Une fois n’est pas coutume, notre premier coup de cœur bâlois, va à une marque largement diffusée : Hamilton !
Pour fêter ses 120 ans d’existence, la marque helvético-américaine filiale du Swatch Group, présentait une pièce en série limitée, aussi originale qu’historique, la Hamilton Khaki Navy Pionneer.
Cette grande montre (46,5mm de diamètre) est dotée du célèbre calibre à remontage manuel Unitas 6498 dans une version finement décorée et présente la particularité d’être une montre-bracelet mais aussi, la descendante des fameux chronomètres de marine.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, ces chronomètres furent les premiers à être produits selon des procédés modernes, industriels et utilisés sur les navires de l’US Navy ! En tout, 10.902 chronomètres de marine répondant aux critères de précision et de fiabilité les plus élevés furent fabriqués. 10.901 furent embarqués sur les navires et le 10.902ème fut offert à Franklin D. Roosevelt et exposé après la guerre dans sa bibliothèque de Hyde Park.
C’est mon ami Alexandre Gannac (ancien de Maurice Lacroix) et son équipe Product Management Hamilton qui ont eu l’idée de développer ce nouveau chronomètre de marine livré dans son superbe coffret en bois d’hévéa, pouvant trôner sur un bureau ou dans une bibliothèque ou être arboré au poignet ! Une vraie présence pour cette grande montre, encore accrue par le choix des aiguilles bleutées et le verre saphir antireflet qui donne une lecture optimale. Edité en 1.892 exemplaires pour rappeler la date de naissance de la marque. Je vous laisse juger sur pièce…
Pour fêter ses 120 ans d’existence, la marque helvético-américaine filiale du Swatch Group, présentait une pièce en série limitée, aussi originale qu’historique, la Hamilton Khaki Navy Pionneer.
Cette grande montre (46,5mm de diamètre) est dotée du célèbre calibre à remontage manuel Unitas 6498 dans une version finement décorée et présente la particularité d’être une montre-bracelet mais aussi, la descendante des fameux chronomètres de marine.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, ces chronomètres furent les premiers à être produits selon des procédés modernes, industriels et utilisés sur les navires de l’US Navy ! En tout, 10.902 chronomètres de marine répondant aux critères de précision et de fiabilité les plus élevés furent fabriqués. 10.901 furent embarqués sur les navires et le 10.902ème fut offert à Franklin D. Roosevelt et exposé après la guerre dans sa bibliothèque de Hyde Park.
C’est mon ami Alexandre Gannac (ancien de Maurice Lacroix) et son équipe Product Management Hamilton qui ont eu l’idée de développer ce nouveau chronomètre de marine livré dans son superbe coffret en bois d’hévéa, pouvant trôner sur un bureau ou dans une bibliothèque ou être arboré au poignet ! Une vraie présence pour cette grande montre, encore accrue par le choix des aiguilles bleutées et le verre saphir antireflet qui donne une lecture optimale. Edité en 1.892 exemplaires pour rappeler la date de naissance de la marque. Je vous laisse juger sur pièce…
Mon second coup de cœur va à la marque Paul Picot, née en 1976, au plus fort de la crise horlogère ; période où le « quartz » nippon a bien failli tuer l’horlogerie mécanique suisse !
La marque, fondée par un industriel italien, Mario Boiocchi aujourd’hui entouré de l’un de ses deux fils, Franco, vient de fêter ses trente-cinq ans. Les collections, intemporelles et modernes à la fois, allient la tradition horlogère suisse à l’art du design italien contemporain. La finition des garde-temps de cette maison artisanale est parfaitement « bluffante » et justifie pleinement leur nouveau slogan « l’Art d’être unique ».
Avec Paul Picot, nous ne sommes pas dans l’horlogerie de masse, mais dans la recherche de la qualité et du style qui a su évoluer tout en finesse au fil des ans. Des boîtiers sophistiqués et joliment travaillés, des montres ultra plates -dont on salue le retour après des années où la finesse des boîtiers n’était plus de mise- mécaniques manuelles ou automatiques au boîtier irréprochable, des complications attrayantes, ou encore des montres de plongée à forte personnalité devenues mythiques en Italie, l’amateur y trouvera son bonheur.
