A ce jour, 58 majestueux voiliers sont inscrits pour prendre le départ du Trophée Rolex, le mardi 1er octobre. Après le doublé des soeurs Gucci sur Avel en 2012 et 2011, quel sera le monocoque de plus de 16 mètres à faire preuve de la plus grande constance pour prétendre au prestigieux Trophée Rolex ?
Tactique et concentration de rigueur pour remporter le Trophée Rolex
Si la précision et le timing sont des éléments clés pour remporter la victoire, la coordination à bord de ces cathédrales de voiles est toute aussi déterminante. Ce magnifique ballet de monocoques se croisant au mètre près, ces efforts communs lors des manoeuvres pour hisser des milliers de mètres carrés de voiles, la concentration extrême des équipiers lors des virements de bord, offrent un spectacle unique.
Qu’ils soient 10, 20 ou 30 à bord, les équipiers ont tous un rôle précis et contribuent à la bonne marche du bateau pour que les manoeuvres soient fluides et impeccables. Vu du quai, le spectacle donne une impression harmonieuse, mais à bord le stress est quasi-permanent… Une mauvaise manoeuvre ou une décision tardive lors d’un virement de bord et l’équilibre du bateau est en danger.
Les conditions météorologiques sont également un facteur clé de la réussite –ou pas- d’un voilier. Avel, connu pour son aisance dans le petit temps, serait en difficulté en cas de brise régulière sur une semaine. Une situation qui tournerait à l’avantage des monocoques à déplacement lourd. Le Class 40 Rowdy, très polyvalent, est toujours un adversaire redoutable et se hisse régulièrement en tête du Trophée Rolex, mais, avec la présence de Chinook son sister-ship, la lutte s’annonce engagée. Eole décidera de l’issue de la compétition. Rendez-vous dimanche 6 octobre lors de la remise des prix de cette semaine festive et sportive.
Tactique et concentration de rigueur pour remporter le Trophée Rolex
Si la précision et le timing sont des éléments clés pour remporter la victoire, la coordination à bord de ces cathédrales de voiles est toute aussi déterminante. Ce magnifique ballet de monocoques se croisant au mètre près, ces efforts communs lors des manoeuvres pour hisser des milliers de mètres carrés de voiles, la concentration extrême des équipiers lors des virements de bord, offrent un spectacle unique.
Qu’ils soient 10, 20 ou 30 à bord, les équipiers ont tous un rôle précis et contribuent à la bonne marche du bateau pour que les manoeuvres soient fluides et impeccables. Vu du quai, le spectacle donne une impression harmonieuse, mais à bord le stress est quasi-permanent… Une mauvaise manoeuvre ou une décision tardive lors d’un virement de bord et l’équilibre du bateau est en danger.
Les conditions météorologiques sont également un facteur clé de la réussite –ou pas- d’un voilier. Avel, connu pour son aisance dans le petit temps, serait en difficulté en cas de brise régulière sur une semaine. Une situation qui tournerait à l’avantage des monocoques à déplacement lourd. Le Class 40 Rowdy, très polyvalent, est toujours un adversaire redoutable et se hisse régulièrement en tête du Trophée Rolex, mais, avec la présence de Chinook son sister-ship, la lutte s’annonce engagée. Eole décidera de l’issue de la compétition. Rendez-vous dimanche 6 octobre lors de la remise des prix de cette semaine festive et sportive.
Les précédents vainqueurs du Trophée Rolex tous présents
Avel, vainqueur du Trophée Rolex en 2011 et 2012
Construit en 1896, Avel, qui signifie « vent » en breton, a été commandé par le Français René Calame d’après une conception de Nicholson. Ce magnifique voilier aux lignes nettes et élégantes, semblait destiné à finir ses jours dans un banc de vase. Par chance, il a été acheté au début des années 90 par ses propriétaires actuels, Alessandra et Allegra Gucci et soumis à une restauration qui a duré près de quatre ans. Mais Avel, de par la forme de sa carène est un monocoque de petit temps et depuis deux éditions, la baie de Saint-Tropez lui a été propice. En sera-t-il de même cette année ?
Ikra, vainqueur du Trophée Rolex en 2010
Construit chez Alexander Robertson & Sons en 1964, Kurrewa V, premier nom d'Ikra a été construit pour les frères Livingstone. Désireux de remplacer Sovereign dans le défi anglais pour la Coupe de l'America de 1964. Par manque d'argent mais surtout de temps, Kurrewa V a été réalisé sur le même plan que Sovereign. Malgré cela, Kurrewa V n'a pas réussi le challenge de s'imposer dans cette coupe. En 1968, il devient Lévrier de Mer et sert de bateau lièvre pour France du Baron Bich. Devenu Ikra en 1976, ce monocoque dessiné par David Boyd a été avec Pride, à l'origine de la Nioulargue. Depuis 1981, Ikra est un habitué des courses de voiliers classiques sur les différents plans d'eau du monde.
Rowdy, vainqueur du Trophée Rolex en 2008 et 2009
Dessiné par Nathanael Herreshoff, Rowdy est l’un des derniers voiliers de la Class 40 du New York Yacht Club. Construit en 1916, Rowdy a bénéficié d’une restauration complète, comme la plupart de ces unités presque centenaires. C’est dans le Maine que Rowdy a retrouvé une deuxième jeunesse. Herreshoff réalisait des voiliers performants en prenant garde d’allier confort, espace, luxe intérieur et prouesse technique pour des régates entre trois bouées.
