Entre les montres et le cinéma, c’est une longue histoire. Une histoire qui remonte à 1926 avec la première apparition d’un garde-temps au poignet d’un acteur. C’était dans le Fils du Cheik, un film muet avec Rudolph Valentino qui refusa de retirer sa montre alors même que l’histoire se déroulait à une époque où les montres n’existaient pas !
Depuis, de nombreuses montres, surtout des Rolex et des Hamilton sont apparues dans de nombreux long-métrages : aux USA, mais en France, en Europe et bien évidemment en Asie.
D’où la création, il y a 11 ans cette année, de notre rubrique « Un jour, une montre, un film » qui recense près de 1.400 films (probablement la plus grosse base de données au monde) en indiquant à chaque fois, quel modèle est porté par tel acteur dans tel film ou série télévisée. Deux nouveaux articles sont présentés chaque semaine.
Ceci étant, et après cette petite « auto-promo », voici donc un nouvel ouvrage qui traite d’un sujet similaire. Il a été rédigé par Frédéric Liévain, déjà auteur d’un livre sur les montres et James Bond. Comme le souligne l’auteur : « les montres au cinéma incarnent bien plus qu’un accessoire, même iconique. Si elles permettent de rehausser un costume, elles sont surtout symboliques, soulignent un statut où se font passeuses d’histoire. Maitresses du temps, elles sont souvent d’une importance cruciale pour le héros ».
De fait, certains rôles sont indissociables de leurs montres : impossible d’imaginer James Bond sans ses mythiques Rolex Submariner ou son Omega Seamaster au poignet, Steve McQueen sans sa Tag Heuer (montre qu’il détestait mais qu'il porta pour les besoins du film ; il ne jurait que par sa Rolex) ou Ryan Gosling dans Drive sans sa Calatrava.
Parfois, les montres deviennent même des actrices à part entière, telles « the Gold Watch » dans la scène culte de Pulp Fiction (cachée dans l’anus de l’acteur), l’IWC portée par Sophie Marceau dans Anthony Zimmer (de l’art du placement de produit bien fait) ou l’historique Omega, réellement portée sur la Lune par Neil Armstrong et qui apparaît dans First Man : le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle.
Et l’éditeur de conclure : « dans cet ouvrage, les montres sont le guide inattendu pour une visite de l’histoire du 7e art qui réserve bien des surprises. Discrètes ou cultissimes, ces montres sont l’objet d’une fascination qui dépasse les genres et les générations ».
Compter 35 euros pour 160 pages.
Depuis, de nombreuses montres, surtout des Rolex et des Hamilton sont apparues dans de nombreux long-métrages : aux USA, mais en France, en Europe et bien évidemment en Asie.
D’où la création, il y a 11 ans cette année, de notre rubrique « Un jour, une montre, un film » qui recense près de 1.400 films (probablement la plus grosse base de données au monde) en indiquant à chaque fois, quel modèle est porté par tel acteur dans tel film ou série télévisée. Deux nouveaux articles sont présentés chaque semaine.
Ceci étant, et après cette petite « auto-promo », voici donc un nouvel ouvrage qui traite d’un sujet similaire. Il a été rédigé par Frédéric Liévain, déjà auteur d’un livre sur les montres et James Bond. Comme le souligne l’auteur : « les montres au cinéma incarnent bien plus qu’un accessoire, même iconique. Si elles permettent de rehausser un costume, elles sont surtout symboliques, soulignent un statut où se font passeuses d’histoire. Maitresses du temps, elles sont souvent d’une importance cruciale pour le héros ».
De fait, certains rôles sont indissociables de leurs montres : impossible d’imaginer James Bond sans ses mythiques Rolex Submariner ou son Omega Seamaster au poignet, Steve McQueen sans sa Tag Heuer (montre qu’il détestait mais qu'il porta pour les besoins du film ; il ne jurait que par sa Rolex) ou Ryan Gosling dans Drive sans sa Calatrava.
Parfois, les montres deviennent même des actrices à part entière, telles « the Gold Watch » dans la scène culte de Pulp Fiction (cachée dans l’anus de l’acteur), l’IWC portée par Sophie Marceau dans Anthony Zimmer (de l’art du placement de produit bien fait) ou l’historique Omega, réellement portée sur la Lune par Neil Armstrong et qui apparaît dans First Man : le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle.
Et l’éditeur de conclure : « dans cet ouvrage, les montres sont le guide inattendu pour une visite de l’histoire du 7e art qui réserve bien des surprises. Discrètes ou cultissimes, ces montres sont l’objet d’une fascination qui dépasse les genres et les générations ».
Compter 35 euros pour 160 pages.