Le collectionneur fortuné pourra jeter son dévolu sur une des pièces hors du commun de la collection « Atelier » aux boîtiers artisanaux délicatement perlés et aux cadrans en argent massif finement guillochés. Parmi celles-ci, des éditions limitées aux cadrans en émail ou des grandes complications dignes des plus grands manufacturiers suisses comme des répétitions minutes, tourbillons ou des calendriers perpétuels...
Mon coup de cœur va à la série limitée Atelier au cadran en émail grand feu où apparaît un serpent menaçant ! Neuf pièces de différentes couleurs ont été produites et offertes au public à des prix très compétitifs. Voici, en photo, ma préférée.
Autre modèle mythique de la marque, le très moderne Technograph, dont une série limitée avait été réalisée en 2008 pour le club de football non moins mythique, j’ai nommé l’Inter de Milan ! Le Technograph est un chronographe automatique à l’affichage avant-gardiste, puisqu’il y a en fait deux cadrans superposés. Le client a le choix parmi une multitude de cadrans réalisés dans les matériaux les plus insolites (ardoise, python, lézard), et aux compteurs originaux arborant des couleurs vives ou sages. Chacun peut satisfaire ses goûts et sa personnalité.
Je n’oublierai pas non plus des montres Dame très séduisantes, petits chronographes automatiques et montres de plongée dessinées pour les femmes modernes ou encore des modèles « Atelier » tout simplement… Irrésistibles! Et plus on regarde la collection, plus on est séduit ! Croyez-moi, elles sont étonnantes ! Vous pouvez dès aujourd’hui les découvrir chez Fréret-Roy à Paris. Eh oui, déjà ! Elles sont arrivées il y a quelques jours.
La marque, fondée par un industriel italien, Mario Boiocchi aujourd’hui entouré de l’un de ses deux fils, Franco, vient de fêter ses trente-cinq ans. Les collections, intemporelles et modernes à la fois, allient la tradition horlogère suisse à l’art du design italien contemporain. La finition des garde-temps de cette maison artisanale est parfaitement « bluffante » et justifie pleinement leur nouveau slogan « l’Art d’être unique ».
Avec Paul Picot, nous ne sommes pas dans l’horlogerie de masse, mais dans la recherche de la qualité et du style qui a su évoluer tout en finesse au fil des ans. Des boîtiers sophistiqués et joliment travaillés, des montres ultra plates -dont on salue le retour après des années où la finesse des boîtiers n’était plus de mise- mécaniques manuelles ou automatiques au boîtier irréprochable, des complications attrayantes, ou encore des montres de plongée à forte personnalité devenues mythiques en Italie, l’amateur y trouvera son bonheur.
Le collectionneur fortuné pourra jeter son dévolu sur une des pièces hors du commun de la collection « Atelier » aux boîtiers artisanaux délicatement perlés et aux cadrans en argent massif finement guillochés. Parmi celles-ci, des éditions limitées aux cadrans en émail ou des grandes complications dignes des plus grands manufacturiers suisses comme des répétitions minutes, tourbillons ou des calendriers perpétuels...
Mon coup de cœur va à la série limitée Atelier au cadran en émail grand feu où apparaît un serpent menaçant ! Neuf pièces de différentes couleurs ont été produites et offertes au public à des prix très compétitifs. Voici, en photo, ma préférée.
Autre modèle mythique de la marque, le très moderne Technograph, dont une série limitée avait été réalisée en 2008 pour le club de football non moins mythique, j’ai nommé l’Inter de Milan ! Le Technograph est un chronographe automatique à l’affichage avant-gardiste, puisqu’il y a en fait deux cadrans superposés. Le client a le choix parmi une multitude de cadrans réalisés dans les matériaux les plus insolites (ardoise, python, lézard), et aux compteurs originaux arborant des couleurs vives ou sages. Chacun peut satisfaire ses goûts et sa personnalité.