Agneta, vainqueur du Trophée Rolex en 2007
Construit en 1951, ce très beau monocoque de 25 mètres est immanquable sur l'eau avec sa coque en acajou et sa voilure pourpre. Propriété de Giovanni Agnelli pendant 30 ans et mondialement connu suite à la parution d'une photo du célèbre fondateur de Fiat plongeant de son bateau dans les eaux tropéziennes, Agneta est un voilier de légende dont il faut prendre soin avec passion. Pour preuve, pas moins de 30 couches de vernis ont été appliquées sur la coque lors de sa dernière restauration.
Construit en 1896, Avel, qui signifie « vent » en breton, a été commandé par le Français René Calame d’après une conception de Nicholson. Ce magnifique voilier aux lignes nettes et élégantes, semblait destiné à finir ses jours dans un banc de vase. Par chance, il a été acheté au début des années 90 par ses propriétaires actuels, Alessandra et Allegra Gucci et soumis à une restauration qui a duré près de quatre ans. Mais Avel, de par la forme de sa carène est un monocoque de petit temps et depuis deux éditions, la baie de Saint-Tropez lui a été propice. En sera-t-il de même cette année ?
Ikra, vainqueur du Trophée Rolex en 2010
Construit chez Alexander Robertson & Sons en 1964, Kurrewa V, premier nom d'Ikra a été construit pour les frères Livingstone. Désireux de remplacer Sovereign dans le défi anglais pour la Coupe de l'America de 1964. Par manque d'argent mais surtout de temps, Kurrewa V a été réalisé sur le même plan que Sovereign. Malgré cela, Kurrewa V n'a pas réussi le challenge de s'imposer dans cette coupe. En 1968, il devient Lévrier de Mer et sert de bateau lièvre pour France du Baron Bich. Devenu Ikra en 1976, ce monocoque dessiné par David Boyd a été avec Pride, à l'origine de la Nioulargue. Depuis 1981, Ikra est un habitué des courses de voiliers classiques sur les différents plans d'eau du monde.
Rowdy, vainqueur du Trophée Rolex en 2008 et 2009
Dessiné par Nathanael Herreshoff, Rowdy est l’un des derniers voiliers de la Class 40 du New York Yacht Club. Construit en 1916, Rowdy a bénéficié d’une restauration complète, comme la plupart de ces unités presque centenaires. C’est dans le Maine que Rowdy a retrouvé une deuxième jeunesse. Herreshoff réalisait des voiliers performants en prenant garde d’allier confort, espace, luxe intérieur et prouesse technique pour des régates entre trois bouées.
Agneta, vainqueur du Trophée Rolex en 2007
Construit en 1951, ce très beau monocoque de 25 mètres est immanquable sur l'eau avec sa coque en acajou et sa voilure pourpre. Propriété de Giovanni Agnelli pendant 30 ans et mondialement connu suite à la parution d'une photo du célèbre fondateur de Fiat plongeant de son bateau dans les eaux tropéziennes, Agneta est un voilier de légende dont il faut prendre soin avec passion. Pour preuve, pas moins de 30 couches de vernis ont été appliquées sur la coque lors de sa dernière restauration.
Programme du Trophée Rolex
Lundi 30 septembre Accueil des voiliers de tradition, clôture des inscriptions
Mardi 1er octobre 1ère journée des régates côtières à partir de 11h
Mercredi 2 octobre 2e journée des régates côtières à partir de 11h
Vendredi 4 octobre 3e journée des régates côtières à partir de 11h
Soirée des équipages des Voiles de Saint-Tropez à la Ponche
Samedi 5 octobre 4e et dernière journée des régates côtières à partir de 11h
Dimanche 6 octobre Remise des prix du Trophée Rolex à la Citadelle de Saint-Tropez à 11h
Rolex et la voile…
Rolex est fière d’être, depuis plus de cinquante ans, un partenaire majeur du monde de la voile. En s’associant à des courses particulièrement exigeantes comme la Rolex Sydney Hobart ou en perpétuant la tradition avec la Maxi Yacht Rolex Cup, Rolex entretient une relation privilégiée avec ce sport en parfaite harmonie avec les valeurs chères à la marque. Elle a d’ailleurs lancé cette année une très belle version acier de sa Yacht-Master 2.
Mardi 1er octobre 1ère journée des régates côtières à partir de 11h
Mercredi 2 octobre 2e journée des régates côtières à partir de 11h
Vendredi 4 octobre 3e journée des régates côtières à partir de 11h
Soirée des équipages des Voiles de Saint-Tropez à la Ponche
Samedi 5 octobre 4e et dernière journée des régates côtières à partir de 11h
Dimanche 6 octobre Remise des prix du Trophée Rolex à la Citadelle de Saint-Tropez à 11h
Rolex et la voile…
Rolex est fière d’être, depuis plus de cinquante ans, un partenaire majeur du monde de la voile. En s’associant à des courses particulièrement exigeantes comme la Rolex Sydney Hobart ou en perpétuant la tradition avec la Maxi Yacht Rolex Cup, Rolex entretient une relation privilégiée avec ce sport en parfaite harmonie avec les valeurs chères à la marque. Elle a d’ailleurs lancé cette année une très belle version acier de sa Yacht-Master 2.