la force centrifuge et à la gravité grâce au fait que le Spiromax® est trois fois plus léger qu’un spiral classique
• Pas d’influence sur la marche en cas de petits chocs répétitifs lors d’une utilisation normale de la montre
• Conforme aux normes NIHS sur les chocs accidentels standardisés
• Conforme aux exigences du Poinçon de Genève
Patek Philippe présente la première montre avec spiral Spiromax : le Quantième Annuel Réf. 5350 en édition spéciale limitée Patek Philippe Advanced Research
Cette montre-bracelet est équipée du Calibre automatique Patek Philippe 324 S IRM QA LU, doté pour la première fois d’un spiral Spiromax®. Autre exclusivité: elle possède une roue d’ancre en silicium.
Pour mettre en valeur ces innovations techniques, le « coq » (pont de balancier) a été redessiné afin de libérer la vue sur le spiral Spiromax® et le pont de rouage finissage a été ajouré pour permettre d’admirer la roue d’échappement, avec sa belle couleur anthracite aux reflets bleu-violet.
Le fond saphir transparent est doté d’une loupe intégrée et il s’orne d’une inscription « Patek Philippe Advanced Research ». Le mouvement possède une masse oscillante (rotor) en or 21 carats équipée d’un roulement à billes avec billes en zirconium qui, comme la roue d’ancre en silicium, ne nécessite aucune lubrification.
Cette édition spéciale du Quantième Annuel Réf. 5350 «Patek Philippe Advanced Research» est limitée à 300 exemplaires.
Pour mettre en valeur ces innovations techniques, le « coq » (pont de balancier) a été redessiné afin de libérer la vue sur le spiral Spiromax® et le pont de rouage finissage a été ajouré pour permettre d’admirer la roue d’échappement, avec sa belle couleur anthracite aux reflets bleu-violet.
Le fond saphir transparent est doté d’une loupe intégrée et il s’orne d’une inscription « Patek Philippe Advanced Research ». Le mouvement possède une masse oscillante (rotor) en or 21 carats équipée d’un roulement à billes avec billes en zirconium qui, comme la roue d’ancre en silicium, ne nécessite aucune lubrification.
Cette édition spéciale du Quantième Annuel Réf. 5350 «Patek Philippe Advanced Research» est limitée à 300 exemplaires.
Spécificités techniques de la Patek Philippe Réf. 5350 en or rose
Mouvement :
Calibre 324 S IRM QA LU
Mouvement mécanique à remontage automatique, quantième annuel, phases de lune et indication de la réserve de marche
Diamètre : 32,00 mm
Hauteur : 5,30 mm
Nombre de composants : 355
Nombre de rubis : 36
Réserve de marche : Max. 45 heures
Masse oscillante : Rotor central unidirectionnel en or 21 carats
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax® (3 brevets Patek Philippe)
Roue d’ancre : En silicium
Dispositif de mise à l’heure :
Couronne à deux positions:
- tirée : mise à l’heure
- poussée : remontage du mouvement
Affichage : Heures, minutes et secondes au centre
Réserve de marche à 12h
Cadrans auxiliaires :
- jour à 9h, mois à 3h
Guichets :
- date à 12h, phases de lune à 6h
Boutons correcteurs :
• A 10h : correction du jour
• A 2h : correction du mois
• A 4h : correction de la date et du mois
• A 8h : correction de la lune
Livrée avec un crayon correcteur en ébène et or rose 18 carats
Signes distinctifs : Poinçon de Genève
Coq et pont de rouage finissage ajourés
Habillage
Boîtier : Or rose 18 carats, couronne vissée étanche
Etanche à 25 mètres
Particularités : Fond vissé en verre saphir avec loupe intégrée et inscription « Patek
Philippe Advanced Research »
Dimensions du boîtier :
Diamètre : 39 mm
Epaisseur : 11,70 mm
Entre-cornes : 20 mm
Cadran :
Gris argenté
Trois chiffres Breguet applique en or rose 18 carats à 3, 9 et 12h
Huit index de type « bâton » applique en or rose 18 carats
Aiguilles de type « feuille » en or rose 18 carats avec revêtement luminescent pour les heures et les minutes
Aiguilles de type « feuille » en or rose 18 carats pour le jour, le mois et la réserve de marche
Aiguille des secondes « équilibrée » en or rose 18 carats
Minuterie « chemin de fer » imprimée sur le pourtour du cadran
Douze points luminescents pour les heures
Bracelet : Alligator grandes écailles cousu main brun foncé mat, avec boucle déployante en or rose 18 carats
Calibre 324 S IRM QA LU
Mouvement mécanique à remontage automatique, quantième annuel, phases de lune et indication de la réserve de marche
Diamètre : 32,00 mm
Hauteur : 5,30 mm
Nombre de composants : 355
Nombre de rubis : 36
Réserve de marche : Max. 45 heures
Masse oscillante : Rotor central unidirectionnel en or 21 carats
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax® (3 brevets Patek Philippe)
Roue d’ancre : En silicium
Dispositif de mise à l’heure :
Couronne à deux positions:
- tirée : mise à l’heure
- poussée : remontage du mouvement
Affichage : Heures, minutes et secondes au centre
Réserve de marche à 12h
Cadrans auxiliaires :
- jour à 9h, mois à 3h
Guichets :
- date à 12h, phases de lune à 6h
Boutons correcteurs :
• A 10h : correction du jour
• A 2h : correction du mois
• A 4h : correction de la date et du mois
• A 8h : correction de la lune
Livrée avec un crayon correcteur en ébène et or rose 18 carats
Signes distinctifs : Poinçon de Genève
Coq et pont de rouage finissage ajourés
Habillage
Boîtier : Or rose 18 carats, couronne vissée étanche
Etanche à 25 mètres
Particularités : Fond vissé en verre saphir avec loupe intégrée et inscription « Patek
Philippe Advanced Research »
Dimensions du boîtier :
Diamètre : 39 mm
Epaisseur : 11,70 mm
Entre-cornes : 20 mm
Cadran :
Gris argenté
Trois chiffres Breguet applique en or rose 18 carats à 3, 9 et 12h
Huit index de type « bâton » applique en or rose 18 carats
Aiguilles de type « feuille » en or rose 18 carats avec revêtement luminescent pour les heures et les minutes
Aiguilles de type « feuille » en or rose 18 carats pour le jour, le mois et la réserve de marche
Aiguille des secondes « équilibrée » en or rose 18 carats
Minuterie « chemin de fer » imprimée sur le pourtour du cadran
Douze points luminescents pour les heures
Bracelet : Alligator grandes écailles cousu main brun foncé mat, avec boucle déployante en or rose 18 carats