Je n’oublierai pas non plus des montres Dame très séduisantes, petits chronographes automatiques et montres de plongée dessinées pour les femmes modernes ou encore des modèles « Atelier » tout simplement… Irrésistibles! Et plus on regarde la collection, plus on est séduit ! Croyez-moi, elles sont étonnantes ! Vous pouvez dès aujourd’hui les découvrir chez Fréret-Roy à Paris. Eh oui, déjà ! Elles sont arrivées il y a quelques jours.
Mon troisième est une « Révélation » ! C’est en fait le nom de la marque créée par le couple formé, à la ville comme au bureau, par Anouk Danthe et Olivier Leu qui ont décidé de lancer leur propre marque autour d’un concept breveté hors du commun, baptisé « Magical Watch Dial ».
Située au cœur du vignoble suisse à Lully, la marque Revelation doit donc son nom à un procédé breveté étonnant, qui –pour simplifier– permet de faire apparaitre ou disparaitre le mouvement à travers le cadran ! Deux modèles ont été développés depuis la création de la société fin 2007 : le « Tourbillon Manège » à mouvement manufacture maison et le mécanisme optique « Revelation System ».
La montre R03 Chronographe RS possède deux visages : son cadran transparent, devient noir lorsque l’on fait faire une rotation d’un quart de tour à la lunette crantée. Cet effet magique est rendu possible grâce à la superposition de deux disques polarisants dont les nanostructures font office de stores.
C’est ce traitement spécial qui permet de bloquer la lumière ou la laisser passer jusqu’au mouvement squelette permettant ainsi de révéler les ponts et la date. La rotation de la lunette s’effectue manuellement, à volonté, par le porteur qui décide du degré de transparence qu’il souhaite obtenir de son cadran pour voir l’intérieur de sa montre. Le boîtier en acier est d’une complexité inégalée : pas moins de 112 composants, ce qui en fait une complication à part entière. En images, c’est beaucoup plus facile à comprendre… Ou à visualiser !
Située au cœur du vignoble suisse à Lully, la marque Revelation doit donc son nom à un procédé breveté étonnant, qui –pour simplifier– permet de faire apparaitre ou disparaitre le mouvement à travers le cadran ! Deux modèles ont été développés depuis la création de la société fin 2007 : le « Tourbillon Manège » à mouvement manufacture maison et le mécanisme optique « Revelation System ».
La montre R03 Chronographe RS possède deux visages : son cadran transparent, devient noir lorsque l’on fait faire une rotation d’un quart de tour à la lunette crantée. Cet effet magique est rendu possible grâce à la superposition de deux disques polarisants dont les nanostructures font office de stores.
C’est ce traitement spécial qui permet de bloquer la lumière ou la laisser passer jusqu’au mouvement squelette permettant ainsi de révéler les ponts et la date. La rotation de la lunette s’effectue manuellement, à volonté, par le porteur qui décide du degré de transparence qu’il souhaite obtenir de son cadran pour voir l’intérieur de sa montre. Le boîtier en acier est d’une complexité inégalée : pas moins de 112 composants, ce qui en fait une complication à part entière. En images, c’est beaucoup plus facile à comprendre… Ou à visualiser !
Mon quatrième est une création originale rarissime qui nous vient d’Ukraine. Il s’agit de montres en bois de buis, de bois fossilisé ou d’ivoire de mammouth lui aussi fossilisé comme il en a existé dans les siècles passés.
Cette tradition vient de Russie, de la région de l'Oural. Au début du 19ème siècle, des horlogers étaient capables de prouesses du style de celles présentées ici, avec des montres à fusées... et des spiraux en poils de sanglier !
Un horloger ukrainien, Valerii Danevitsch, qui ne parle ni vraiment l’anglais, ni le français, présentait au sein de l’AHCI, Académie Horlogère des Créateurs Indépendants, (le nec plus ultra des horlogers concepteurs de mouvements) ses propres créations, dont des montres de poche ou bracelets, dotées de calibres en bois. L’une présentant un mécanisme à tourbillon !
Le prix est, bien sûr, stratosphérique ! Le style est original pour ne pas dire baroque. Pourquoi vous présenter ici de telles « montres » ? Pour leur originalité, leur excentricité et leur rareté. Je vous laisse juge, en images prises sur le vif, sur le stand de l’AHCI.
