La marque Sanders & Sanders est une maison anglaise datant de 1873 ; elle est installée depuis sa création à Rushden dans le Northamptonshire, « la » région anglaise par excellence, dédiée à l’industrie de la chaussure.
Aujourd’hui, elle offre un très large catalogue de références ayant, disons, plus ou moins d’intérêt… En réalité, le seul modèle véritablement incontournable est sa chaussure montante Playboy, classée dans la rubrique des Chukka.
Celle-ci est proposée en une dizaine de couleurs en nubuck et une version en cuir grainé, doublée de cuir, avec laçage deux œillets, bout rond et d’épaisses semelles en crêpe -un caoutchouc souple et confortable- qui feront gagner de précieux centimètres aux plus petits d’entre nous.
Lire aussi : Hanhart, réédition du fameux chrono 417 de Steve McQueen
Aujourd’hui, elle offre un très large catalogue de références ayant, disons, plus ou moins d’intérêt… En réalité, le seul modèle véritablement incontournable est sa chaussure montante Playboy, classée dans la rubrique des Chukka.
Celle-ci est proposée en une dizaine de couleurs en nubuck et une version en cuir grainé, doublée de cuir, avec laçage deux œillets, bout rond et d’épaisses semelles en crêpe -un caoutchouc souple et confortable- qui feront gagner de précieux centimètres aux plus petits d’entre nous.
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Ces chaussures, très années 60 et très preppy dans l’esprit, restent encore aujourd’hui particulièrement appréciées des amateurs de beaux souliers, de modèles indémodables et confortables de surcroit ! Ce qui ne gâte rien.
Et l’une des raisons de cet engouement, est probablement que l’acteur hollywoodien Steve McQueen, surnommé le « King of Cool » aimait à porter ces Sanders Playboy autant sur grand écran (dans « Bullitt » et « l’Affaire Thomas Crown ») qu’à la ville.
La Playboy de chez Sanders fait partie de ces souliers dits « polyvalents » qui, de nos jours, sont aussi à l’aise sur le bitume qu’en week-end !
Et l’une des raisons de cet engouement, est probablement que l’acteur hollywoodien Steve McQueen, surnommé le « King of Cool » aimait à porter ces Sanders Playboy autant sur grand écran (dans « Bullitt » et « l’Affaire Thomas Crown ») qu’à la ville.
La Playboy de chez Sanders fait partie de ces souliers dits « polyvalents » qui, de nos jours, sont aussi à l’aise sur le bitume qu’en week-end !
Naturellement, elle se marie parfaitement avec un denim, un velours, un chino et certains la portent même avec un costume en flanelle grise en hommage à Gianni Agnelli (qui lui portait des Tod's, mais dans le même esprit) !
Pour le reste, un polo, un t-shirt en coton, un pull à col roulé ou une chemise complèteront à merveille un blouson en denim, un imper Burberry, un Harrington Jacket de chez Baracuta (pour rester dans l’esprit Mc Queen), un Barbour, un blazer ou une veste en tweed.
Pour le reste, un polo, un t-shirt en coton, un pull à col roulé ou une chemise complèteront à merveille un blouson en denim, un imper Burberry, un Harrington Jacket de chez Baracuta (pour rester dans l’esprit Mc Queen), un Barbour, un blazer ou une veste en tweed.
Point important : précisons que la Playboy est encore aujourd’hui « Made in England », fabriquées dans les ateliers de Rushden.
Pour l’anecdote, la Playboy de Sanders apparait également aux pieds de Daniel Craig dans le James Bond « Spectre ».
Précisons qu'il existe des modèles dans le même esprit chez J.M. Weston ou Tod's dans le haut de gamme ou chez Meermin à des tarifs plus doux, mais bien évidemment, comme toujours et comme les amateurs japonais, nous avons une nette préférence pour la version originale !
Pour l’anecdote, la Playboy de Sanders apparait également aux pieds de Daniel Craig dans le James Bond « Spectre ».
Précisons qu'il existe des modèles dans le même esprit chez J.M. Weston ou Tod's dans le haut de gamme ou chez Meermin à des tarifs plus doux, mais bien évidemment, comme toujours et comme les amateurs japonais, nous avons une nette préférence pour la version originale !