Cette tradition vient de Russie, de la région de l'Oural. Au début du 19ème siècle, des horlogers étaient capables de prouesses du style de celles présentées ici, avec des montres à fusées... et des spiraux en poils de sanglier !
Un horloger ukrainien, Valerii Danevitsch, qui ne parle ni vraiment l’anglais, ni le français, présentait au sein de l’AHCI, Académie Horlogère des Créateurs Indépendants, (le nec plus ultra des horlogers concepteurs de mouvements) ses propres créations, dont des montres de poche ou bracelets, dotées de calibres en bois. L’une présentant un mécanisme à tourbillon !
Le prix est, bien sûr, stratosphérique ! Le style est original pour ne pas dire baroque. Pourquoi vous présenter ici de telles « montres » ? Pour leur originalité, leur excentricité et leur rareté. Je vous laisse juge, en images prises sur le vif, sur le stand de l’AHCI.
L’an dernier, je vous ai présenté Franc Vila, étonnant et exceptionnel créateur horloger espagnol, dont la manufacture est bien sur installée à Genève en Suisse.
Franc a fait évoluer en douceur ses collections toujours très typées, qui plaisent beaucoup à la clientèle russe, chinoise, japonaise, américaine ; des clients qui recherchent des montres extra-ordinaires, au style inimitable et très fort !
Je vous présente cette année deux nouveautés : Le « Tourbillon Planétaire » est l’un des rares tourbillons spécialement conçu pour les femmes ! L’autre modèle tourbillon féminin de l’année est le Chanel « Première » présenté lui aussi à Bâle. Il est rarissime qu’une telle complication soit destinée aux femmes. Sexisme ? Non, que nenni, mais « on » prétend que les femmes ne s’intéressent pas à la technique, aussi les montres « chères » sont le plus souvent pavées diamants, rarement équipées d’un calibre très compliqué.
Bien que je ne souhaite pas être « technique », je rappellerai en deux mots ce qu’est un « tourbillon ». Il s’agit d’une « cage » placée au cœur du mouvement mécanique, qui tourne sur elle-même et permet d’équilibrer la marche du mouvement en fonction de la gravitation. Le tourbillon manufacturé qui équipe notre Franc Vila est un tourbillon volant mécanique à remontage manuel d’une réserve de marche de cinq jours, fait main et décoré main.
Cette montre s’adresse donc aux femmes (fortunées) qui s’intéressent au calibre de leur montre et bien sûr au design en ce qui concerne la Franc Vila qui ne ressemble à aucune autre ! La photo a été prise par votre serviteur sur le stand de la marque à Bâle. Attention, huit pièces seulement de cette montre ultra limitée seront produites !
Le second modèle Franc Vila est issu de la nouvelle collection « Intrepido » dont le design toujours caractéristique évolue en douceur… Jugez par vous-même ?
Franc a fait évoluer en douceur ses collections toujours très typées, qui plaisent beaucoup à la clientèle russe, chinoise, japonaise, américaine ; des clients qui recherchent des montres extra-ordinaires, au style inimitable et très fort !
Je vous présente cette année deux nouveautés : Le « Tourbillon Planétaire » est l’un des rares tourbillons spécialement conçu pour les femmes ! L’autre modèle tourbillon féminin de l’année est le Chanel « Première » présenté lui aussi à Bâle. Il est rarissime qu’une telle complication soit destinée aux femmes. Sexisme ? Non, que nenni, mais « on » prétend que les femmes ne s’intéressent pas à la technique, aussi les montres « chères » sont le plus souvent pavées diamants, rarement équipées d’un calibre très compliqué.
Bien que je ne souhaite pas être « technique », je rappellerai en deux mots ce qu’est un « tourbillon ». Il s’agit d’une « cage » placée au cœur du mouvement mécanique, qui tourne sur elle-même et permet d’équilibrer la marche du mouvement en fonction de la gravitation. Le tourbillon manufacturé qui équipe notre Franc Vila est un tourbillon volant mécanique à remontage manuel d’une réserve de marche de cinq jours, fait main et décoré main.
Cette montre s’adresse donc aux femmes (fortunées) qui s’intéressent au calibre de leur montre et bien sûr au design en ce qui concerne la Franc Vila qui ne ressemble à aucune autre ! La photo a été prise par votre serviteur sur le stand de la marque à Bâle. Attention, huit pièces seulement de cette montre ultra limitée seront produites !
Le second modèle Franc Vila est issu de la nouvelle collection « Intrepido » dont le design toujours caractéristique évolue en douceur… Jugez par vous-même ?
Boegli. En 2011, je vous ai présenté les montres musicales de mon ami François Boegli, montres de poche, de table et montres rectangulaires imposantes, qui sont les seules à marier un mouvement mécanique manuel ou automatique avec un mouvement musical mécanique, à lames, capable de reproduire 17 notes et jouer, par exemple, « la Flute Enchantée » de Mozart...
Sur le même principe, François Boegli nous a présenté en avant-première une pièce ronde très réussie, imposante puisque son diamètre est de 47mm, plutôt épaisse à l’instar des chronographes, aussi épurée que certaines de ses pièces rectangulaires sont baroques.
La photo prise sur le stand par votre serviteur, parle d’elle-même. Je porterai volontiers cet instrument, dont le design est très inspiré par la « haute horlogerie », mais pas le prix qui demeure encore abordable !
Sur le même principe, François Boegli nous a présenté en avant-première une pièce ronde très réussie, imposante puisque son diamètre est de 47mm, plutôt épaisse à l’instar des chronographes, aussi épurée que certaines de ses pièces rectangulaires sont baroques.
La photo prise sur le stand par votre serviteur, parle d’elle-même. Je porterai volontiers cet instrument, dont le design est très inspiré par la « haute horlogerie », mais pas le prix qui demeure encore abordable !
Enfin, il s’avère que les montres « Squelettes modernes » étaient à l’honneur dans les allées bâloises cette année ! Or, comme vous le savez sans doute, j’ai lancé en fin d’année 2011, ma propre marque Fréret-Roy 1818 (la date de 1818 étant là pour rappeler que ma famille produit des pièces d’horlogerie en Normandie depuis 1818), petite collection de montres baptisée AOC.
La pièce maitresse en est ma montre « Cœur Ouvert Nouvelle Vague » dont le calibre squelette est un Unitas 6498 découpé de manière très moderne. Ce calibre peut se trouver dans d’autres marques puisque, pour des raisons budgétaires, nous avions adopté un calibre existant issu des fabrications de la manufacture ETA. Nous avions aussi choisi un boîtier, que nous avions fait modifier.
Eh bien, en cette foire de Bâle, nous avons vu une invasion de « squelettes » assez proches du nôtre, modernes, plus ou moins réussis selon les boîtiers et leurs finitions ! Nous avons été précurseurs. Nous allons donc persévérer afin de rendre nos montres de plus en plus exclusives et personnelles, tout en essayant de garder à l’esprit notre doctrine qui est de « Concilier le Luxe et la raison ».
La pièce maitresse en est ma montre « Cœur Ouvert Nouvelle Vague » dont le calibre squelette est un Unitas 6498 découpé de manière très moderne. Ce calibre peut se trouver dans d’autres marques puisque, pour des raisons budgétaires, nous avions adopté un calibre existant issu des fabrications de la manufacture ETA. Nous avions aussi choisi un boîtier, que nous avions fait modifier.
Eh bien, en cette foire de Bâle, nous avons vu une invasion de « squelettes » assez proches du nôtre, modernes, plus ou moins réussis selon les boîtiers et leurs finitions ! Nous avons été précurseurs. Nous allons donc persévérer afin de rendre nos montres de plus en plus exclusives et personnelles, tout en essayant de garder à l’esprit notre doctrine qui est de « Concilier le Luxe et la raison ».
Fréret-Roy "Montres et Merveilles"
28/30 rue Danielle Casanova
75002 Paris
Tél. : 01 55 35 07 37
Fax : 01 55 35 07 70
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75002 Paris
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